Le temps passe et toujours l’éternel désir persiste : celui de ne pas échapper au bonheur.
William Sheller nous le rappelle…
http://www.youtube.com/watch?v=S-vE3siPVTw ]
Ha, ce bonheur ! Il ne tient parfois qu’à un fil.
Lorsque j’ai entendu pour la première fois la chanson ci-dessous, me sont revenus des souvenirs. Ceux d’un train que je prenais enfant pour retrouver un Père, que je n’ai que très peu connu, pour les vacances ou le week-end. J’observais les fils électriques et les lignes téléphoniques qui montaient et descendaient, effets d’optiques dus à la vitesse et à la perspective croisées de l’inerte et du mouvement…
L’ami Jonasz, bien plus tard,
avait donné à mes souvenirs une nouvelle dimension :
celle de la communication au travers des « lignes téléphoniques qui descendent »…
http://www.youtube.com/watch?v=t-b195jSFUI
Bien sûr, le temps passe, l’âme panse ses plaies sans jamais cicatriser vraiment. Le cœur s’endurcit, trop sollicité par ceux (celles) qui l’ont mis à feu et à sang pour qu’il, dixit le Grand Georges, ne puisse plus servir à personne !
Mais dans chaque reconstruction, l’éternelle question se pose et repose encore, si bien traduite par
Michel Berger, le compositeur des anges :
« Seras-tu là ? »
http://www.youtube.com/watch?v=uL5JyYnlCco
Le bonheur : est-ce toujours pour demain ?!?
Ami Pierrot : espérons que non…
http://www.youtube.com/watch?v=FzCalMLirqc
Et puis, à la rigueur, si on profitait de l’instant présent, car il s’y cache sans qu’on s’en aperçoive, comme si l’esprit n’avait pas le temps de l’enregister.
Ce n’est que bien après, lorsque que les souvenirs se proposent « comme pour mieux déchirer encore » (Aznavour) qu’on prend conscience qu’il était là !!!
Puis un jour, le hasard si curieux provoque une délicieuse chose, et le destin pressé a effectivement pris la pose…
Pas vrai Monsieur Aznavour ?!?
http://www.youtube.com/watch?v=gC_uObhPd-g
A plus…