( 18 juin, 2014 )

Sacré Julien !!!

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Il a tout dit…

( 15 juin, 2014 )

J’ai créé la catégorie « Saga familiale »…

J’en profite d’être encore sous les effets des corticoïdes, le lendemain (et le surlendemain vue l’heure) de ma petite séance au « Chimiothérapix-club », tenu par un big-band (le dernier mot étant hélas de plus en plus galvaudé - soupir… -)

J'ai créé la catégorie

pour me mettre au taf,

car c’est pas une sinécure les copains !!!

Je ne parle pas de mes piquouses mais de la restructuration du blog, et de la restauration des mises en pages…

Car je me suis aperçu que des illustrations photographiques et des liens musicaux ont soit disparus, soit sont bloqués pour des questions de droit d’auteur…

D’ailleurs, à ce propos :

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Mais revenons au sujet « dont auquel c’est que j’voulais vous causer » M’sieurs-Dames », et Mesdemoiselles (à tout hasard…).

Ceux qui me connaissent depuis un certain temps (un temps certain et pourtant incertain !) se sont habitués à lire ce qu’ils ont nommé eux-même ma « saga familiale ». Sans vraiment en prendre conscience, je venais de créer quelque chose qui intéressait les « amis virtuels » qui sont venus me voir, et se sont « fidélisés », ce qui m’a beaucoup touché et me touche toujours.

Franck 77 est à l’origine de la création. J’intervenais comme visiteur à Déconnoland sur son blog, qui pour moi est « THE référence », car derrière ce qu’il appelle la déconnade,  se cache une érudition hors paire et une philosophie du troisième, voire quatrième degré, non accessible à tous…

 dans Saga familiale

Vous vexez pas, même moi j’ai du mal parfois

Hum-hum !!!

J’ai dit mal, pas « mâle », ma poule…

Ha dis donc, la théorie du genre,

Merci la Christiane !!!

Oui ho, ça va…

Enfin bref, j’avais créé ce blog pour administrer une rubrique dans celui de mon poteau : « La messe de Jiji Cinqsept », où j’ai pu m’exprimer en toute liberté dans le délire le plus total, ce que nous refusaient les forums où nous nous étions croisés (d’où les archives communes Jiji-F77 qui figurent dans mes catégories).

Lorsqu’un modérateur de Unblog a fait des misères à Franck l’interdisant de forum, j’ai pris fait et cause pour lui, et comme il s’était représenté lui-même comme un prisonnier en cachot victime d’une censure abusive, dans ma tête, ça a fait un déclic.

Non, ça ne faisait pas un bruit de lavabo…

Et cela a démarré la rubrique « Les péripéties de Franck 77″, et m’a permis de reconstituer le trio « F77, Jiji (myself que j’avais transformé en personnage de fiction), et un ami de Franck (que je ne connais pas directement mais dont les coms sont sympas).

Mais cette « récréation » faisait suite à une saga personnelle, partie d’évocations de souvenirs, puis tout s’est enchaîné au fil de l’écriture, appréciée pour mon plus grand bonheur chaque fois de plus en plus.

C’est ce qui figure et est classé dans la catégorie « Saga familiale », le dernier épisode (39ème/D) diffusé datant du 21 octobre 2012 (!!!).

La moitié de la « 39ème/E » est écrite en brouillon, mais elle représente déjà l’équivalent de 35 pages pdf :

désolé Jacqueline…

Les problèmes de santé, ça aide pas à la création, et comme je savais qu’avec cette 39ème/E (dont j’espère qu’elle ne sera pas à l’image de la 9ème de Beethoven), j’avais accepté un chantier phénoménal ! Je me suis donc aéré l’esprit en abordant d’autres sujets depuis le 21 octobre 2012(que le temps passe vite, heulâââ !!!).

Le fait d’avoir mis en jachères cet épisode et surtout d’avoir relu les précédents est très salutaire. Car malgré les éloges, j’ai entrevu mes imperfections. Je ne suis que partiellement satisfait de mes écrits… Loin d’être négatif, je pense qu’un peu de recul par rapport aux textes publiés, les circonstances aidant, est un outil non négligeable pour que je m’améliore. Je ne cherche aucune gloire, j’aimerais seulement qu’on puisse dire de mon humble travail (et que je le ressente aussi en toute modestie tel un brave artisan) que c’est « de la belle ouvrage »…

La catégorie est donc créée, il suffit de cliquer dessus, l’ordre des épisodes allant en décroissant. 

Bon, je vais aller me pieuter, car si « Bobonne se lève et constate que je ne suis pas encore couché, bonjour les deux gars… Heu

Les dégâts !!!

Dès demain, j’entame la restauration, enfin si la méforme veut bien oublier Mézygues quand les corticoïdes se seront épuisés…

 

 

Ha merde, encore un selfie loupé…

A peluche, comme dit mon poteau !!!

( 8 juin, 2014 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (10ème épisode).

Jeanne (7/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

 

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http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr

 

L’essaim des Saints…

 

Nous retrouvons le petit monde (dont le cercle ne fait que s’agrandir) de Franck 77, ce dernier, après s’être échappé de sa geôle, ayant été catapulté accidentellement en décembre 1425 à Domrémy en compagnie de Zorah, belle extraterrestre qu’il avait sauvée de la noyade. Celle-ci, avec ses collègues maladroits, étaient responsables de ce dérèglement spatio-temporel.

Le trio

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (10ème épisode). dans Les tribulations de

« Franck-Pineau-Jiji »

était de nouveau réuni grâce à ces derniers (X26 & X57 – venus sur Terre pour remplir une importante mission quasi-impossible – ) à la taverne de Duchenot.

Ils venaient de s’adjoindre Obséquius, ex-laquais

 dans Les tribulations de

de l’infâme Hasbeen,

(ennemi mortel de notre Franck, catapulté avec Obséquius trois ans plus tôt),

ainsi que Julius, un moine de l’inquisition aussi brutal qu’énorme, décédé suite à un violent accident et  ressuscité  par une chute mal négiciée de Jiji, le curé de Déconnand (voir « dans les archives de Jiji57 et Franck 77 »).

 

Le légendaire « Merlin l’enchanteur »,

réveillé d’une sieste presque millénaire à cause du ramdam de toute cette équipée dans la forêt proche de Domrémy où il essayait de se ressourcer, donna un coup de main « aux justes » qui se mirent en travers de la route d’une armée, constituée par Hasbeen, le félon au service de l’évêque opportuniste « pro-anglois » Cauchon, chargée d’occire une jeune vierge innocente, une pieuse créature répondant au nom de « d’Arc »…

Jeanne d’Arc !!!

 

Justement, c’est du domicile de cette famille que revenait X57, qui s’était encore emmêlé les logiciels dans sa téléportation, provoquant lors de son atterrissage corporel des luminosités inconnues au XVème siècle, aux pieds de la petite Jeanne gardant ses montons, qui interpréta le phénomène à sa manière.

Raccompagné par un vieux fagotier et son fils en charrette (que nous avons vus dans des épisodes précédents), X57, très touché par leurs adieux chaleureux, rejoint Zorah à laquelle il explique son périple…

 

Zorah, déconcertée :

« Heu, je ne sais pas si tu dois en parler au boss.

Depuis que j’ai crashé le module principal en confondant les commandes de ma Game boy avec « le manche à balai », il a les implants électroniques plutôt maussades.

 

X 57 :

« S’il y en a un qui devrait éviter de la ramener sur le sujet, c’est bien lui. Je saurai lui rappeler à l’occasion un épisode du même style qui s’est passé ici il y a presque quatre milliards d’années ! »

 

Zorah :

« Tiens donc !

Ça ne correspondrait pas à l’apparition de la vie sur Terre ?

Ne me dis pas que… »

 

X57 :

« Chut ! »

Puis regardant une foule qui se rapprochait par le chemin de la taverne de Duchenot :

« Ha merde, ils m’ont retrouvé !

Le bouche à oreille va plus vite que le « smartphone sarrasin » dans le coin. »

 

Zorah :

« Qui sont ces gens et que te veulent-ils ? »

 

X 57 :

« Ce qu’ils demandent depuis deux milles de leurs années. Mais je t’expliquerai… »

 

Revenons quelques heures en arrière, à la maison d’Arc…

 

La petite Jeanne était en conversation avec Saintes Marguerite et Catherine,

alors que Saint Michel, contrarié, rejoignait les trois…

 

Jeanne, s’adressant à lui :

« Il n’y avait pas d’autres personnes avec vous, tout à l’heure ? »

 

Saint Michel, fronçant les sourcils :

« Petit problème de logistique, mais tout est rentré dans l’ordre… »

 

Effectivement, une scène avait eu lieu, dont X57 fut témoin.

Saint Michel, quelques secondes après son apparition, se trouva face à

l’Ange Gabriel.

 

Saint Michel :

« Que viens-tu faire dans nos confins ? »

 

Gabriel :

« J’allais te poser la même question…

Tu n’as pas l’impression de l’un de nous deux se tape l’incruste dans cette mission ? »

 

Saint Michel, tendant sa feuille de route  :

« Cette chose, tu vas me dire que c’est du papier « Wolfgang Amadeus Quentin » ?!? »

 

Gabriel, étonné :

« Qui est ce personnage et que vient-il faire dans notre histoire ? »

 

L’explication de Tonton Pierre

(Que Michel narre à Gabriel)

Wolfgang Amadeus Quentin, philosophe sorti directement de l’imagination d’un blogueur complètement déjanté, testa au travers de la presse écrite différents papiers à des fins corporelles. Un investisseur commercialisa le produit de cette recherche sous l’appellation « W.A.Q. » (les initiales de l’inventeur).

Le bonus de Ciryl

Précisons, Maître Pierre, que pour la commodité de la chose, le nom du produit fut progressivement simplifié : « W.A.Q » devint « A.Q » pour enfin donner le papier « Q »…

 

Gabriel :

« J’voudrais pas dire, mais côté « gestion du personnel », ça bogue sévère au secrétariat, là-haut ! Un doublon sur un tel dossier, ils ne m’avaient encore jamais fait le coup. Enfin, quoi qu’il en soit, lorsque j’ai été sollicité, le Patron a estimé que je n’avais pas besoin d’équipe, moi : ce qui n’est pas négligeable, sachant qu’on serait plutôt dans une phase de restriction budgétaire… »

 

Saint Michel :

« Tu ne manques pas d’air, dis-donc ! Môssieur semble être en proie à cette forme classique d’amnésie qu’engendre le narcissisme.

Pour ma part, je n’ai pas à rougir de mes références. N’est-ce pas mézigues qui a évité que le Père Abraham ne rectifie Isaac, son fils, pensant faire plaisir au Boss, mais oubliant que pour la moukère de moins de cinquante piges, y’aurait comme une mouche dans le lait, un caillou dans les lentilles, enfin pour résumer de la relance sur la gelée de coing ?

Qui t’as permis de gagner les rounds décisifs contre les forces obscures ?

Quand tu t’es frité avec le Roi de Perse et son armée, si j’avais pas été là…

Tu n’as peut-être pas besoin d’équipe, mais quand Bibi est dans le secteur, on peut pas dire que jusqu’à présent, ça t’ait porté la poisse… »

 

Gabriel :

« Tu marques un point sur ce coup-là, mais « l’annonciation » et la « dicté de Mahomet », c’est de la roupie de sansonnet ? »

 

Michel :

« La dictée de Mahomet ?!?

Parlons-en : du point de vue des emmerdes, ça nous a remporté trente-six fois la mise !!! »

 

Gabriel :

« Tu schématises…

Si t’as envie de jacter stratégie avec le Boss, son bureau des réclamations est ouvert sept jours sur sept, en « 24/24″.

Évite seulement de le solliciter le dimanche, ce jour-là, il a la théologie plutôt électrique, surtout aux alentours de midi… »

 

Michel :

« Tu m’en diras tant !

On peut savoir pourquoi ? »

 

Gabriel :

« Tu aimerais qu’on te rappelle, comme le font les humains, le martyr et l’assassinat de ton fils toutes les semaines, sans discontinuer ? »

 

X 57 à cette évocation ressentit à sa grande surprise quelques douleurs, lui extirpant un cri qu’il essaya en vain d’étouffer, faisant sursauter les deux Archanges.

 

Gabriel, intrigué, dévisageant X 57 :

« Il me semble que l’on se connaît… »

 

X 57, arborant un léger sourire :

« Dans une vie antérieure, qui sait… »

 

Michel, à un personnage inquiétant qui les avait rejoint :

« J’hallucine, je rêve, non : je cauchemarde,

Ça devient un véritable moulin, ici !!! »

 

Gabriel :

« Je veux bien qu’on organise une petite sauterie, on n’a jamais trop de temps pour les loisirs, mais côté déconne, « la Baronne de la Calanche » risque de nous casser la baraque. »

 

Michel :

« Ne me dis pas que toi aussi tu as reçu une convoc ! »

 

La Mort :

« Non, j’étais venu récupérer un client, du beau, du vrai, du mastoc, de la barbaque de compétition, mais un certain Jiji me l’a chourgane !… »

 

Gabriel :

« Jiji, le curé de Déconnoland ? 

Je le connais, c’est moi qui l’ai ressuscité quand ce grand couillon s’en emplâtré la fourgonnette ! »

 

http://jijicinqsept.unblog.fr/2010/10/26/plus-folle-la-messe-episode-16-45/

 

http://jijicinqsept.unblog.fr/2010/10/26/plus-folle-la-messe-episode-17-46/

 

 

La Mort :

« C’était pas une fourgonnette mais un van. Avec ton copain, vous avez le don de gâcher le métier… »

 

Gabriel :

« Écoute ma poule, t’es pas à une minute près. Faut te faire à l’idée que l’humain va vivre de plus en plus longtemps. Le côté positif de la chose, c’est que tu auras de plus en plus de temps libre ! »

 

Michel :

« Sauf le jour de l’apocalypse… »

 

Gabriel, faisant la grimace :

« T’es pénible, y’a des jours ! T’aurais pas un boulot qui t’attends au lieu de nous plomber l’ambiance ? »

Puis, s’adressant à la mort :

« Allez, je te raccompagne à la maison-mère, on taillera la bavette pendant le trajet sur toutes les misères du monde… »

 

La mort, regardant la petite Jeanne :

« On l’emmène pas avec nous ? »

 

X 57, avant que les deux ne disparaissent :

« Même pas en rêve !!! »

 

Saint Michel à X57 :

« Je ne sais pas qui tu es, mais tu inspires confiance. Excuse-moi de te fausser compagnie, je dois briffer la petite que tu sembles, béni soit tu pour cela, avoir sous ta protection. »

 

X57 :

« Quand on peut rendre service.

Bon, c’est pas le tout, mais si je ne réintègre pas séance tenante mon équipe, j’en connais un qui va faire un caca plus que nerveux… »

 

Alors qu’il sortait du domaine des d’Arc, Jeanne s’adressait aux divinités, assez déconcertée :

« Prendre mon cheval et libérer la France après avoir avoir légitimé Charles VII…

Vous avez d’autres courses à faire dans le coin ?!? »

 

Saint Michel :

« T’affoles pas , je t’explique… »

 

X57, croisant la route du cheval qui avait percuté Julius le caressa et lui dit :

« On dirait que tu boites, mon grand.

Je vais t’arranger ça ! »

 

X57 apposa ses mains sur la patte endolorie qui fut instantanément soignée.

L’animal léchait le visage de son bienfaiteur en signe de reconnaissance, quand une voix se fit entendre :

« Ben comm’ heu’ r’bouteux, tu te poses-là, gamin !!! »

 

C’était le vieux fagotier, auquel X57 répondit :

« On se débrouille… »

 

Le fagotier :

« Si tu peux le faire pour les bourrins, ma couenne devrait pas t’poser trop de blèmes, si c’était un effet de ta bonté, Monseigneur. »

 

X57, sourire aux lèvres, apposant ses mains sur l’ancêtre :

« Viens papy, je vais te refaire une jeunesse de compétition ! »

 

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Pendant ce temps,Celui que certains mauvais esprits avaient surnommé le « Roi de Bourges » étalait ses états d’âme à Marie d’Anjou, son épouse, et à Robert Le Maçon, l’un de ses conseillers qui était en visite :

« Je veux être un monarque normal !!! »

 

Marie d’Anjou, ironique :

« Cela existe-donc ?

Si la chose était concevable, nul doute qu’on en eut parlé en moult occasions au royaume de France… »

 

Robert Le Maçon, se tenant le front :

« Ça y’est, il va nous la ressortir ! »

 

Marie d’Anjou :

« Qu’espanouille ? »

 

Robert Le Maçon :

« Sa tirade dont on ne voudrait même pas pour un centième d’écu !!! »

 

Charles VII :

« Moi, Roy de France,

Je ferai en sorte que mon comportement soit en chaque instant exemplaire.

Moi, Roy de France,

j’introduirai la représentation paritaire : les femmes auront le droit de participer au pouvoir autrement que par la couche ou la luxure… »

 

Robert le Maçon :

« Sauf ton respect, ta majesté, c’que tu peux débiter comme conneries, des fois !

Et pourquoi pas une jouvencelle qui va, épée en pogne, nous faire oublier l’humiliation d’Azincourt, pendant qu’on n’y est ?!?

Pfffff !!!

Où tu vas chercher tout ça, gamin ?…

(Quoi qu’avec feu son paternel qui était complètement jeté et son môme – le futur Louis XI – qui n’arrête pas de chialer dès qu’il le touche, c’est miracle que Charly ne soit pas plus ramolli du carberlot…)

Bon ben, c’est pas le tout les tourtereaux, mais la France a besoin de moi, et ça me ferait mal au cul de la faire attendre.

Allez, bonne bourre, mes petites cailles !!! »

 

Marie d’Anjou à Charles VII:

« Nul doute que, de tous vos sujets,

Messire Robert est le plus raffiné… »

 

Charles VII :

« Ne raillez point celui qui fait de son corps, de son âme , l’un de ces remparts qui me gardent en vie ! »

 

Marie d’Anjou :

« Le tout étant de savoir de quel côté, des ponts qu’il emprunte, choisir l’itinéraire pour éviter un éventuel trépas… »

 

Charles VII :

« Vous n’allez pas tout de même pas, en cette évocation, verser une larme concernant ce « Jean sans Peur » qui me fit tant tourments avant d’être occis par mes justes !

Complice ou non, Robert fut et demeurera toujours à mes côtés. Il est de ceux qui, comme le charbonnier, ont cette foi qui ramène à Dieu et me persuade qu’il y a parfois quelque chose de divin en mon endroit.

Que pour le destin de la France, en des époques lointaines, on me rendra grâce… »

 

Marie d’Anjou :

« Si vous atteignez telle destinée, jamais normalité n’en sera responsable, car le monarque, si empathique soit-il avec le peuple, n’en demeure pas moins celui qui domine, qui regarde de plus haut, donc possède la clef pour sauver les siens, quitte à choisir des chemins qui le rendront impopulaire.

Caresser dans le sens du poil quelques badauds victimes d’éléments injustes est chose aisée, mais faire en sorte qu’ils s’en sortent, quitte à se voir cracher dessus et insulté par qui ne t’arrive que laborieusement à cette ceinture à laquelle l’esprit populiste s’arrête, demande bien plus de courage. Celui qui fait défaut à qui critique et ne propose rien, ce qui est la définition des « hommes de rien », ceux qui ne connaissent rien mais disent tout !!! »

 

Charles VII :

« C’est pourtant ce monde qu’il me faut sauver, quoi qu’il puisse penser de moi et de ma descendance… »

 

Marie d’Anjou :

« Le fruit de nos entrailles qu’ils crucifieront inexorablement un jour, sans se douter qu’avec le temps, croyant s’en libérer, ils ne feront que le glorifier dans d’éternelles repentances.

Viendra le temps où les églises hélas seront désertées, et pourtant, dans chaque village de France, se dresseront toujours des clochers que même les plus agnostiques des sujets d’alors ne pourront ignorer, puisqu’en leur sein, coulera dans leurs veines le sang et la mémoire de nos croisés, ceux qui écrivent notre destinée, qu’elle le soit ou non avec ou sans fautes d’orthographe, de goûts et de synthèses.

Pour comprendre un peuple, il ne faut pas en être proche, mais au contraire bien éloigné, comme le furent depuis toujours prophètes et philosophes, réfugiés aux confins d’un désert d’où ils regardent pousser nos imperfections, sortant des terres les plus arides… »

 

Charles VII :

« Vous dites en quelques mots de si belles choses

Que ce serait crime d’en interrompre la prose !

Le destin sera, Ô mon Dieu, ce qu’il sera

Pour la suite, c’est bien le temps qui nous jugera. »

 

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Retour chez Duchenot où Isaac, le chef des ménestrels, fait ses adieux à Franck 77 :

«Je te quitte et c’est grand dommage, Ô poète intemporel maudit des médiocres et des inféodés…

Quelle équipe eussions-nous nous formée, entachés de ces piments nommés « indépendance », « impertinences », tout ce qui nous différencie de la vie des lambda, ces mêmes qui nous supplient pendant nos spectacles, de leur faire oublier un quotidien aussi désespérant que laborieux ! »

 

Franck 77 :

« Tu me flattes ami ! Après cette nuitée de convivialités et de déraisons, j’ai peine à imaginer que ton image ne sera plus qu’un souvenir bien rangé dans un coin de ma calebasse. »

 

X26, regardant son beeper qui se met à sonner:

« On reprendra la conversation dans quatre ans au mois de mai à Orléans, si ça ne vous dérange pas… »

 

Franck 77 :

« Tu peux sous-titrer ? J’ai dû louper un épisode… »

 

X57, observant le beeper de Zorah sonnant à son tour :

« A tous les coups, nous sommes dans la ligne de mire de ces casses-couilles de la B.I.R.O.U.T.!!! »

 

Pineau,n’en loupant pas une :

« Alors, ça existe aussi chez vous,

visiteurs du trou du cul de l’Univers ?!? »

 

X26, haussant les épaules :

« Tu rigoleras moins si la « Brigade d’Intervention de Régulation et Organisation Universelle du Temps » nous met la main dessus !

Allez hop, on se concentre !!!

Repli stratégique à Calais au vaisseau-mère, espérant que ces tranches de nave ne l’ont pas retrouvé… »

 

X26, 57, Zorah tenant (affectueusement) la main de Franck 77, Jiji, tenu fraternellement à l’épaule par Julius (reconnaissant de l’avoir ressuscité), Pineau et Obséquius, forment une ronde. Ils disparaissent à la stupeur générale dans un nuage de fumée, juste après une dernière réplique de Franck à Isaac (ce dernier étant obligé de retenir sa mâchoire pour qu’elle ne chute au sol ) :

« N’oublies pas mon pote : rendez-vous dans quatre ans à Orléans !!! »

 

Isaac à Merlin :

« Evidemment, tout ça ne t’étonne pas… »

 

Merlin :

« Et encore, t’as pas tout vu ! »

 

 

 

Suite au prochain épisode…

 

 

« Seventy Seven » need you :

 

http://franck77.unblog.fr/ 

 

 

 

( 5 juin, 2014 )

6 juin ? Comme je l’ai déjà dit, Maman y était…

Et oui, mon Papi qui avait le même âge que le siècle (20ème) et vivait à Paris rue de Panama avait décidé dès 1940 d’aller s’installer à l’abri dans le Calvados…

Ce détail, vous le retrouverez, chers fidèles, à la découverte de ma 39ème/E, qui verra le jour dans les semaines qui suivent, dans cette saga familiale qu’on me demande de continuer (à corps et à cris – enfin surtout mes proches-), après trop de mois de jachère créatrice, résultat de quelques aléas médicaux indésirables…

Ha, si on pouvait les classer ceux-là comme sur la boite perso de l’ordi !!!

Je mets la dernière main au soutien de mon poteau Franck 77 dans le 10 épisode (plus disjoncté que jamais) le concernant, et qui va sortir avant ou pendant le week-end, mais en attendant, un petit rappel sur le sujet vécu par Maman et mes Grands-Parents, cette journée qui devait à jamais changer la face du Monde, et changea la structure de la maison, un obus ayant emporté le lit et une partie de la chambre de celle qui un jour me commit...

 

6 juin ? Comme je l'ai déjà dit, Maman y était... dans Chronique du temps qui passe...

 

http://jijicinqsept.unblog.fr/2013/06/03/6-juin-1944-ils-noublie-jamais/

 

 

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Et pour les sombres connards qui diront dans quelques années, lorsque le dernier des vétérans aura rejoint les justes, « que tout cela est dépassé’ (je l’ai entendu sur RTL dans « On refait le monde » pour la Guerre 14) et « que cela ne signifie plus rien, qu’il faut se tourner vers l’avenir », je leur suggère de fermer leur claque-merde et de se servir de leur plume comme suppositoire, et encore pour enfant !!!

Car il est aisé de croiser le fer dans de quelconques studios radiophoniques, de faire le beau et vaincre sans péril (donc sans gloire) dans un journal bobo télévisé, où le seul risque de mourir est celui de l’ennui, le ridicule n’étant hélas en ce domaine guère fatal…

 dans Entre nous...

Si une de ces fiottes veux m’impressionner, qu’elle prenne un fusil et esquive les balles dans des terres hostiles (c’est pas ça qui manque), au lieu d’éjaculer en liasses leur auto satisfaction, entre deux selfies pitoyables,  des vannes qui font « fureur » et alimentent cette pseudo-fortune intellectuelle basée sur leur populisme (la fainéantise de leur âme sclérosée) dans les soirées de Monsieur Durand (Duschoc ou qui vous voulez) !!! 

 

 dans Et mes souvenirs deviennent ce que les anciens en font.

O.K., John,

revenons au sujet, ça vaut mieux… 

 

Merci, merci et encore plus de mille fois merci, à toi qui est venu sacrifier ta jeune vie pleine d’espoirs sur cette plage,

  dans Hommages et coups de gueule !

toi sans qui le mot « Liberté » de pauvres bougres que tu ne connaissais pas ne serait qu’une vague illusion !!!

 

( 26 mai, 2014 )

Ça m’ achevé…

Et non, ce n’était pas une mauvaise blague ou une scène de la « Grande Vadrouille »…

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Ils l’avaient vraiment fait ces cons-là, chose aggravante, l’année des 70 ans du débarquement  !!!

Ça m' achevé... dans Entre nous...

Mais courage : comme nous l’enseigna un grand personnage : « perdre une bataille n’est pas perdre la guerre… »

( 19 mai, 2014 )

Ça peut pas faire « cui-cui », ça peut pas faire « miaou »…

Il était presque trois heures du matin…

Fruit d’une culture nommée « télé-réalité »,

Ça peut pas faire

complètement demeurée  mais tellement esthétique, la douce ingénue, activant deux de ses neurones, posa une question fondamentale :

 

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Le jour où nous aurons la réponse, ce sera un petit pas pour l’homme,

 dans Les facéties de Mésygues

mais un grand pas pour l’humanité…

( 7 mai, 2014 )

Je tourne au ralenti, mais je tourne quand même…

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Ce chef-d’oeuvre impérissable traite d’un ustensile dont je me serais bien passé, mais quand t’as pas le choix…

Quoiqu’il en soit,

Je tourne au ralenti, mais je tourne quand même... dans Entre nous...

je continue à bosser pour le blog,

et en parallèle, je me suis remis, après treize années d’interruption,

 dans Entre nous...

à la composition.

Tout cela prend du temps, sans compter

l’autre tranche de nave qui me poursuit,

vexée de me voir systématiquement repousser ses invitations…

 

A plus, le travail ne va pas se faire tout seul!!!

( 27 avril, 2014 )

Andréa Parisy nous quitte à 78 ans, Micheline Dax à 90 ans…

Andréa Parisy nous quitte à 78 ans, Micheline Dax à 90 ans... dans Chronique du temps qui passe...

L’actrice française Andréa Parisy,

qui avait joué notamment dans « Les Tricheurs » de Marcel Carné et « La Grande vadrouille » de Gérard Oury, est décédée dans la nuit de samedi à dimanche à l’âge de 78 ans des suites d’une longue maladie, a annoncé sa famille à l’AFP.

Née le 4 décembre 1935, cette brune élégante a joué dans une vingtaine de films, parmi lesquels « Les Tricheurs » de Marcel Carné (1958), « Cent mille dollars au soleil » d’Henri Verneuil (1963), « La Grande Vadrouille » de Gérard Oury (1966) dans lequel elle interprétait la religieuse résistante des Hospices de Beaune, « Le Petit Baigneur » de Robert Dhéry avec Louis de Funès (1967), « Mayerling » de Terence Young (1968), « Slogan » de Pierre Grimblat (1969) ou « Pas de scandale » de Benoît Jacquot (1999).

La comédienne, qui a eu pour partenaires au cinéma Laurent Terzieff, Jean-Paul Belmondo, Lino Ventura, Bourvil, Bernard Blier ou Omar Sharif, a également joué au théâtre.

 

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Et puis, le lendemain, nous devions déplorer un autre départ :

 dans Et mes souvenirs deviennent ce que les anciens en font.

celui de Micheline Dax (90 ans)…

 

http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2014/04/28/mort-de-la-comedienne-micheline-dax_4408243_3382.html

 

 dans Hommages et coups de gueule !

 

Qu’elles reposent en paix toutes les deux…

( 17 avril, 2014 )

La disparité, t’en plains pas ma belle…

C’est ça qui t’évite de prendre de ma part

La disparité, t'en plains pas ma belle... dans Entre nous...

une bonne baffe dans ton claque-merde !!!

Je réserve ça aux hommes, aux vrais,

 dans Hum... C'que ça m'énerve !!!

pas ceux qu’on traite de tafioles

en confondant les genres…

Car mon éducation de « réac » m’interdit d’envisager le moindre acte de violence vis-à-vis de la gent féminine,

 dans La musique que j'aime...

même la plus mal représentée !

Qu’on s’en prenne à ma couenne, c’est en quelque sorte ma « feuille de route ».

Manque de bol, depuis que ce crabe est venu s’inviter à mes « noces funèbres »,  je suis devenu inattaquable : rien n’est plus politiquement incorrect que de dénigrer un « cancéreux »…

Au travers du regard des autres, jamais je ne me suis senti aussi respecté.

 dans Les facéties de Mésygues

Mais de quel regard parlons-nous ?!?

Enfin…

En vidant le vestiaire de mon boulot, maladie et fin de droit aidant, je savais que ma Gigi (ma collègue qui devint ma femme) serait livrée à elle-même, face à quelques femelles refoulées, celles qui donneraient leur string à de « pauv’ gens heureux » !!!

Le temps, pourquoi est-ce l’ennemi des faibles ?

En trente berges, j’ai vu arriver tant de nouvelles, des collègues qui n’étaient que des gamines si mignonnes, dont beaucoup m’invitèrent à leur mariage, au baptême des petits…

Tout était idyllique dans un monde en mutation.

Mais, les années passant, elles se mirent à confondre « vulgarité » et caractère.

Elles se mirent à fumer, picoler, sortir entre filles,

jusqu’à en oublier de mettre leur alliance…

J’ai vu ça, je n’ai pas approuvé, mais moi au moins, je ne suis pas une donneuse !

Avec ma Gigi, on t’a accueillie, toi et tes relations, on a gardé tes mômes et donné à bouffer quand Monsieur a perdu son emploi comme les autres, victime de la conjoncture.

Sûr, on ne buvait pas que de l’eau, mais toi non plus, si je me rappelle…

Et puis, c’est quoi ton problème ?!?

Alors quand j’apprends que des rumeurs traînent dans les couloirs du « la-dit-la fait », comme on dit à la Réunion, accusant ma belle de piquer dans la réserve l’infâme picrate que l’on ose servir à nos résidents (des gens en fin de vie qui raquent plus de 2000 € par mois !), et que quand certaines la croise au supermarché du coin, y’a pas que de l’eau dans le caddie, c’est petit… Tout petit-petit, comme l’est ton âme malade!!!

Il n’y a pas de réponse à donner à tel délire…

Manque de bol pour toi, même si je ne suis plus sur place, j’ai encore des appuis influents au sein de mon ex-boulot, et compte sur moi pour m’occuper de ton cas ô combien pitoyable.

Tu n’étais pas encore dans les burnes de celui qui t’a commise (oubliant de te reconnaître, comme ta génitrice du reste), que j’avais déjà fait mes preuves.

Avec ce que je sais sur toi preuves à l’appui, tu peux te faire du souci aussi bien du côté de la direction que de ton mari…

Faut-il que je sous-titre ?!?

Les deux flingues ?

Non, c’est pas pour toi.

Je t’expliquerai plus tard…

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( 2 avril, 2014 )

La nomination de Valls, a mis le temps !!!

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J’aime le bonhomme,

mais il devrait se méfier,

car chaque fois que j’apprécie un socialo,

ces cons-là se croient obligés de me le flinguer…

La nomination de Valls, a mis le temps !!! dans Les facéties de Mésygues

Manu, s’te plait : y’a du monde !!!

Allez, bonne bourre, mais fait gaffe à tes arrières,

hollande_spiderman_lobo_lobofakes dans Les facéties de Mésygues

 

Qu’observent ceux qui se disent « normaux »…

 

 

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