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( 26 octobre, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (8ème épisode)

Note : celui qui n’a pas lu « l’épisode 7″, il risque de se paumer grave…

Jeanne (5/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

 

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http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr

 

Il faut sauver Jeanne (1ère époque)

 

Dans le foyer de la famille d’Arc, tout n’était pas si simple…

Les tribulations de

 

« Un caractère comme ça, ce n’est plus un inconvénient, c’est un véritable calvaire ! »

Ainsi parlait Jacques d’Arc à Isabelle Romée, son épouse.

 

Isabelle :

« N’a-t-elle pas de qui tenir, notre Jeanne ?

Car c’est bien d’elle que tu parles… »

 

Jacques d’Arc :

« Je ne te conseille pas d’user de ma patience, femme…

Ne m’oblige pas à te rudoyer le fessard ! »

 

Isabelle, après un soupir :

« Voilà bien les « mâles : vouloir tout régler par la violence… En plusieurs siècles de guerres, vous n’avez toujours rien compris, voilà pourquoi elles perdurent, à l’image de celle, interminable, qui nous oppose à l’Anglois… »

 

Jacques d’Arc :

« Tu me fatigues, femelle !

La violence en l’occurrence fut pratiquée par notre enfant à l’égard du fils du forgeron. »

 

Isabelle, ne pouvant dissimuler son sourire :

« Elle a donc fait tourment à ce grand benêt, qui sème la terreur parmi les enfants de la paroisse ?!? »

 

Jacques d’Arc :

« Ça ne me fait pas rire du tout, car notre Jeanne se complaît beaucoup trop à mon goût à se travestir dans des habits de garçon et à en adopter les jeux virils.

Tu verras qu’un jour, l’inquisition lui fera misère rien que pour cela !!! »

 

Isabelle :

« Tu dramatises tout, ce n’est qu’une fillotte de treize ans. »

 

Jacques d’Arc :

« Elle ne le sera pas éternellement.

 dans Les facéties de Mésygues

Si elle continue dans cette voix,

j’ai bien peur qu’elle ne termine pucelle, et que de l’amour elle ne connaisse jamais la flamme !!! »

 

Isabelle :

« Quel rabat-joie !

Et si, dans un élan de mansuétude, tu lui en laissais le temps ?

Où est-elle, au fait ? »

 

Jacques d’Arc :

« Je l’ai envoyée s’occuper des montons, puisqu’elle refuse toujours de s’occuper de « justin ». »

 

Isabelle :

« Comment se fait-il qu’elle redoute tant ce cochon ?!? »

 

 dans Les tribulations de

La petite Jeanne boudait dans son coin, observant les animaux dont elle avait la charge.

Soudain, une sphère lumineuse éclairant tout le ciel se posa non loin d’elle.

Ce phénomène, loin de l’effrayer à l’instar de ses montons, ne fit que renforcer sa foi. Elle se mit à prier.

 

Dans cette sphère, était X57, qui se parla à lui-même :

« Je sens que je vais encore me faire engueuler par le paternel, moi !

Il le savait pourtant bien que je ne suis pas encore au point avec cette téléportation…

Quand il va savoir que j’ai perdu mon kit portable dans la bataille : ça va être la fête à bibi !!! »

 

De quelle bataille parlait-il ?

Bon sang, les Templiers :

on les aurait presque oubliés, ceux-là !!!

Les justes, représentés par Clotaire, avaient eu raison de Landry l’opportuniste et de ses hommes.

 

Clotaire dont la lame se tenait au niveau de la gorge de Landry :

« Je te fais grâce, reprends ton épée : qu’elle soit au service de Dieu, non de ceux qui le parodient ! »

 

Landry s’exécuta, monta sur son cheval et se mit en route, suivi de ses compagnons d’infortune en majorité blessés comme lui.

L’un d’eux, s’adressant à Landry :

« Qu’allons-nous devenir, vaincus par Clotaire et Abandonnés par le Chevalier Jacques de Hasbeen ? »

 

Un autre, se tenant le flanc :

« C’est faire offense à la chevalerie que d’attribuer si noble titre à tel couard !!! Avez-vous vu comme il a fui? »

 

Landry :

« Retournons à Rouen : je plaiderai notre cause auprès de Monseigneur Cauchon ! »

 

Clotaire, les regardant avec pitié :

« De ce jour, nous devenons des fantômes errants… »

 

Thibaut, l’un des compagnons de Clotaire :

« Que racontes-tu mon ami ?!?

Nous sommes, tu le vois, tout ce qu’il y a de bien vivant ! »

 

Clotaire, souriant affectueusement :

« C’était une métaphore, fidèle compagnon… »

 

Thibaut, fronçant les sourcils :

« Que n’es-tu compliqué parfois !

Qu’est-ce donc ? »

 

Clotaire :

« Une façon de dire que nous sommes les derniers à mettre notre épée, au service de la morale et de la justice… »

 

Thibaut, montrant Landry et ses hommes sur leurs montures, dont on ne voyait plus que les ombres :

« …Contrairement à ceux-là, qui se feront les valets de qui possède fortune et pouvoir…

A choisir : mieux vaut être fantôme qu’esclave… »

 

Clotaire :

« Rejoignons céans les envoyés de Dieu ! »

 

 

 

 

Envoyés de Dieu ?

Ils parlaient de Pineau, Jiji, X26, X57 et Merlin, qui, quelques minutes plus tôt s’étaient mis à la poursuite de l’infâme Hasbeen et de son valet…

Mais, que ce passe-t-il plus loin ?!?

 

Dans la forêt habituellement si calme qui menait à Domrémy, deux cavaliers galopant à bride abattue, suivis de très près par un troisième, croisèrent un vieil homme et son fils, alors que les deux chargeaient du bois dans une charrette attelée à un bœuf.

Le vieil homme :

« Vin diou, z’ont le feu au cul ceux là !!! »

 

Le fils :

« Fais-donc gaffe, heu’l’patrenel : v’a du rabiot ! »

 

Effectivement, deux autres passèrent à la vitesse de l’éclair.

Pineau, faisant partie du lot, s’adressa à Jiji en très mauvaise posture :

« Ho : tu t’entraînes pour Médrano ou quoi ?!? »

 

Jiji, après avoir juré comme un charretier,

 dans Les facéties de Mésygues

exécutant une chorégraphie équestre désespérée

dans le but de remonter sur la selle de son cheval :

« Puisque tu veux le savoir, j’en profitais pour faire un recensement sur les plantes vivaces qui poussaient en Lorraine au 15ème…

Une autre question, avant que je ne m’écrase la tronche en terre sainte ?!? »

 

Pineau allait lui donner la main quand deux sphères lumineuses se portèrent au secours de Jiji, le remettant en bonne posture, avant de disparaître vers l’horizon.

Jiji à pineau, après un « ouf »de soulagement :

« Tu me feras penser à faire un gros poutou sur le museau de

 

Brok et Chnok (X26 & 57),

car je suppose que c’étaient eux… »

 

Le fils, ayant observé la scène, se grattant la tête :

« On peut pas dire que ce soit une journée comme les autres ! »

 

Le vieil homme, faisant de même :

« Depuis qu’on a retrouvé ces moines en train de pioncer dans not’ Charrette à matin, dont cet espèce de géant, je ne m’étonne plus de rien, fiston… »

 

Effectivement, quelques heures plus tôt,un psaume assez rustique sortant des cordes vocales du fils du fagotier, avait réveillé une bonne partie de Domrémy sous cette forme mystique assez controversée :

« De Dieu de Dieu !!! »

 

Le Père, embarrassé :

« T’es pas bredin, dit ?!?

Jurer comme ça à deux pas de l’église !!!

Si un des ces fi d’garce heu’d’ l’inquisition nous a entendu, pas besoin d’allumer la cheminée pour se chauffer la couenne c’t’ hiver : vont s’en charger pour nous au frais du comté… »

 

Lui-même poussa un cri lorsque l’immense Julius émergea du tas de bois.

Ce dernier, s’adressant aux deux :

« Où sont les sataniques ?!? »

 

Le vieil homme, aidant les autres moines à s’extraire de la charrette :

« Qu’ek j’en sais, moi ?

Et puis…

Z’êtes vraiment sûrs de vouloir retrouver ceux qui vous ont arrangés comme ça ? »

 

Le fils, narquois :

« Bah, après tout, s’ils veulent connaître le martyr… J’me suis laissé dire qu’y fallait en passer par là pour être canonisé. Tu te rends compte heu’l'Père : si ça s’trouve, on taille la bavette avec des Saints !!!

 

Tandis que le regard de Julius se faisait de plus en plus menaçant, le vieil homme reprit la parole :

« Scusez mon fils, j’ai jamais eu le temps de le terminer… M’enfin, « heureux le fêlé car il laisse passer la lumière », (il cligne de l’œil) comme on dit !

Pour vos « sataniques », j’peux pas vous en dire plus, mais si vous les voyez, faudrait tacher voir à leur rappeler que ma charrette, c’est pas une auberge… »

 

Julius, s’adressant aux autres moines, comme s’il avait eu une révélation :

« Loué soit Seigneur qui guide nos pas ! Nous les retrouverons, c’est une évidence, chez ce mécréant de Duchenot.

Allons pressément !!! »

 

Le vieil homme, observant ces moines douloureux mettant laborieusement un pied devant l’autre :

« Font pitié, quand même !

Avec des religieux comme ça, je ne donne même pas cinq siècles au Royaume de France avant d’être livré définitivement aux païens… »

 

 

Pendant ce temps, chez Duchenot…

 

Isaac, qui fut le premier des ménestrels à émerger de la paille de la grange, s’adressa ainsi à sa troupe :

« Mes amis, réveillez-vous ! Nous devons reprendre la route dès que possible. »

Il regarde alentours

« Où sont donc nos deux tourtereaux ? »

 

Ermeline, une des danseuses de la troupe :

« La mère Duchenot leur a offert une chambre pour la nuitée, en reconnaissance du spectacle féerique que donna « Franck le Magnifique »… »

 

Simon, musicien :

« Jamais, de mémoire d’homme, luth ne fut joué avec telle dextérité, ni textes libertins si brillamment interprétés ! »

 

Isaac :

« Sa chanson « Tirelipimpon sur le chihuahua », j’avoue ne pas en avoir saisi toutes les arcanes… »

 

Ermeline, soupirant :

« Mais son ode  :

« Que je t’aime », j’en frisonne encore !!! »

 

Ida, une autre danseuse, euphorique :

« Quand tu n’te sens plus chatte

Et que tu deviens chienne

Et qu’à l’appel du loup

Tu brises enfin tes chaînes… »

 

Ermeline, reprenant :

« Quand ton premier soupir

Se finit dans un cri

Quand c’est moi qui dit non

Quand c’est toi qui dis oui… »

 

Isaac, s’adressant à son régisseur :

« Mon bon Thomas, peux-tu réveiller ce violeur de cœurs ainsi que sa doulce amie ? »

 

Thomas, le sourire aux lèvres monta l’escalier. La porte était mal fermée, c’est ainsi qu’il entendit la suite…

 

Franck venant de se réveiller

sur de sympathiques coussins :

« J’ai dormi comme un bébé, je me sens aussi reposé que si je m’étais couché à l’heure des poules. Mais quelque chose me dit qu’il n’en n’est rien… »

 

Zorah, essayant de dissimuler son embarras :

« Pourquoi dis-tu cela ? »

 

Franck :

« J’ai quelques souvenirs du spectacle et de la liesse qui s’en suivit.

Puis je me rappelle un baiser

Un baiser pour pour de vrai

Un baiser libertin

Enfin bref un patin

Et autre chose… »

 

Zorah, rougissante :

« Oui, délicieuse chose… »

 

Franck, dubitatif :

« Aurions-nous cédé à la déraison ?!?

(Il se raccroche à son humour)

Si tu devais avoir une brioche au four, faudra qu’on s’organise pour la garde partagée, vu que des années lumières séparent nos deux mondes ! »

 

Zorah, mettant une main sur chaque tempe de Franck :

« Tu dois effacer de ta mémoire notre folle nuit… »

 

Thomas, très déconcerté, s’éloigna de la porte et descendit l’escalier de bois craquant sur la pointe des pieds.

Isaac, se fichant de lui :

« Crache un coup, t’es tout pâle : on dirait que tu fus témoin de sorcellerie, l’ami ! »

 

Ida :

« A propos de sorcellerie, regardez-donc ce qui se passe dehors ! »

 

Jack Hasbeen et Obséquis mordaient la poussière, éjectés de leurs montures par la magie très explosive de Merlin, à la porte de l’auberge.

Merlin à Jack Hasbeen :

« Ici s’arrête ta route, infâme usurpateur !!!

Je ne te laisserai point occire jeune vierge et changer le destin du monde !!! »

 

Jack Hasbeen s’étant relevé l’épée à la main, crachant quelques feuilles qu’il avait dans la bouche :

« Es-tu seul, vieil homme, pour t’opposer à moi ?!? »

 

Obséquius inquiet, s’époussetant en faisant un sourire de faux-cul à Merlin:

« Mon bon Maître, trop d’émotions vous égarent, cet honorable druide peut nous étrier le temps d’un battement de cil : gloire à lui de n’en rien faire ! »

 

Merlin à Obséquius :

« Tes paroles sont celles de la sagesse.

Que fais-tu donc au service de cet inepte (il montre Hasbeen) qui n’a que mépris pour toi ? »

 

Hasbeen dépité, s’accrochant cependant à son épée :

« Bonjour l’angoisse : comme ces psy de supermarché, il va nous la faire

à la Mireille Dumas ! »

 

Merlin, après un soupir :

« Con et Misogyne, en plus ?!? »

 

Obséquius, se lâchant un peu :

« C’est un pléonasme… »

 

Hasbeen, faisant les gros yeux :

« Ne serais-tu pas en train de virer ta cuti ?

Puisque c’est ainsi… »

 

Il lâcha son épée, sortit de sa poche une sorte de télécommande, pressa un doigt dessus et disparu dans le même nuage de poussière qui vit apparaître X26.

Ce dernier, rajustant sa tenue aussi froissée qu’anachronique :

« Ha dites-donc, ça circule aujourd’hui !!!

Je serais bien venu plus tôt, mais j’ai encore du mal avec ce nouveau modèle de téléportation. En plus, j’ai paumé le filston en route…

J’ai croisé un ostrogoth qui m’est passé au raz de la tronche dans le couloir spatio-temporel !

C’était qui ce branque ? »

 

Obséquius, complètement détruit :

« C’était le Chevalier Jacques de Hasbeen…

Mon Maître est parti sans moi !!! »

 

Merlin, mettant sa main sur l’épaule d’Obséquius :

« Cette baudruche ne te méritait pas.

Désormais, tu mettras ta loyauté au service de bonnes causes… »

 

« Quelqu’un peut me dire comment on arrête cet engin ?!? »

Cette voix qui venait d’interrompre la conversation entre Merlin et Obséquius n’était autre que celle de Jiji, qui tirait désespérément sur les reines de son cheval complètement emballé.

 

Les moines venaient juste d’arriver.

Julius, se mit en travers du chemin :

« Halte-là, hérétique !!! »

 

Jiji, tenant miraculeusement sur sa monture et se cachant les yeux :

« Dieu, si t’es dans le coin : ait pitié de ce grand con… »

 

Le choc stoppa net le cheval qui se retrouva à terre. Il se releva, secoua la tête puis repris sa course.

Jiji, lui, avait fait un vol plané qui l’avait envoyé jusque dans l’abreuvoir de l’auberge, lui inspirant ce commentaire spontané :

« Ho pute borgne ça fait froid au cul !!! »

 

Franck 77, sorti de son nid douillet, avait assisté à la scène. Ayant reconnu son copain, il dit :

« Toujours autant la classe Padré… »

 

 

 

 

Suite au prochain épisode…

 

« Seventy Seven » need you :

 

http://franck77.unblog.fr/ 

( 21 octobre, 2013 )

Ça ferait effectivement du bien à la France !!!

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Ça ferait effectivement du bien à la France !!!  dans Hommages et coups de gueule !

 

 dans Les facéties de Mésygues

 

 

 

Heu…

 

 

Capito ?!?

( 1 octobre, 2013 )

Tout va très bien, Madame la Marquise…

Allô allô, Fanfan, quelles nouvelles ?

Absente depuis quinze jours

Je vous appelle ami fidèle :

 

Tout va très bien, Madame la Marquise... dans Hommages et coups de gueule !

Que trouverai-je à mon retour ?

 

Pauvre Fanfan… Que répondre à part :

 dans Hum... C'que ça m'énerve !!!
Mais qu’allais-je donc faire dans cette galère ?!?


Le monde est bien compliqué et la France…

Oui, la France…

 dans Les facéties de Mésygues

Ho là là : la France !!!

 

On traite les Français de fainéants, on dit que les entreprises ferment… Pour une fois qu’on en a trouvé qui veulent bien bosser, le dimanche en plus (!), que des entreprises tournent et que les clients sont satisfaits, il faut que certains pisses-vinaigre viennent lancer leurs rouges pavetons dans cette mare qui, jusque là était fluide, limpide, harmonieuse…

« Il faut respecter la loi, point barre! » :

 

dire que c’est un syndicat dont les membres les plus actifs en appellent régulièrement à la « désobéissance citoyenne » exigeant une amnistie auprès de Fanfan laTulipe, après avoir commis

quelques petits dérapages urbains,

qui dit ça!!!


Dans cette même logique, il fallait mettre en prison toute femme Française portant un pantalon en ville et dans les lieux publics, en vertu d’une loi datant de 1799…
Ce gouvernement ayant à cœur de traiter les dossiers prioritaires, a abrogé cette loi en février de cette année :

ouf !!!

On l’a échappée belle, parce qu’avec ces ayatollahs du droit, vous avez eu chaud là où je pense,

pas vrai mes petites chéries ?

 

Le « repos dominical » a été accordé en 1906 en compensation de ce qui s’était passé l’année précédente, qui avait vu la séparation de l’Église et de l’État. Ainsi, ceux qui le voulaient pouvaient aller plus facilement à la messe…

Vos maîtres à penser,

particulièrement ceux là :

font pas la gueule en vous voyant défendre un des plus vils symboles de la réaction au sein d’une République Laïque ?!?

 

Nous n’en sommes plus à une contradiction près, et en règle générale, dans cet esprit

de cohésion et d’entente cordiale,

nous pouvons l’affirmer haut et fort :

 

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Pour sûr… 

On déplore un tout petit rien !!!

( 27 septembre, 2013 )

Jésus Marie Joseph, ayez pitié de nous : les retraités de l’an 2000 arrivent !!!

Jésus Marie Joseph, ayez pitié de nous : les retraités de l'an 2000 arrivent !!! dans Entre nous...

Ils ont déjà changé de profil depuis quelques années.

Fini les vieux de la vieille qui se shootent au gros rouge qui tache : tout ça est parti avec

 dans Les facéties de Mésygues

Lazare Ponticelli, notre dernier poilu,

que je salue avec toute la tendresse et le respect du Monde !!!

 

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L’harmonica ou le bugle ne sont plus rangés dans un coin de l’armoire de l’espace réservé dans ce qui était jusqu’à présent l’antichambre de la mort, plus communément appelée « maison de retraite ».

Fini la javel qui vous prenait à la gorge, maintenant on aseptise aux essences d’abricot, de mangue ou de tout ce que vous voulez (le client est roi !).

J’ai bien dit « essence », parce que c’est comme pour les yaourts ou les petits-suisses aromatisés : si vous trouvez la moindre particule de fruit là-dedans,

c’est que vous êtes plus balèzes que les experts,

dont le plus bel exploit est d’avoir retrouvé les glaouis de « Tata Georgette » (enfin qu’on appelait

« Oncle Georges »

avant qu’il n’ait eu l’idée de jouer les Fred Astaire sur une mine antipersonnel en Afghanistan !),

mais qui ont fait « chou-blanc » sur les dernières analyses concernant les produits en question !!!

 

Les choses changent, et nos « nouveaux vieux » n’échappent pas à la règle.

Ils arrivent avec des ordinateurs et exigent la Wi-Fi…

Tu diriges un service de gériatrie et tu ne réponds pas à cette demande :

Que Dieu t’ait en sa Sainte Garde !!!

 

La chorale « des vieilles pies », autour d’un piano désaccordé et un d’un accordéon rance, a laissé sa place aux guitares au son distordu et à l’orgue Hammond que relaient leurs amplis.

 

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Gaffe la marmaille, parce qu’à force d’être classés parmi les vulnérables, les vieux en ont pris de la graine, ils en ont même pris ombrage :

alors, avant de vous y attaquer, réfléchissez un peu !

Moi, je vous dis ça…

 

Planquez votre shit et vos cocktail hallucinogènes les aminches du personnel, car ils seraient bien capables de chouraver vos stocks pour la prochaine teuf qu’ils vont improviser dans les sous-sols.

Et toi, la directrice de la maison de retraite, si l’idée saugrenue te venait de baver sur les rouleaux de tes administrés « new generation », sache qu’à l’encontre de leurs prédécesseurs : eux ne se laisseront pas faire :

ils seront ton pire cauchemar !!!

 

Leurs i Phones seront directement reliés aux meilleurs avocats et les élus leur picoreront dans les mains, puisqu’ils seront les plus nombreux à avoir une carte d’électeur ainsi qu’un pouvoir d’achat non négligeable, si nécessaire à notre économie, particulièrement en temps de crise…

 

En vérité, je vous le dis : la guerre ne sera plus entre jeunes et vieux, mais entre ceux qui, parmi les plus anciens, auront choisi d’être fan des Beatles ou des Rolling Stones !!!

 

 

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Et oui, tout fout le camp,

 

même la vieillesse… Hi-hi !!!

( 3 septembre, 2013 )

Fait pas la bougie Antonio : si on peut plus rigoler cinq minutes…

Fait pas la bougie Antonio : si on peut plus rigoler cinq minutes... dans Ha ! On est bien...

Au début, ça déconcerte, j’en conviens.

Mais décrispe-toi un peu, « ma vieille » !!!

 

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Beethoven, lui, n’a rien dit quand Bernard Haller s’est occupé de son cas !

 

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A plus, et sans rancune…

( 31 août, 2013 )

L’apprenti sorcier…

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Chacun est confronté un jour à son « seuil d’incompétence », c’est ce qui met fin a son ascension sociale.

A ceux qui demandent des bilans, qu’ils fassent gaffe

L'apprenti sorcier... dans Les facéties de Mésygues

quand viendra le temps de faire le leur…

Le peuple n’est peut-être pas « ben fin », mais il sait ce qu’il a dans son assiette, et l’Orient (moyen ou extrême),  c’est pas vraiment sa priorité en ce moment !

 

( 29 août, 2013 )

Rambo-Hollande s’en va-t-en guerre…

 

Rambo-Hollande s'en va-t-en guerre... dans Les facéties de Mésygues

On se calme, « Fanfan la praline » !!!

Et range ta pétoire : tu vas finir par blesser quelqu’un…

Je sais qu’on a jamais trop de temps pour les loisirs, et que

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si on bricolait plus souvent,

on aurait moins la tête aux bêtises.

M’enfin : avec tes conneries, tu va finir par nous la déclencher, la Troisième Guerre Mondiale !

 

Un vilain Monsieur aurait gazé des djihadistes (on attend encore les résultats de l’enquête) : je critique pas le côté « farce » mais côté « fair-play », y’aurait effectivement à redire…

 

Quant aux menaces de Fabuis,

je voudrais pas semer la pagaille mais :

l’autre s’en tamponne franchement le coquillard !

Malgré toutes les horreurs qu’il a pu, qu’il peut et pourra faire, il sait qu’il a deux alliés de poids : Chine et Russie

qui ne s’embarrassent pas de telles considérations…

 

Condamner, si elle est avérée, l’utilisation d’une arme chimique faisant, détail aggravant, des victimes civiles : c’est le devoir de tout membre de la communauté internationale et notre devoir d’humain !

 

Cependant…

 

Sortir les sulfateuses et toute la quincaillerie qui va avec, ça va forcément occasionner des dommages collatéraux.

Qui va remplacer « l’infâme » :

ceux-là ?!?

Heu… Mon petit Fanfan, serait-ce un effet de ta bonté de t’occuper en priorité des dossiers « de proximité » qui intéressent le commun des mortels, tu sais : ceux pour qui tu es censé travailler, redonner du pouvoir d’achat, du boulot… Enfin toutes ces broutilles, quoi ?

 

Et lâche cet engin quand on te cause !!!

 

La guerre, c’est une histoire de Grands, et la Syrie n’est pas le Mali…

 

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( 19 août, 2013 )

Bon, ma petite FANETTE, « La Comparsita » à la gratte : suffit de s’y mettre…

C’est pas ben compliqué !

 

Étape 1 : la leçon

(bon, c’est pas en français, mais je fais avec ce que j’ai…

Tu veux pas que je te tienne la partoche en plus ?!?)

 

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Après, tu n’as juste qu’à broder autour du thème pendant la répete…

 

Etape n° 2 : la pratique…

 

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Allez : au boulot : on t’attend pour ton concert in « Angers-City » !!!

 

Et on termine par l’incontournable Julio :

 

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( 16 août, 2013 )

Planquez les dossiers qui fâchent : Jacques Vergès va plaider chez Saint Pierre…

Planquez les dossiers qui fâchent : Jacques Vergès va plaider chez Saint Pierre... dans Hommages et coups de gueule !

Jacques Vergès (1925-2013)

 

Une crise cardiaque a emporté le plus célèbre avocat de France et le plus décrié aussi.

Mais peut-on reprocher à un avocat de faire son métier, même pour les pires crapules ?

Là où il fallait arrêter le délire (pour le dossier que je connais), c’était de demander un non-lieu pour Klaus Barbie, voir le présenter comme un sujet à canoniser…

 

Je salue malgré tout  la mémoire de cet être complexe, et bon courage, Pierrot :

 dans Les facéties de Mésygues

je t’envoie une tonne de Doliprane pour toi et ton équipe,

parce que ta nouvelle recrue, elle a un bagou, je te dis pas !!!

 

Et fais gaffe à ton patron (ben oui, le Papa de Jésus…), l’ostrogoth  s’rait capable de foutre son bordel et offrir (enfin si on peut dire, vu les tarifs !) ses services à Papa Joseph, pour obtenir des dédommagements, suite à ce qu’il a fait à Marie.

 

Les tests ADN sont déjà en route :

perd pas de temps  l’vieux renard !!!

 

Sont pas dans la merde là-haut, pour sûr…

( 11 août, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (7ème épisode) 

Jeanne (4/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

 

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Évitez de changer le passé et de réveiller un enchanteur qui dort !

 

Hiver 1425 : dans une forêt au Nord-Est du Royaume de France, une cohorte de Templiers faisait halte. Celui qui en avait pris le commandement s’adressa ainsi à ses hommes :

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (7ème épisode)  dans Ha ! On est bien...

« Messires, je me suis démené auprès de son Excellence Monseigneur Cauchon afin de rétablir « officieusement » votre ordre, conscient qu’il n’est asservi qu’à Dieu, donc le plus apte à lutter contre l’hérétique et ses complices : alors sachez être digne de la confiance et des espoirs que j’ai mis en vous…

Cette halte est la dernière avant Domrémy, profitez-bien de ce repos, car vous aurez à livrer bataille comme jamais vous n’en connûtes, nobles soldats du Christ !!! »

 

Les Templiers :

 dans Les facéties de Mésygues

« Montjoie, Saint-Denis

Que trépasse si je faiblis !!! 

Dieu garde le Chevalier Jacques de Hasbeen, notre bienfaiteur !!! »

 

Jack Hasbeen savait pertinemment que ces paroles enthousiastes n’étaient que le fruit de tractations éhontée. En effet, il n’avait eu aucun scrupule à changer les paramètres du passé à son profit…

Ce cyclone inexpliqué, qui l’avait plongé depuis trois ans dans le XVème siècle avec son sous fifre Obsequis, lui avait permis d’obtenir contre toute éthique ce qui lui manquait tant dans son triste XXIème : le pouvoir et la respectabilité…

Mais il savait bien en son fort intérieur que tout cela n’était, à l’image de sa vie, qu’une immense escroquerie guidé par un esprit malade.

Le Prieur Gillequin, le moine donneur d’ordre qui s’était soustrait à la raclé de ses sujets (dont l’ex-invincible « Julius ») grâce à sa vitesse de pointe, lui avait appris que Franck 77 était arrivé depuis moins de vingt-quatre heures à Domrémy, aidé d’une créature diabolique.

Il s’était adjoint les services d’un exorciste aguerri, accrédité par la « Sainte Inquisition » :

 dans Les tribulations de

Frère Lancelin.

Celui-ci leva soudain ses yeux, atteint de cécité, en direction de la voûte céleste.

Saisi par l’angoisse, il dit, tel un prédicateur :

« En vérité je vous le dis, l’ennemi est beaucoup plus complexe que nous ne le pensons. Il viendra d’où on ne l’attend pas !!! »

 

Obséquius, agacé :

« Mon bon Maître, pourquoi avez-vous mis cette vieille relique dans nos bagages ?!?

Et puis ces Templiers : je ne vois en eux que des mercenaires mercantiles ayant renié leur fondamentaux ! S’il en était autrement, pourquoi cet ordre fut-il dissout à plus d’un siècle d’ici ? »

 

Hasbeen :

« Ne discute pas mes choix, ma stratégie te dépasse !!!

Et… »

A son tour, il regarde le ciel, puis effrayé, essaie de reprendre :

« Et… »

 

Obséquius, concentré sur Lancelin et les Templiers, attendant la suite :

« Et ?!? »

 

Hasbeen, le visage de plus en plus décomposé :

« Ha non de Dieu !!! »

 

Obsequius, ironique :

« De tels arguments ne souffrent aucune contradiction… »

Puis, regardant enfin le firmament, il décocha :

« Ho Fan de chichoune !!! »

 

En effet, une lumière surnaturelle, similaire à celle qui les avait transportés trois ans plus tôt dans ce siècle, transperça les arbres de la forêt au travers de leurs branches, puis on entendit  d’énormes bruits composés d’un mélange de fracas et de tonnerre…

 

Les Templiers posèrent chacun un genou à terre et se mirent à prier, tandis que Frère Lancelin brandit une croix en direction du ciel embrasé en vociférant :

« Satan, quitte ces lieux à l’instant : je te l’ordonne !!! »

 

« Hé-là, qu’espanouille : plus personne ne respecte donc le sommeil éternel ?!?

Décidément,  fout le camp !!!

D’où venez-vous, étranges étrangers si bruyants, et vous les autres si encombrant, arborant un blason qui ne m’est pas inconnu ?!? »

Ainsi parlait un étrange personnage, que l’atterrissage de nos amis Pineau, Jiji, X26 et 57 dans le XVème siècle venait de réveiller en fanfare…

 

Pineau, couvert de terre, de feuilles et de brindilles parlant à l’homme dont la barbe blanche était assez impressionnante :

« Excusez-nous d’arriver ainsi à brûle-pourpoint !

Ayant moi-même le réveil terriblement maussade et le phrasé fort discourtois quand on n’y met pas les formes, je m’associe avec compassion à votre indignation, Monsieur…

Monsieur ? »

 

L’homme :

« On me prête plusieurs noms, mais on m’appelle le plus souvent « Merlin l’enchanteur »… et vous ? »

 

Pineau, aussi septique qu’hilare :

« Ha, je sens on ne va pas s’ennuyer dans cette époque, heu-heu !!!

Moi, je suis « Mig Gégère »,

et mes copains c’est les « Beatles »… »

 

Jiji était coincé par une branche au sommet d’un chêne. Il essayait de se dégager en exécutant, avec ses jambes dans le vide, un mouvement de pédaler.

Pineau reprend en le désignant :

« D’ailleurs, si « Ringo Star » pouvait arrêter de faire le con cinq minutes, ça nous ferait des vacances ! »

 

Merlin, fronçant les yeux :

« Quelque chose me dit qu’il nous honorer de sa présence dans un délai relativement bref… »

 

Un craquement se fait entendre, puis on entends la « douce voix » de Jiji :

« Oui, ben, si vous tenez à vos abatis:restez pas en dessous !!! »

 

Merlin fit apparaître un lit de mousse qui amortit la chute de Jiji qui, en se relevant dit :

« Hé, les poteaux, je croyais que le facteur allait organiser un rapatriement sanitaire pour Bibi. Je le voyais style « sept colis postaux » livré à mes héritiers, mais là, force est de constater qu’il va falloir faire patienter le notaire, avant que tout ce beau monde ne se fasse de la fraîche sur ma couenne… »

Il s’adresse à Merlin :

« Votre matelas, ce s’rait-y pas de l’Epéda multispire ?

Pour le fessard,  je ne sais de plus bel agrément !!!

Faites une promo, je vous en prends un couple de dix tout de suite pour « SDF-Land », mon centre qui accueille ceux qui n’ont jamais eu la chance de connaître cette volupté qui consiste à péter dans la soie dès le plus jeune âge…

Si on fait affaire, s’rez bien urbain d’envoyer la facture à mon Fr’anckounet-chéri à Tripote-Moi-Les-Joyeuses »

 

Quelques templiers furent touchés par les paroles de Jiji, dont le Chevalier Clotaire, qui s’adressa à ses compagnons en ces termes :

« Bénit soit cet homme, car grande est sa foi !

Il nous rappelle ce nous avons renié avec le temps, qui fut pourtant notre raison d’exister : la main tendu aux plus démunis, comme nous l’avait enseigné le Christ !!! »

 

Landry, un autre chevalier, lui répondit :

« Tout cela est mort depuis le jour où les derniers représentant légitimes de notre ordre se virent excommuniés, accusés de toutes les avanies !

Les grands qui se servirent de nos prédécesseurs, jamais ne se soucièrent de la Rédemption du Christ. Ils n’avaient qu’un souci : l’argent que nous pouvions leur prêter, sauvant ainsi leurs royaumes de leur choix dispendieux !!! »

 

Clotaire :

« Nous avions fait vœu de pauvreté, même l’Église de Rome qui sonna notre glas s’en est écartée, en instituant le « commerce des indulgences ». Moult chrétiens pourraient bien créer une scission en « protestant »…

Ma foi n’en n’est que plus renforcée : l’argent qui ne profite pas aux pauvres pervertit inexorablement celui qui le détient ! »

 

X26 & 57 firent leur apparition.

X26 à 57 :

« C’est curieux chez les humains ce besoin de faire des phrases… »

 

Jack Hasbeen, contrarié, aux Templiers :

« Embarquez-moi tout ce monde-là et toute personne qui contestera mes ordres !!!

 

Merlin, le regardant avec pitié :

« Pauvre hère, es-tu Dieu pour avoir la prétention d’enfermer dans tes geôles le légendaire Merlin et ses amis ? »

 

Tandis que Lancelin dirigeait sont crucifix en direction de Merlin en marmonant des phrases en latin, le Prieur Gillequin s’adressa aux Templiers en ces termes:

« Assez tergiversé, n’écoutez pas cet antéchrist ! Un ordre on ne peut plus explicite vous été donné : qui s’y soustraira sera soumis à la question !!! »

 

La moitié des Chevaliers, Landry en tête, s’avança, soudain stoppée par l’autre moitié, dirigée par Clotaire.

Les deux camps se faisaient face, épée à la main, prêts à en découdre.

Obséquius, surpris par la tournure que prenait les événements, dit à Clotaire :

« Ne soyez-pas irresponsable, Chevalier, en vous opposant à mon Maître, vous vous opposez à Monseigneur Cauchon, vous signez donc votre arrêt de mort et celle de tous ceux qui vous suivront… Alors qu’il vous est offert « fortune et respectabilité » si vous respectez les termes du contrat !!! »

 

Le Chevalier Clotaire :

« Respectabilité ? Lorsqu’il s’agit d’occire des suppôts de Satan, on pourrait y croire… Mais quid de cette fille de 13 ans, connue à Domrémy pour sa piété, qui devait faire partie des « victimes collatérales ?!? »

 

Landry à Jack Hasbeen :

« Est-ce vrai ? »

 

Jack Hasbeen à Obséquius :

« Traitre ! C’est toi qui a cafté ?!? »

 

Obséquius :

« Que nenni, votre Grandeur !!!

Demandez plutôt à ces moines que l’on dit aussi muets que des carpes et s’avèrent aussi bavards que des pies dont ils ont adopté la discrétion… »

 

Le Prieur Gillequin aux Templiers :

« Vous n’êtes pas là pour juger les décisions prise d’en haut !

Obéissez ou soyez maudits ! »

 

Clotaire le pointant de son épée :

« Alors, maudissez-moi ! »

Puis ayant tracé une ligne du bout de sa lame sur le sol :

« Ce glaive transpercera l’injuste mais, ho grand jamais, jeune vierge : qui m’aime me suive, à la droite de Dieu… »

 

Le chevalier Landry, déçu de constater que la moitié des soldats demeuraient ralliés à Clotaire :

« Bande de rêveurs : notre ordre ne pourra être réhabilité que si nous avons l’aval des puissants. Les sentiments les plus louables hélas ne sont plus de ce temps car tout s’achète, même l’église, ne nous voilons pas la face.

Le monde se modernise.

Les Rois sans argent n’ont plus aucun pouvoir.

Le pouvoir est celui de l’argent, celui qui jadis fit notre gloire, depuis la Bretagne jusqu’en Judée !

Je choisi en conséquence, l’opportunité que me donne ce dont on nous a trop longtemps frustré : le pouvoir… »

 

Clotaire :

« C’est grand dommage… »

 

Landry et Clotaire entamèrent un duel sans merci qui se termina en affrontement général.

 

Jack Hasbeen, complètement détruit, montant sur un cheval :

« Obsequius, prends une monture et suis-moi !

Pendant que ces abrutis de foutent sur la gueule : on va essayer de sauver la baraque… »

 

Merlin prit à son tour une monture, tandis que Pineau, essayant de retenir Jiji qui voulait se mêler au conflit, s’adressa à l’enchanteur :

« Il va où le Magicien ?!? »

 

Merlin :

« Ne vous inquiétez pas, je reviens de suite… »

Gillequin et Lancelin le pointant du doigt comme pour l’exorciser, vociférant leurs formules latines, il rajouta :

« Commencent à me gonfler ces deux-là !!! »

 

Il fit un geste en leur direction

et les transforma en crapaud, concluant par :

« J’t'en foutrais de l’Antéchrist, moi, non mais… »

 

Suite au 8ème épisode « il faut sauver Jeanne », où nos amis et ennemis vont tous se retrouver !

Dans la conclusion de l’épisode précédent, Franck et Zorah n’étaient pas vraiment à plaindre…

Le calme qui précède la tempête ?

 

 

« Seventy Seven » need you :

 

http://franck77.unblog.fr/ 

 

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