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( 6 août, 2013 )

Le « prime » improbable : la teuf de Jiji…

Pour ma surprise partie, j’ai demandé virtuellement à Pascal Sevran (1945-2008) de l’animer… Son émission, « La chance aux chansons », n’a jamais été égalée en popularité dans le cœur des français. Elle avait l’avantage de redonner vie aux anciens et de « rapatrier » les plus jeunes auprès d’eux ! Intrigués par ce passé qu’ils découvraient, ils tenaient affectueusement la main de la Mamie ou du Papy qu’ils venaient voir le plus souvent dans leur maison de retraite… Et loin d’être enfermé dans le passé, l’ami Pascal était ouvert aux jeunes, dont la carrière de nombre d’entre-eux démarra chez lui,

 

Le

à l’instar de la divine Linda Lemay !

 

Je suis en pleine écriture de la suite (franchement délirante !) des péripéties de mon pote Franck 77 , dont le 7ème épisode va sortir ce « Viquande ». Mine de rien, c’est du travail, sachant que j’écris en alternance cette foutue 39ème/E !

Il est donc logique que je veuille me détendre un peu, en vous en faisant profiter.

 

Allez mon Pascal : envoie la sauce…

 

 dans La musique que j'aime...

Bonjour les amis : content de vous retrouver !!!

Dédé (Verchuren) nous a quitté, mais l’accordéon n’est pas mort : Michel Pruvot « le p’tit jeunot » a pris le relais :

 

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Voici une récréation venue d’Afrique, un pays que je n’ai jamais méprisé, contrairement à ce que prétendent certains polémistes en mal de scoops…

 

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Dire qu’on m’a tant dénigré pour une phrase maladroite que l’on a livrée au public hors de son contexte, alors que d’autres : des politiciens soit-disant « responsables » ont dévoilé des pensées horribles concernant les « gens du voyage » !!!

Nos amis manouches (citoyens français : petit détail technique !), en mal de terrains, posent problème aux élus, mais également à leurs électeurs, dont ils relaient des paroles qui dépassent de loin le domaine de la xénophobie…

Pourtant, ils ne sont pas plus voyous et profiteurs que les sédentaires, et eux, au moins, savent se servir d’une guitare pour traduire des sentiments nobles, sortis de ce cœur que notre rejet injustifié blesse depuis moult générations, motivant leurs désir d’évasion !!!

 

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La chanson (la musique en général), si tu ne l’exprimes pas avec tes tripes, fait autre chose…

Les Soul Men, dont l’un fut la doublure vocale de Johnny pendant 27 ans, aidé d’un des Poetic Lover ainsi qu’un chanteur de rythm and blues issu de la télé réalité, nous donnent une version de « Dis-lui » plus que remarquable !!!

Jugez par vous-même :

 

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(Un peu que je vais le commander le cd !!!)

 

On me pardonnera, j’espère, de terminer par cette chanson dont je suis l’auteur, et dont je sais qu’elle a une place de choix dans le passé de Jiji…

 

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 dans Les facéties de Mésygues

A plus les amis… 

 

( 29 juillet, 2013 )

Rire ? Moi je veux bien, m’enfin…

Rire ? Moi je veux bien, m'enfin... dans Les facéties de Mésygues

Pierrot, le pote de Jésus est sur les rotules.

Dans son plan de route, il n’était pas prévu que les pèlerins, qu’ils soient Italiens ou Espagnols, aient leur place de choix dans son département « Admissions »…

Au large de la Réunion,

 dans Les facéties de Mésygues

les requins,sont à deux doigts du coma éthylique

et ils ont le boyau en compote, à force d’engloutir autochtones et touristes à « Zoreille Land »…

Pendant ce temps, en Europe, c’est à qui offrira le plus de barbaque aux vautours,

dont l’estomac demande grâce !

Ils n’arrivent même plus à voler, victimes d’une surcharge pondérale fouroyante…

Ha, on n’est pas aidé à c’t'heure !

Et il faut que je fasse rire après ça ?

 

Et bien je relève le défi sympathique suggéré (à demi-mot) par notre FANETTE nationale, qui comme nous tous en a marre de ce « champs d’horreur » !!!

Saint Michel de Colucci :

« dis une parole et nous seront guéris… »

 

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A plus !!!

( 7 juillet, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (6ème épisode)

Jeanne (3/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

 

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http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr

 

 

De nos jours, au dessus de l’Océan Indien.

 

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (6ème épisode)  dans Ha ! On est bien...

« Haaaaaa !!! Mais qu’est-ce que c’est que ça ?!? »

 

Ainsi s’exprimait Pineau qui se réveilla le premier, avant de retomber dans les pommes, en découvrant le visage de ses sauveurs : X26 & 57…

X26 à 57 :

« Je crois que tu as raison, fils : 

 dans Les facéties de Mésygues

le dialogue avec les autochtones ne sera possible qu’avec le camouflage permanent. »

 

X57 activa la transmutation juste avant que Jiji ne se réveille à son tour.

Celui-ci, ouvrant les yeux, s’exprima en ces termes, alors que les deux ajustaient leur tenue :

« Ho pute vierge : on est chez

 dans Les tribulations de

Al Capone et Franck Nitti !!! »

 

Pineau, de nouveau réveillé, se tenant la tête :

« Ho, Jiji, si tu savais… »

 

X57, ironique :

« Tout le mal que l’on m’a fait… »

 

Pineau, s’adressant aux extraterrestres :

« Les deux épouvantails de tout à l’heure sont avec vous ?!? »

 

Jiji :

« Allons ! Tu vas finir par vexer…

Ces Messieurs ont eu l’amabilité de nous sauver et c’est comme ça que tu les remercies ? »

 

X26 à 57 :

« Épouvantails… De qui parlait-il ? »

 

Pineau à Jiji qui se marre :

« Ne sois pas égoïste : fais-nous partager ta bonne humeur, sauf si le rire est une offense dans le monde de nos bienfaiteurs intergalactiques… »

 

X26, le visage fermé :

« Au contraire, mon coéquipier et moi-même, on est les rois de la déconne :

ça ne se voit pas ?!? » 

 

Jiji, essayant de reprendre son sérieux :

« Quand je pense que j’ai failli me faire excommunier,

quand j’étais jeune curé,

pour avoir osé poser « la » question idiote… »

 

Pineau :

« Celle où tu avais asticoté tes calotins sur le mariage des prêtres ?

Je ne vois pas quel est le rapport avec notre situation présente, quoi que j’ai appris à me méfier de tes associations d’idées à l’image de ton esprit : souvent tordues ! »

 

Jiji :

« Je te remercie pour le compliment, mais là, en l’occurrence, le rapport est on ne peut plus direct : je repense à ce jour où, m’adressant à mon supérieur,  j’ai émis l’hypothèse d’une existence extraterrestre et demandé quel serait le statut des « créatures » au sein de l’église. »

 

Pineau :

« C’était donc cela ?

Quelle en fut la réponse ? »

 

Jiji :

« Négative… Très négative….

L’évêque s’est fâché tout rouge, sa fiole avait la même couleur que l’habit d’un cardinal !

Ma hiérarchie n’ayant jamais pu envisager la chose, je me gausse quand je vois devant moi la preuve de ce qu’ils ont toujours contesté !!! »

 

Pineau :

« Ce que j’admire en toi, c’est que tu as toujours eu le courage d’être toi-même, avec tout ce que cela comporte de… »

 

Jiji l’interrompt, sourire aux lèvres :

« Je sais : de ridicule ! »

 

Pineau, levant les yeux aux ciel :

« Pauvre cloche !!!

Je voulais dire :  »de courage » !

Quoi que parfois, je me demande si ce n’est pas tout bonnement de l’inconscience… »

 

Jiji, prenant un accent légèrement corse :

« On le dit… »

 

Pineau :

« Particulièrement l’évêque dont tu as usé la patience et qui t’as confié quelques « missions suicides », depuis, dont la dernière fut d’évangéliser ces paroissiens incontrôlables, qu’il avait surnommés « les mécréants de Déconnoland » !

Comment s’appelait-il au fait, ce « grand homme par la taille » ? »

 

Jiji, fronçant les sourcils :

« Jean-Marcel Perdrigeon, une enflure de première :

tout le contraire de son vénérable ancêtre, qui avait soigné entre autres les soldats de Napoléon III, en qualité d’aumônier !!! »

 

Pineau :

« Bon sang mais c’est bien sûr, je le remets ce blase : 

le « contrecoup de l’Abbé Perdrigeon,

ce que l’on a fait de mieux après la poire « du vieux Pichegru » et la carpe farci que me faisait ma Grand-Mère étant enfant. »

 

Jiji, surpris :

« Ne me dis pas que tu buvais cette lotion pour la peau ?!? »

 

Pineau : 

« Car ne se buvait pas ?

J’aurais dû m’en douter :

le goût n’était pas commun…

Malgré tout, un sacré remède, mes boyaux s’en souviennent !!! »

 

Jiji :

« Monseigneur « Jean-Marcel », un sacré remède lui aussi, mais à la religion, en quelque sorte son contrecoup…

Je te vois tout triste ma poule : ça te chagrine tant de me voir critiquer mes ex-collègues, membres actifs des « gardiens du Saint Sépulcre de la Constipation » ?!? »

 

Pineau :

« Certes non ! Seulement je pense à Franck et je me demande bien

s’il a réussi à survivre à cette météo d’enfer ! »

 

Jiji, le regard presque mystique :

« Franck 77 est vivant, je ne sais où et quand, mais je sais qu’il est vivant !!! »

 

X57 :

« Eurêka !!!

J’ai un signal : Zorah est vivante… »

 

X26 :

« Bien ! Signaler sa disparition à son oncle qui nous l’avait confiée : je le ressentais mal…

Où et quand allons-nous la récupérer ? »

 

X57 :

« Elle a été transférée au XVème siècle après JC, mais nous avons un léger problème ! »

 

X26 :

« Si tu m’avais dit le contraire, j’aurais presque été déçu : annonce… »

 

X57 :

« Le logiciel du convecteur m’indique qu’il y a deux voyages pour quatre passagers. Deux inconnus en 1422, et un autre en compagnie de Zorah en 1425 ! »

 

Jiji et Pineau, formant à eux deux une ronde :

(Ho, l’illustrateur, t’arrêtes tes conneries,

si charmantes que soient ses formes,

je ne parlais pas de celle-là !!!)

 

(Voilà, c’est mieux…)

 

« Franck est vivant,

Franck est vivant !!! »

 

X26 à 57 :

« Tu vois où ça nous mène tes bêtises ?!? »

 

X57 :

« C’est peut-être moi qui ai confondu les manettes de la Game Boy de Zorah avec celles du poste de pilotage ?!? »

 

X26 :

« Le copilote, c’est toi, que je sache !

Si tu avais pu te concentrer sur autre chose que sur les courbes de la belle, nous n’en serions pas là…

 

X57, soupirant :

« Ha, quand leur géométrie ne relève pas de la mathématique,

 

qu’elles sont divines ces courbes !!! »

 

X26 :

« Je suis sûr que le personnage dont nous avons pulvérisé l’embarcation en même temps que nous percutions l’océan sera sensible à l’argument… »

 

Pineau :

« Car c’est à vous que nous devons tout ce boxon ?!? »

 

Jiji :

« J’espère que vous avez une bonne assurance, parce que j’en connais un (il montre Pineau) qui l’a mauvaise depuis la perte de son voilier ! »

 

 

Pineau :

« Si l’embarcation que vous avez percutée est celle de notre ami Franck 77, Dieu vous garde !!! »

 

X26 :

« Dieu, j’en fais mon affaire…

Pour les détails administratifs, nous  les réglerons plus tard.

En attendant, concentrons-nous l’objectif :

« hiver 1425 à Domrémy »… »

 

X57 :

« J’active le convecteur, attention :

ça va déménager, les amis !!! »

 

Août 1422, dans ce confessionnal de la cathédrale de Rouen où l’évêque Cauchon a accepté d’entendre Jack Hasbeen.

 

Cauchon :

« Je vous écoute mon fils… »

 

Hasbeen :

« Ce ne sont pas les forces du mal qui m’ont guidées vers votre Excellence, bien au contraire, et si vous faites grâce à cette insignifiante vie qui est mienne, je la passerai à vous prouver le contraire. Jamais serviteur, de mémoire d’homme, n’aura été le plus fervent à louer votre magnificence ! »

 

Cauchon :

« Pourquoi devrais-je te croire, sorcier ? »

 

Hasbeen :

« Mettez-moi à l’épreuve…

(Il simule une attitude mystique)

En vérité, je vous le dit :

deux souverains en discorde se présenteront à Dieu avant que l’an ne soit écoulé…

Le premier est Anglois, il ne verra pas septembre.

Le deuxième, héritier de France, ne connaîtra fin d’octobre… »

 

Cauchon :

« Tu périras le premier sur le bûcher, hérétique, rien que pour avoir proféré ces propos de lèse-majesté !!! »

 

Hasbeen :

« Vous avez tout pouvoir pour le faire…

Mais dans quelques jours, vous trouvant privé de royale protection, vous regretterez amèrement d’être passé à côté de l’opportunité que je vous offre !

Qu’avez-vous à perdre : quelques jours dans une vie ?

Je remets mon âme entre vos mains… »

 

Cauchon, intrigué :

« Ton bûcher ainsi que celui de ton complice sera préparé pour le 1er Septembre, tu auras tout loisir d’ici-là de faire acte de contrition, afin d’alléger ta conscience de pécheur. »

 

Hasbeen :

« Et s’il arrive ce que j’ai dit ? »

 

Cauchon :

« Alors, j’aviserai en toute équité… »

 

 

1425, dans la taverne d’un village proche de Domrémy.

Franck 77, Zorah, le ménestrel et ses amis faisaient bombance…

 

Isaac, le ménestrel salvateur, aussi euphorique que le reste de sa troupe, s’adressait ainsi à Duchenot, le propriétaire des lieux :

« Aubergiste, à boire ou on tue le chien !

Encore du vin de la bonne treille, qu’on pisse à foison !!! »

 

La mère Duchenot :

« Ha, ils vont être encore frais tes clients !!! »

 

Franck, aux anges, alors qu’une jeune femme venait de s’assoir sur ses genoux :

« Mais que j’aime cette époque !

Tu me parlais de mon mortel ennemi le « chevalier Jacques de Hasbeen ». Comment fut-il intégré à l’équipe de Cauchon ? »

 

Isaac : 

« Ce qu’Hasbeen avait dévolé à l’évêque se réalisa, c’est ainsi qu’il sauva sa peau et celle de son valet Obséquius.

Cauchon fut nommé « conseiller ecclésiastique » auprès du Duc de Bedford pour le compte du roi d’Angleterre, qui n’avait que quelques mois d’existence, comme l’avait annoncé Hasbeen…

Il devint ainsi le prédicateur de Cauchon qui depuis ne s’en sépara plus jamais.

A ce titre, il déclara à son nouveau Maître que des suppôts de Satan risquaient un jour de tomber des cieux comme il arriva lui-même, avec de fortes mauvaises intentions, afin de répandre le pécher mortel sur les hommes…

Quand je t’ai vu tomber du ciel avec ta charmante compagne, j’ai su que tu étais celui qu’il redoutait tant ! »

 

Franck 77 :

« Mais quel enfoiré !!!

La prochaine fois que je le rencontre : je le disperse, je le ventile, je le désentripaille, ce petit cloporte glaireux !!! »

 

 

Isaac :

« Ne t’énerve pas à outrance et profite de l’instant présent… La vie est si courte ! »

 

 

Franck 77 :

« Tu as raison l’ami, ma cuisse est accueillante, elle se plait à servir de siège à de si beaux attributs !

Avant d’aller plus loin dans la  luxure généreusement offerte, laissons libre cour sans restrictions à nos rots et nos pets en guise de préambule… »

 

Zorah, contrariée :

« Alors pour toi, dès qu’on pète et qu’on rote, la raison noyée dans moult verres de vins qui permet aux mains de s’égarer sur les rondeurs féminines : c’est là ta définition du bonheur ?!? »

 

Franck 77 :

« D’où te vient ce courroux, toi si forte et si belle ?

Je te croyais pourtant insoumise et rebelle… »

Puis à la femme qui lui caressait le lobe de ses oreilles avec la bouche :

« Ô graine d’Aphrodite arrête : tu me chatouilles !!!

Désir en berne, ne réveillons pas mortes couilles… »

 

 

Isaac, en admiration :

« Cet être-là est le poète maudit des temps nouveaux, ce messie que nous, les mécréants non inféodés, attendions depuis si longtemps !!! »

 

Zorah, attérée :

« La femme , si solide qu’elle soit, ne demeure

Que cet être de chair animé par un cœur ! »

 

Franck 77 :

« T’aurais-je déçue, non ce n’est pas possible !

Je dois te convaincre, te montrer quelle sont mes cibles »

 

Zorah :

« Ho ! Quelques femmes légères, des aventures d’un soir ?

L’ivresse te donnant quelques bonheurs dérisoires… »

 

 

Franck 77, ayant invité la jeune femme à s’éloigner et essuyant la larme qui coulait sur le visage de zorah :

« Toi, venant d’un autre monde, jouant la provoc

Je te découvre sensible, alors là, quel choc ! »

 

Zorah n’eut que pour seule réponse

un long baiser…

 

 

Nous retrouverons tous nos héros dans le 7ème épisode, où Jeanne, fille de Jacques d’Arc fera grand bruit au royaume de France, ainsi que notre ami Franck qui va régler à sa manière son contentieux personnel…

 

 

« Seventy Seven » need you :

 

http://franck77.unblog.fr/ 

 

 

 

 

 

 

( 27 juin, 2013 )

Parfaitement à jeun…

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Sacré Dupneu, chef du contentieux !!!

( 22 juin, 2013 )

Quand les nanas sont en chasse…

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Un petit moment de bonheur …

( 20 juin, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode)

Jeanne (2/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

 

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http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr/

 

« Et oui, chers amis, l’infâme Jack Hasbeen (ennemi juré de Franck 77), et son valet Obséquis, avait été catapultés depuis le 21ème siècle en 1422, atterrissant

aux pieds de « Cauchon »…

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode)  dans Ha ! On est bien...

Pas le restaurant, bande de buses :

 dans Les facéties de Mésygues

je parlais de l’évêque !!!

Pssssss…

Un peu de sérieux, SVP,

cette histoire n’est déjà pas évidente à raconter…

Je vous signale en passant que :

 dans Les tribulations de

je ramasse les copies à la fin de l’épisode !

 

Voici la suite de l’histoire… »

 

Océan Indien au milieu de la tempête, juste avant que Hasbeen et Obséquius ne soient catapultés en 1422.

 

Jiji se tenait à ce qu’il pouvait dans le voilier de son copain Pineau, devenu aussi insubmersible que le Titanic.

Pineau, désespéré, s’exprimait en ces termes :

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode) dans Ha ! On est bien...

« Et merde ! Dire que j’ai même pas fini de le payer ce rafiot !!! »

 

Jiji :

« Ecoute, ma poule, je t’aiderai à remplir tous les formulaires du monde pour obtenir le remboursement de  ton assurance, mais avant , il y a une étape cruciale à respecter… »

 

Pineau ayant de l’eau jusqu’au cou, ne perdant (comme on le constatera plus tard) jamais le Nord :

« Négocier avec la société de crédit ? »

 

 dans Les facéties de Mésygues

 

« Elle t’as mis sur la paille

Fini les jours de ripaille

Mais elle te laisse tes ficelles de caleçon :

 dans Les tribulations de

Merci « SOCIÉTÉ SOFRINCON » !!! »

 

Jiji :

« Barre toi de mon histoire, publicitaire de mes deux, avant que je ne te fasse une vasectomie au « spécial »  !!!

Tu veux que je te dise, mon brave Pineau ?

La pub, surtout clandestine, c’est vraiment le fléau des temps modernes :

la négation de toute abnégation !«

 

Pineau :

« C’est beau ce que tu dis : ta poésie me transporte.

Cependant et si tu me le permets, on en discutera plus tard, le temps de remettre mon estomac en place.

Si ce n’est celle du crédit : de quelle étape cruciale parlais-tu ? »

 

Jiji :

« Rester en vie, ce serait déjà un bon début… »

Soudain, son visage s’éclaire, il dit :

« Ho la belle bleue !!! »

 

Pineau, inquiet :

« Il ne manquait plus que ça : l’émotion était trop forte, elle a fait vaciller ta raison… »

 

Jiji, trouvant le temps d’être ironique entre deux vagues :

« Heureux celui qui croira sans avoir vu, mais pour toi, on va sous-titrer (hurps) : homme de peu de foi ! »

 

Alors que le voilier avait définitivement coulé, au grand désespoir de Pineau, les deux naufragés furent happés par « la belle bleue », cette sphère lumineuse repérée par Jiji et qui avait surgi de l’océan.

 

Juste avant que les deux ne perdent connaissance, Pineau eut le temps de dire :

« Tu crois qu’on est passé de l’autre côté de la lumière ?!? »

 

Pendant ce temps, Jack Hasbeen vilipendait  Obséquius, les deux emprisonnés au cœur de ce cyclone non encore répertorié dans les archives terrestres.

 

Jack Hasbeen :

« Sombre crétin !!!

Si je t’avais nommé chef du « Département Sécurité » de Schizoland, ce n’était pas pour laisser échapper ce Franck 77 de malheur, et encore moins me faire don de son petit cadeau qui nous a pété à la gueule…

Ton incompétence dépasse de loin ta bêtise ! »

 

Obséquis :

« J’entends bien mon bon Maître, mais je ne vous ai jamais donné le coussin infernal, vous qui me l’avez pris des mains… »

 

Hasbeen, vexé :

« Tais-toi, tu n’es qu’un rat !!! »

 

Obséquius, fronçant les sourcils et crispant les lèvres:

« Un jour… »

 

Hasbeen, menaçant :

« Quoi ?!? »

 

Obséquius, ravalant son orgueil :

« Ho rien, splendeur hiérarchique… »

Puis regardant  en bas :

« Je pense que nous arrivons bientôt, votre Grandeur! »

 

La rencontre.

 

La chute fut assez spectaculaire, semant le désordre dans la garde du convoi d’une personnalité ecclésiastique, qui avait quitté Paris et s’en revenait à Rouen…

 

Le chef des gardes :

« Diablerie !!!

Ces suppôts de Belzébuth ne doivent atteindre Monseigneur Cauchon : faisons rempart de nos corps, Dieu nous donnera force et foi pour  protéger le juste !!! »

 

Cauchon :

« Emparez-vous de ces créatures sans les occire : nous les soumettrons à la question… »

 

 

Hasbeen et obséquius ne firent jamais pire voyage, chacun enchaîné derrière la monture d’un chevalier et fouetté dès qu’ils diminuaient la cadence.

Ils furent jetés au cachot lorsque l’expédition arriva enfin à Rouen.

Dès le lendemain, plusieurs moines firent irruption, avec à leur tête un homme assez inquiétant, dont les yeux exorbités trahissait son fanatisme religieux.

priester

Celui-ci, désignant Hasbeen dit :

« Celui-là doit être le dirigeant : nous commencerons par lui ! »

Hasbeen fut emmené sans ménagement vers la salle de torture.

 

Obséquius, angoissé, se dit à lui-même :

« Pourvu que le Maître ait bien assimilé ce que je lui ai appris durant cette courte nuit, et surtout qu’il résiste à la douleur, sinon nous sommes bons pour le bûcher… »

 

Celui que « le Maître » surnommait avec mépris « le rat » avait, sans avoir l’air d’y toucher, glané entre deux coups de fouet quelques informations durant son trajet douloureux. Ainsi, il savait que l’époque où les deux avaient été catapultés était le mois d’août 1422, en pleine guerre de cent ans dans le fief de l’évêque Cauchon, alors conseiller du roi anglais Henri V, rival de Charles VI, roi de France complètement fou dont la démence lui ôtait toute crédibilité auprès des princes.

Les deux étaient destinés à mourir cette même année, changeant la donne de l’ascension de Cauchon, qui bientôt se verrait privé de protection…

Cette époque, Obséquis la connaissait pour avoir été obligé, suite à une punition, d’en faire un exposé écrit à son professeur, lorsqu’il était au lycée.

S’il avait pu se douter qu’un jour cette punition serait la clé de sa sauvegarde…

 

Lorsque Hasbeen fut ramené au cachot, les moines le déposèrent au plus vite à terre sans lui remettre ses chaînes et quittèrent l’endroit, effrayés, le laissant presque inanimé à terre.

 

Obséquis, se risquant à une question :

« Comment allez-vous mon bon Maître ? »

 

Lui :

« Sachant que ces tarés m’ont mis les brodequins, je pense que pour le Marathon de New-York, il va me falloir une légère remise à niveau.

Sinon, ça biche…

Quand je pourrai de nouveau arquer, rien que pour m’avoir posé cette question subtile :

rappelle-moi de t’en mettre une !!! »

 

Cauchon, assisté de deux autres responsables ecclésiastiques, attendait le résultat de la question dont le Père Maroilles devait se faire l’écho, dans la salle de réunion.

 

Maroilles :

« Cet hérétique, malgré les supplices divins, n’accepta de parler que dans le cadre de la confession ! »

 

Cauchon :

« Que ne le fîtes-vous en l’occurrence ?!? »

 

Maroilles :

« La chose fut accomplie céans si l’énergumène n’en décida pas autrement. Il exigea, malgré les tortures de notre zélé Frère Julius, de ne se confier qu’à votre excellence. »

 

Cauchon :

« Soit : que l’on fasse mander ce réfractaire au confessionnal de la chapelle ! »

 

Lorsque les moines entèrent de nouveau dans le cachot, Hasbeen s’adressa à Obséquius, arborant un rictus sadique :

« Je crois que nous avons de la visite. En fait, je n’étais qu’un amuse-gueules, tu vas leur servir de plat de résistance, hum-hum : à la tienne, mon cher ! »

 

 

Le Frère Julius, désignant Hasbeen :

« Saisissez celui-là ! »

 

Hasbeen :

« Ha ben non, quoi, J’ai déjà donné !!! »

Désignant Obséquius :

« Et pourquoi pas lui ?!? »

 

Julius :

« Si tu veux vivre, ne pose pas de questions… »

 

Obséquius :

« Dire que toute ma vie j’ai rêvé d’être chef.

Si insignifiante soit mon existence,bien m’en prit de n’être que leur ombre, ne serait-ce que pour la conserver ! »

 

Cauchon ayant accepté la requête de Hasbeen,

les deux se retrouvèrent dans le confessionnal…

 

Nous saurons ce qu’il s’y est dit au prochain épisode,

où nous retrouverons Franck 77, Zorah, ainsi que Jiji et Pineau, qui vont enfin voir le visage de X26 & 57, leurs sauveurs…

 

 

« Seventy Seven » need you :

 

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( 13 juin, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (4ème épisode)

Jeanne (1/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

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Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com'y voudraient... (4ème épisode) dans Ha ! On est bien...

Emportés par ce champ électro magnétique aussi craignos pour un simple mortel que pour un être interstellaire, Zorah était collée contre notre ami Franck, qui était loin de s’en plaindre…

Intriguée, par un détail (dirons-nous) technique, elle se risqua à une question :

 dans Les facéties de Mésygues

« Heu… Mister Seventy Seven : est-ce ton stylo que je sens contre moi ? »

 

Franck :

« Un stylo, lequel ?!?

 dans Les tribulations de

Hum, ne me tente pas cruelle !!! »

 

Zorah :

« Sacré canaillou !!! »

 

Franck 77 :

« Je crois qu’on arrive bientôt, ma princesse.

Par contre je suis bien incapable de te dire où et quand,

mais mon petit doigt me dit qu’on a dû faire un putain de retour d’âge sur le cadran de l’horloge… »

 

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Zorah :

« Quelle est cette musique ? »

 

« Je sais pas, mais si les musicos restent dans l’axe, y’a de la contusion multiple dans l’air, de la fracture ouverte, le Yalta de l’hémoglobine : un sacré coup de grisou dans le tempo des créatifs qui vont connaître de près la définition du mot « puzzle », quand mésigue  aura testé bien malgré lui les lois de la gravité sur leurs usine à alexandrins !!! »

Ainsi parlait Franck, qui essayait de négocier son atterrissage catastrophe en tandem…

Une charrette de fagots lui évita d’embrasser les pavés d’une rue qu’il découvrait moyenâgeuse, tandis que Zorah, divinement souple et aérienne,

exécutait une figure de style de toute  beauté !

Le ménestrel qui avait eu le temps de terminer l’interprétation de sa chanson en fut ébloui, tandis que plusieurs moines présents sur les lieux se signèrent.

Celui qui semblait être leur chef dit:

« Vade Retro Satana !!!

Emparez-vous de cet hérétique et de la sorcière ! »

 

Franck :

« Même pas en rêve les filles !!!

Vous voulez la jouer « viril » ?!?

Commencez à enfiler des pantalons, ça vous changera des enfants de cœur…

 

L’un des moines aux autres :

« Nous nous occupons de la sorcière, laissons ce possédé au Frère Julius. »

 

Un autre moine, horrifié, se signant de nouveau :

« Julius ?!?

Que Dieu ait pitié de l’âme de ce pauvre pécheur !!! »

 

Sans rien comprendre, Franck fut soulevé de terre par le dit « Frère Julius ».

Ce dernier était aussi haut qu’une montagne et fort comme un bœuf !

Malgré tout son courage, sa ruse et sa détermination, notre pauvre Franck dérouillait.

C’était bien la première fois qu’il tombait sur un adversaire que rien ne semblait pouvoir détruire, aussi fut-il surpris de le voir voltiger à son tour, tel un fétu de paille,

par les bons soins

de Zorah !

Elle l’assomma avec une facilité déconcertante, le faisant rejoindre à terre ses autres compagnons à qui elle avait réservé le même sort.

 

Le chef des moines, lui, avait pris ses jambes à son cou en criant :

« A la garde !

A la garde !

Sus aux sataniques !!! »

 

Zorah, moqueuse :

« Le secret de la force serait donc dans le pantalon ? »

 

Franck, légèrement contrarié, alors que Zorah lui essuyait le sang qui coulait sur sur son visage :

« La situation était sous contrôle : il commençait à se fatiguer.

Encore une minute ou deux et je te la faisais valser cette gonflette sans couilles !! »

 

Zorah, relevant Franck tout endolori :

« Mais oui, tu as raison…

En attendant, planquons les moines dans cette charrette de fagots et tirons-nous d’ici, on nous regarde ! »

 

Effectivement, derrière une fenêtre, une jeune fille avait été témoin de toute la scène.

Elle était subjuguée par les performances de cette femme à l’étrange prénom et à la tenue si singulière, plus forte que les hommes.

« Jeanne, au lieu de rêvasser, viens donc dresser la table, ton père s’en revient du labeur ! »

Ainsi parlait Isabelle, sa Maman…

 

Une main vint se poser sur l’épaule de Franck, qui arma son poing pour répliquer à une éventuelle agression. Il se ravisa en constatant que cette main était celle d’un des ménestrels, qui lui tint ce langage :

« Suivez-moi, si vous voulez échapper à la milice de Cauchon… »

 

Zorah, intriguée :

« Ces moines sont si sales que ça ?!? »

 

Le ménestrel, avec le sourire :

« Cauchon, l’évêque…

Pas l’animal qui ronchit dans sa merdasse !

Quoi qu’à y bien réfléchir, l’évêque au service de « l’anglois abominatif « ne fait guère mieux.

Il vous cherche céans, guidé par son vil conseiller : un chevalier qui lui serait tombé du ciel avec un autre homme, son valet, en l’an de disgrâce 1422, alors qu’il effectuait le trajet entre Paris et Rouen… »

 

Franck, regardant la maison d’où la petite fille avait observé les deux explorateurs spatiotemporels:

« Ces pierres ne me sont pas inconnues : il me semble les avoir vu depuis toujours… »

 

Le ménestrel :

« Qui ne connaît pas la demeure de « Jacques D’Arc », honorable laboureur et collecteur d’impôt de notre bonne ville de Domrémy ! »

 

Zorah :

« Peux-tu, Ô ami, nous rappeler en quelle année nous sommes ? »

 

Le ménestrel :

« Quelle étrange question !

En l’an de grâce 1425, bien sûr… »

 

Franck, interloqué :

« La petiote qui nous a observé par la fenêtre est donc… »

 

Le ménestrel :

« La petite Jeanne… »

 

Franck, troublé :

« Jea-jea-jea… »

 

Le ménestrel :

« Si je dois t’engager dans ma troupe Ô maître de la paillardise, il te faudra travailler ta diction : il s’agit de Jeanne D’Arc, bien sûr !!!

Je ne vois pas ce qu’il y a d’extraordinaire quand on est la fille de Jacques et d’Isabelle, qui, depuis leurs justes noces, portent ce nom… »

 

Zorah, fronçant les sourcils :

« Quel est l’identité de cet hostile conseiller, attaché à l’évêque Cauchon ? »

 

Le ménestrel :

« On le nomme

« Chevalier Jacques de Hasbeen »,

toujours accompagné de son écuyer

« Obséquius », alias « le veule »… »

 

Franck 77 :

« Décidément, même jusqu’au bout de l’enfer, il me collera toujours comme une mouche à merde ce con-là!!!

Vous ne trouvez pas que ça vire au trouble obsessionnel compulsif cette histoire ?!? »

 

Zorah :

« Tu vaux mieux que ça Ô Franck : dis plutôt

« mouche à miel »… »

 

Franck la regarde avec beaucoup de tendresse, puis se reconcentre :

« Je ne crois pas avoir invité cet enfant de salope à « ma petite sauterie surréaliste », donc :  Dieu, si tu passes dans le coin, tu lui dis de jarter avant que je commette une bavure !!!

D’ailleurs, que fout-il là ce pauvre glaire ?!? »

 

La réponse sera donnée dans la deuxième partie, dans cet Océan Indien où nous avions laissé Pineau et Jiji, qui vont rencontrer les coéquipiers de Zorah arrivant enfin à la surface…

 

A très bientôt, les amis !!! 

 

« Seventy Seven » need you :

 

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( 3 juin, 2013 )

« Mister Charles » et « Monsieur Henri » font rigoler les Anges…

Ho, Mister Charles !

Yes : what you say ?!?

 

Hé :  Monsieur Henri !

 dans La musique que j'aime...

Ouais ! Qu’est-ce tu lui veux, mec ?!?

 

 dans Les facéties de Mésygues

Un petit duo s’il vous plait…

 

O.K. : fait péter la sono gamin !

On va te montrer qu’y savent faire les viocs !!!

 

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A plus…

( 26 mai, 2013 )

Je sais, tu me l’as dit déjà disait l’enfant…

J’en demandais pas tant !

Je sais, tu me l'as dit déjà disait l'enfant... dans Hommages et coups de gueule !

c’est ce que chantait l’ami Maxime (Leforestier).

 

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« Avec ce que j´ai fait pour toi »,
Disait le père,
« Je sais, tu me l´as dit déjà. »,
Disait l´enfant.
« J´en demandais pas tant.
Je suis là pour
Tourner autour
De cette terre
Tant que je suis vivant. »

« Vivant, qui t´a donné la vie? »,
Disait le père.
« Si c´est pour la passer ici »,
Disait l´enfant,
« Tu as perdu ton temps.
Si les fumées,
Dans les rues fermées,
Te sont légères,
Moi j´ai besoin du vent. »

« Et si tu venais à mourir? »,
Disait le père.
« On est tous là pour en finir »,
Disait l´enfant,
« Mais peu importe quand.
Je ne suis né
Que pour aller
Dessous la terre
Et l´oublier avant. »

« Nous, on vivait pour quelque chose. »,
Disait le père.
« Vous êtes morts pour pas grand chose. »,
Disait l´enfant.
« Je n´en ai pas le temps
Si, pour garder
Les mains liées,
Il faut la guerre.
Moi je m´en vais avant. »

« Ce monde, je l´ai fait pour toi. »,
Disait le père.
« Je sais, tu me l´as dit déjà. »,
Disait l´enfant.
« J´en demandais pas tant.
Il est foutu
Et je n´ai plus
Qu´à le refaire
Un peu plus souriant
Pour tes petits enfants. »

 

Hé oui, le conflit des générations ne date pas d’hier. Il était déjà depuis la nuit des temps objet de débats souvent animés au sein de cette cellule qui reliait les êtres, telle la colonne vertébrale du corps humain : la structure familiale…

L’animal le plus basique peuplant cette planète en « coloc » avec nous, les (soit-disant) civilisés, possède l’instinct qui le poussent à se reproduire et évoluer selon des critères que seule la nature a édictée et protéger leurs clans.

 

 dans Les facéties de Mésygues

 

Ce pourrait-il que Dieu [ou "le hasard" pour les anticléricaux épidermiques]  se soit fait chier la « etib » (lire à l’envers) à élaborer un système bien huilé pour le voir remettre en question en quelques mois par une minorité qui bouffe le caviar à la louche ?!?

 

Tout le monde ne s’appelle pas

« Elthon-Jonc » !!!

 

Aujourd’hui, c’est la fête des Mères,

et j’ai une question à poser aux intérimaires,

entre deux siestes subventionnées par le contribuable…

Au sein du couple monoparental masculin :

qui doit-on appeler « Maman » ?!?

 

Tu as raison, gamin…

Ce monde, il te faudra le refaire.

Un monde où l’enfant ne sera plus une marchandise, mais simplement un être vivant, continuité de ses ancêtres de sang ou de cœur.

Cet être que l’on ne fait ou n’obtient pas juste pour réaliser un fantasme ou pour avoir des allocs !!!

 

Je mets mon blog une nouvelle fois en pause pour une semaine,

pour cause de création…

Il faut que je me concentre sur ce que vous savez, donc, ne soyez pas surpris de n’avoir aucune réaction de ma part pendant ce laps de temps.

 

A bientôt !!!

( 22 mai, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (3ème épisode)

la tronche du gazier (franck77)

 

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Jack Hasbeen, assez furieux, en faisait baver à son conseil d’administration.

Il parlait ainsi :

Les tribulations de

« S’il est des têtes qui doivent tomber, je vendrai chèrement la mienne, Messieurs…

Je pensais avoir l’équipe la plus affûtée de « Schizoland » (filiale secrète expérimentale de « International-Unblog-Corporation »). Or il se trouve de je ne suis entouré que de « bras cassés » et de pantouflards, quand ce n’est pas les deux !!!

Quelqu’un peut-il m’expliquer par quel miracle Franck 77 s’est volatilisé dans la nature, depuis l’une des geôles les plus sécurisées du comté ?!? »

Observant l’un de ses lieutenants, il poursuit :

« Si ma conversation te gêne, tu me le dis tout de suite, Obsequius !!!

 

Obsequius :

 dans Les facéties de Mésygues

« Que nenni mon bon Maître ! Mais ce coussin qui fait tic-tac : ne trouvez vous pas cela bizarre ?!? »

  

Jack Hasbeen :

« Donne-moi ça idiot ! »

 

C’est tout ce qu’il eu le temps de dire avant la déflagration…

 dans Les tribulations de

 

Pendant ce temps, sur l’Océan Indien, un cyclone pas très orthodoxe fichait un boxon indescriptible.

Au sein des vagues déchaînées, deux « plaisanciers »

étaient comme leur voilier : assez mal barrés !

 

Avec cette subtilité qui n’appartenait qu’à lui, le premier personnage dit :

« Tu me feras penser : j’ai deux mots à dire à ce météorologiste de mes fesses, c’t'enfant de Marie !!! »

 

Le deuxième, accroché au mat d’artimon, à deux doigts de gerber son petit déj :

« Ne blasphème pas Jiji : n’oublie pas que tu as été [hurps !!!] le curé de Déconnoland !

[consulter à la rubrique "catégories" : "Dans les archives de Jiji 57 et Franck 77"]

Tu t’es jamais gouré, toi ?!? »

 

Jiji (car effectivement c’était lui) :

« A ce point, ce n’est même plus une erreur : c’est une œuvre d’art !

Si ce connard appelle ça une mer d’huile, alors « les vagues » : que sont-ce ?!?

Mon bon Pineau, je la sentais mal depuis le début cette expédition… »

 

Pineau (car c’était bien lui) :

« Dis-donc, on n’allait pas abandonner le Franck, tout de même ! »

 

Jiji :

« Je parle pas du motif, c’est la stratégie qui me défrise « un gros tinet » (comme dit le boss).

Ho, vise : ces drôles de bulles, serait-ce un jacuzzi préparé en notre honneur ?

Je n’ai pourtant pas vu de Club Med dans le coin ! »

 

Pineau, l’œil malin :

« A moins que « 77 », ayant réussi à se carapater, n’ait eu l’idée d’organiser un concours de pets à la fraîche, entre deux barrières de corail dans les profondeurs… »

Jiji, après un soupir :

« Pour dire autant de conneries au mètre carré, t’as dû passer des examens !!!

De plus, si c’était le cas, quel deuil pour l’écosystème : on va leur faire péter le cœur aux écolos… »

 

Pineau, venant de se prendre une vague en pleine poire :

« Ce serait pas une grosse perte !

Mais t’inquiète, on va pas tarder à être fixé :

je crois qu’on a de la visite… »

 

Cette dernière n’était autre que ce qui restait de la navette de nos extraterrestres X26 et 57, qui s’apprêtaient à faire surface.

X26 :

« Évitons d’effrayer les autochtones : prenons apparence humaine. »

 

X57, trifouillant dans ses archives :

« On peut essayer ça… »

 

X26, consterné :

« Tu veux nous faire lapider, fiston ?!?

N’oublie pas que la majorité de ces primaires croient encore en « la genèse !!! »

 

X57, sourire moqueur, après la seconde transformation :

« Parce qu’ils en sont toujours là ?

Vraiment craignos, les cousins des primates !

Enfin…

« Avec ces tronches-là, on va les rassurer ?!? »

 

X26 :

« Ne t’occupe pas de ça et active le sas : je crois que la journée sera longue… »

 

Mais, pendant ce temps-là : que devenait notre Franck 77, que nous avions laissé dans l’épisode 2 avec

Zorah, « le troisième alien » dont les courbes semblent avoir été créées pour damner les Dieux ?

 

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Nous le saurons dans l’épisode n° 4 :

a plus, mes ami(e)s !!!

 

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