( 22 juin, 2013 )

Quand les nanas sont en chasse…

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Un petit moment de bonheur …

( 20 juin, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode)

Jeanne (2/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

 

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http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr/

 

« Et oui, chers amis, l’infâme Jack Hasbeen (ennemi juré de Franck 77), et son valet Obséquis, avait été catapultés depuis le 21ème siècle en 1422, atterrissant

aux pieds de « Cauchon »…

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode)  dans Ha ! On est bien...

Pas le restaurant, bande de buses :

 dans Les facéties de Mésygues

je parlais de l’évêque !!!

Pssssss…

Un peu de sérieux, SVP,

cette histoire n’est déjà pas évidente à raconter…

Je vous signale en passant que :

 dans Les tribulations de

je ramasse les copies à la fin de l’épisode !

 

Voici la suite de l’histoire… »

 

Océan Indien au milieu de la tempête, juste avant que Hasbeen et Obséquius ne soient catapultés en 1422.

 

Jiji se tenait à ce qu’il pouvait dans le voilier de son copain Pineau, devenu aussi insubmersible que le Titanic.

Pineau, désespéré, s’exprimait en ces termes :

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode) dans Ha ! On est bien...

« Et merde ! Dire que j’ai même pas fini de le payer ce rafiot !!! »

 

Jiji :

« Ecoute, ma poule, je t’aiderai à remplir tous les formulaires du monde pour obtenir le remboursement de  ton assurance, mais avant , il y a une étape cruciale à respecter… »

 

Pineau ayant de l’eau jusqu’au cou, ne perdant (comme on le constatera plus tard) jamais le Nord :

« Négocier avec la société de crédit ? »

 

 dans Les facéties de Mésygues

 

« Elle t’as mis sur la paille

Fini les jours de ripaille

Mais elle te laisse tes ficelles de caleçon :

 dans Les tribulations de

Merci « SOCIÉTÉ SOFRINCON » !!! »

 

Jiji :

« Barre toi de mon histoire, publicitaire de mes deux, avant que je ne te fasse une vasectomie au « spécial »  !!!

Tu veux que je te dise, mon brave Pineau ?

La pub, surtout clandestine, c’est vraiment le fléau des temps modernes :

la négation de toute abnégation !«

 

Pineau :

« C’est beau ce que tu dis : ta poésie me transporte.

Cependant et si tu me le permets, on en discutera plus tard, le temps de remettre mon estomac en place.

Si ce n’est celle du crédit : de quelle étape cruciale parlais-tu ? »

 

Jiji :

« Rester en vie, ce serait déjà un bon début… »

Soudain, son visage s’éclaire, il dit :

« Ho la belle bleue !!! »

 

Pineau, inquiet :

« Il ne manquait plus que ça : l’émotion était trop forte, elle a fait vaciller ta raison… »

 

Jiji, trouvant le temps d’être ironique entre deux vagues :

« Heureux celui qui croira sans avoir vu, mais pour toi, on va sous-titrer (hurps) : homme de peu de foi ! »

 

Alors que le voilier avait définitivement coulé, au grand désespoir de Pineau, les deux naufragés furent happés par « la belle bleue », cette sphère lumineuse repérée par Jiji et qui avait surgi de l’océan.

 

Juste avant que les deux ne perdent connaissance, Pineau eut le temps de dire :

« Tu crois qu’on est passé de l’autre côté de la lumière ?!? »

 

Pendant ce temps, Jack Hasbeen vilipendait  Obséquius, les deux emprisonnés au cœur de ce cyclone non encore répertorié dans les archives terrestres.

 

Jack Hasbeen :

« Sombre crétin !!!

Si je t’avais nommé chef du « Département Sécurité » de Schizoland, ce n’était pas pour laisser échapper ce Franck 77 de malheur, et encore moins me faire don de son petit cadeau qui nous a pété à la gueule…

Ton incompétence dépasse de loin ta bêtise ! »

 

Obséquis :

« J’entends bien mon bon Maître, mais je ne vous ai jamais donné le coussin infernal, vous qui me l’avez pris des mains… »

 

Hasbeen, vexé :

« Tais-toi, tu n’es qu’un rat !!! »

 

Obséquius, fronçant les sourcils et crispant les lèvres:

« Un jour… »

 

Hasbeen, menaçant :

« Quoi ?!? »

 

Obséquius, ravalant son orgueil :

« Ho rien, splendeur hiérarchique… »

Puis regardant  en bas :

« Je pense que nous arrivons bientôt, votre Grandeur! »

 

La rencontre.

 

La chute fut assez spectaculaire, semant le désordre dans la garde du convoi d’une personnalité ecclésiastique, qui avait quitté Paris et s’en revenait à Rouen…

 

Le chef des gardes :

« Diablerie !!!

Ces suppôts de Belzébuth ne doivent atteindre Monseigneur Cauchon : faisons rempart de nos corps, Dieu nous donnera force et foi pour  protéger le juste !!! »

 

Cauchon :

« Emparez-vous de ces créatures sans les occire : nous les soumettrons à la question… »

 

 

Hasbeen et obséquius ne firent jamais pire voyage, chacun enchaîné derrière la monture d’un chevalier et fouetté dès qu’ils diminuaient la cadence.

Ils furent jetés au cachot lorsque l’expédition arriva enfin à Rouen.

Dès le lendemain, plusieurs moines firent irruption, avec à leur tête un homme assez inquiétant, dont les yeux exorbités trahissait son fanatisme religieux.

priester

Celui-ci, désignant Hasbeen dit :

« Celui-là doit être le dirigeant : nous commencerons par lui ! »

Hasbeen fut emmené sans ménagement vers la salle de torture.

 

Obséquius, angoissé, se dit à lui-même :

« Pourvu que le Maître ait bien assimilé ce que je lui ai appris durant cette courte nuit, et surtout qu’il résiste à la douleur, sinon nous sommes bons pour le bûcher… »

 

Celui que « le Maître » surnommait avec mépris « le rat » avait, sans avoir l’air d’y toucher, glané entre deux coups de fouet quelques informations durant son trajet douloureux. Ainsi, il savait que l’époque où les deux avaient été catapultés était le mois d’août 1422, en pleine guerre de cent ans dans le fief de l’évêque Cauchon, alors conseiller du roi anglais Henri V, rival de Charles VI, roi de France complètement fou dont la démence lui ôtait toute crédibilité auprès des princes.

Les deux étaient destinés à mourir cette même année, changeant la donne de l’ascension de Cauchon, qui bientôt se verrait privé de protection…

Cette époque, Obséquis la connaissait pour avoir été obligé, suite à une punition, d’en faire un exposé écrit à son professeur, lorsqu’il était au lycée.

S’il avait pu se douter qu’un jour cette punition serait la clé de sa sauvegarde…

 

Lorsque Hasbeen fut ramené au cachot, les moines le déposèrent au plus vite à terre sans lui remettre ses chaînes et quittèrent l’endroit, effrayés, le laissant presque inanimé à terre.

 

Obséquis, se risquant à une question :

« Comment allez-vous mon bon Maître ? »

 

Lui :

« Sachant que ces tarés m’ont mis les brodequins, je pense que pour le Marathon de New-York, il va me falloir une légère remise à niveau.

Sinon, ça biche…

Quand je pourrai de nouveau arquer, rien que pour m’avoir posé cette question subtile :

rappelle-moi de t’en mettre une !!! »

 

Cauchon, assisté de deux autres responsables ecclésiastiques, attendait le résultat de la question dont le Père Maroilles devait se faire l’écho, dans la salle de réunion.

 

Maroilles :

« Cet hérétique, malgré les supplices divins, n’accepta de parler que dans le cadre de la confession ! »

 

Cauchon :

« Que ne le fîtes-vous en l’occurrence ?!? »

 

Maroilles :

« La chose fut accomplie céans si l’énergumène n’en décida pas autrement. Il exigea, malgré les tortures de notre zélé Frère Julius, de ne se confier qu’à votre excellence. »

 

Cauchon :

« Soit : que l’on fasse mander ce réfractaire au confessionnal de la chapelle ! »

 

Lorsque les moines entèrent de nouveau dans le cachot, Hasbeen s’adressa à Obséquius, arborant un rictus sadique :

« Je crois que nous avons de la visite. En fait, je n’étais qu’un amuse-gueules, tu vas leur servir de plat de résistance, hum-hum : à la tienne, mon cher ! »

 

 

Le Frère Julius, désignant Hasbeen :

« Saisissez celui-là ! »

 

Hasbeen :

« Ha ben non, quoi, J’ai déjà donné !!! »

Désignant Obséquius :

« Et pourquoi pas lui ?!? »

 

Julius :

« Si tu veux vivre, ne pose pas de questions… »

 

Obséquius :

« Dire que toute ma vie j’ai rêvé d’être chef.

Si insignifiante soit mon existence,bien m’en prit de n’être que leur ombre, ne serait-ce que pour la conserver ! »

 

Cauchon ayant accepté la requête de Hasbeen,

les deux se retrouvèrent dans le confessionnal…

 

Nous saurons ce qu’il s’y est dit au prochain épisode,

où nous retrouverons Franck 77, Zorah, ainsi que Jiji et Pineau, qui vont enfin voir le visage de X26 & 57, leurs sauveurs…

 

 

« Seventy Seven » need you :

 

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( 16 juin, 2013 )

Raymond Devos : sept ans déjà ?!?

Raymond Devos : sept ans déjà ?!? dans Ha ! On est bien...

Raymond Devos (1922-2006)

 

Il nous a quitté le 15 juin 2013 [2006, comme tu le précises à juste titre, ami Loïc !] à l’âge de 83 ans, mais il est de ces êtres qui ne meurent jamais..

 

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A plus…

( 13 juin, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (4ème épisode)

Jeanne (1/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

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Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com'y voudraient... (4ème épisode) dans Ha ! On est bien...

Emportés par ce champ électro magnétique aussi craignos pour un simple mortel que pour un être interstellaire, Zorah était collée contre notre ami Franck, qui était loin de s’en plaindre…

Intriguée, par un détail (dirons-nous) technique, elle se risqua à une question :

 dans Les facéties de Mésygues

« Heu… Mister Seventy Seven : est-ce ton stylo que je sens contre moi ? »

 

Franck :

« Un stylo, lequel ?!?

 dans Les tribulations de

Hum, ne me tente pas cruelle !!! »

 

Zorah :

« Sacré canaillou !!! »

 

Franck 77 :

« Je crois qu’on arrive bientôt, ma princesse.

Par contre je suis bien incapable de te dire où et quand,

mais mon petit doigt me dit qu’on a dû faire un putain de retour d’âge sur le cadran de l’horloge… »

 

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Zorah :

« Quelle est cette musique ? »

 

« Je sais pas, mais si les musicos restent dans l’axe, y’a de la contusion multiple dans l’air, de la fracture ouverte, le Yalta de l’hémoglobine : un sacré coup de grisou dans le tempo des créatifs qui vont connaître de près la définition du mot « puzzle », quand mésigue  aura testé bien malgré lui les lois de la gravité sur leurs usine à alexandrins !!! »

Ainsi parlait Franck, qui essayait de négocier son atterrissage catastrophe en tandem…

Une charrette de fagots lui évita d’embrasser les pavés d’une rue qu’il découvrait moyenâgeuse, tandis que Zorah, divinement souple et aérienne,

exécutait une figure de style de toute  beauté !

Le ménestrel qui avait eu le temps de terminer l’interprétation de sa chanson en fut ébloui, tandis que plusieurs moines présents sur les lieux se signèrent.

Celui qui semblait être leur chef dit:

« Vade Retro Satana !!!

Emparez-vous de cet hérétique et de la sorcière ! »

 

Franck :

« Même pas en rêve les filles !!!

Vous voulez la jouer « viril » ?!?

Commencez à enfiler des pantalons, ça vous changera des enfants de cœur…

 

L’un des moines aux autres :

« Nous nous occupons de la sorcière, laissons ce possédé au Frère Julius. »

 

Un autre moine, horrifié, se signant de nouveau :

« Julius ?!?

Que Dieu ait pitié de l’âme de ce pauvre pécheur !!! »

 

Sans rien comprendre, Franck fut soulevé de terre par le dit « Frère Julius ».

Ce dernier était aussi haut qu’une montagne et fort comme un bœuf !

Malgré tout son courage, sa ruse et sa détermination, notre pauvre Franck dérouillait.

C’était bien la première fois qu’il tombait sur un adversaire que rien ne semblait pouvoir détruire, aussi fut-il surpris de le voir voltiger à son tour, tel un fétu de paille,

par les bons soins

de Zorah !

Elle l’assomma avec une facilité déconcertante, le faisant rejoindre à terre ses autres compagnons à qui elle avait réservé le même sort.

 

Le chef des moines, lui, avait pris ses jambes à son cou en criant :

« A la garde !

A la garde !

Sus aux sataniques !!! »

 

Zorah, moqueuse :

« Le secret de la force serait donc dans le pantalon ? »

 

Franck, légèrement contrarié, alors que Zorah lui essuyait le sang qui coulait sur sur son visage :

« La situation était sous contrôle : il commençait à se fatiguer.

Encore une minute ou deux et je te la faisais valser cette gonflette sans couilles !! »

 

Zorah, relevant Franck tout endolori :

« Mais oui, tu as raison…

En attendant, planquons les moines dans cette charrette de fagots et tirons-nous d’ici, on nous regarde ! »

 

Effectivement, derrière une fenêtre, une jeune fille avait été témoin de toute la scène.

Elle était subjuguée par les performances de cette femme à l’étrange prénom et à la tenue si singulière, plus forte que les hommes.

« Jeanne, au lieu de rêvasser, viens donc dresser la table, ton père s’en revient du labeur ! »

Ainsi parlait Isabelle, sa Maman…

 

Une main vint se poser sur l’épaule de Franck, qui arma son poing pour répliquer à une éventuelle agression. Il se ravisa en constatant que cette main était celle d’un des ménestrels, qui lui tint ce langage :

« Suivez-moi, si vous voulez échapper à la milice de Cauchon… »

 

Zorah, intriguée :

« Ces moines sont si sales que ça ?!? »

 

Le ménestrel, avec le sourire :

« Cauchon, l’évêque…

Pas l’animal qui ronchit dans sa merdasse !

Quoi qu’à y bien réfléchir, l’évêque au service de « l’anglois abominatif « ne fait guère mieux.

Il vous cherche céans, guidé par son vil conseiller : un chevalier qui lui serait tombé du ciel avec un autre homme, son valet, en l’an de disgrâce 1422, alors qu’il effectuait le trajet entre Paris et Rouen… »

 

Franck, regardant la maison d’où la petite fille avait observé les deux explorateurs spatiotemporels:

« Ces pierres ne me sont pas inconnues : il me semble les avoir vu depuis toujours… »

 

Le ménestrel :

« Qui ne connaît pas la demeure de « Jacques D’Arc », honorable laboureur et collecteur d’impôt de notre bonne ville de Domrémy ! »

 

Zorah :

« Peux-tu, Ô ami, nous rappeler en quelle année nous sommes ? »

 

Le ménestrel :

« Quelle étrange question !

En l’an de grâce 1425, bien sûr… »

 

Franck, interloqué :

« La petiote qui nous a observé par la fenêtre est donc… »

 

Le ménestrel :

« La petite Jeanne… »

 

Franck, troublé :

« Jea-jea-jea… »

 

Le ménestrel :

« Si je dois t’engager dans ma troupe Ô maître de la paillardise, il te faudra travailler ta diction : il s’agit de Jeanne D’Arc, bien sûr !!!

Je ne vois pas ce qu’il y a d’extraordinaire quand on est la fille de Jacques et d’Isabelle, qui, depuis leurs justes noces, portent ce nom… »

 

Zorah, fronçant les sourcils :

« Quel est l’identité de cet hostile conseiller, attaché à l’évêque Cauchon ? »

 

Le ménestrel :

« On le nomme

« Chevalier Jacques de Hasbeen »,

toujours accompagné de son écuyer

« Obséquius », alias « le veule »… »

 

Franck 77 :

« Décidément, même jusqu’au bout de l’enfer, il me collera toujours comme une mouche à merde ce con-là!!!

Vous ne trouvez pas que ça vire au trouble obsessionnel compulsif cette histoire ?!? »

 

Zorah :

« Tu vaux mieux que ça Ô Franck : dis plutôt

« mouche à miel »… »

 

Franck la regarde avec beaucoup de tendresse, puis se reconcentre :

« Je ne crois pas avoir invité cet enfant de salope à « ma petite sauterie surréaliste », donc :  Dieu, si tu passes dans le coin, tu lui dis de jarter avant que je commette une bavure !!!

D’ailleurs, que fout-il là ce pauvre glaire ?!? »

 

La réponse sera donnée dans la deuxième partie, dans cet Océan Indien où nous avions laissé Pineau et Jiji, qui vont rencontrer les coéquipiers de Zorah arrivant enfin à la surface…

 

A très bientôt, les amis !!! 

 

« Seventy Seven » need you :

 

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( 10 juin, 2013 )

Quand l’émotion fait tomber la barrière des nations et des langues…

Alors, tout devient universel :

nul besoin de comprendre les paroles puisque c’est le cœur qui parle !

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Quand l'émotion fait tomber la barrière des nations et des langues... dans Ha ! On est bien...

 

A plus…

( 3 juin, 2013 )

« Mister Charles » et « Monsieur Henri » font rigoler les Anges…

Ho, Mister Charles !

Yes : what you say ?!?

 

Hé :  Monsieur Henri !

 dans La musique que j'aime...

Ouais ! Qu’est-ce tu lui veux, mec ?!?

 

 dans Les facéties de Mésygues

Un petit duo s’il vous plait…

 

O.K. : fait péter la sono gamin !

On va te montrer qu’y savent faire les viocs !!!

 

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A plus…

( 22 mai, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (3ème épisode)

la tronche du gazier (franck77)

 

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Jack Hasbeen, assez furieux, en faisait baver à son conseil d’administration.

Il parlait ainsi :

Les tribulations de

« S’il est des têtes qui doivent tomber, je vendrai chèrement la mienne, Messieurs…

Je pensais avoir l’équipe la plus affûtée de « Schizoland » (filiale secrète expérimentale de « International-Unblog-Corporation »). Or il se trouve de je ne suis entouré que de « bras cassés » et de pantouflards, quand ce n’est pas les deux !!!

Quelqu’un peut-il m’expliquer par quel miracle Franck 77 s’est volatilisé dans la nature, depuis l’une des geôles les plus sécurisées du comté ?!? »

Observant l’un de ses lieutenants, il poursuit :

« Si ma conversation te gêne, tu me le dis tout de suite, Obsequius !!!

 

Obsequius :

 dans Les facéties de Mésygues

« Que nenni mon bon Maître ! Mais ce coussin qui fait tic-tac : ne trouvez vous pas cela bizarre ?!? »

  

Jack Hasbeen :

« Donne-moi ça idiot ! »

 

C’est tout ce qu’il eu le temps de dire avant la déflagration…

 dans Les tribulations de

 

Pendant ce temps, sur l’Océan Indien, un cyclone pas très orthodoxe fichait un boxon indescriptible.

Au sein des vagues déchaînées, deux « plaisanciers »

étaient comme leur voilier : assez mal barrés !

 

Avec cette subtilité qui n’appartenait qu’à lui, le premier personnage dit :

« Tu me feras penser : j’ai deux mots à dire à ce météorologiste de mes fesses, c’t'enfant de Marie !!! »

 

Le deuxième, accroché au mat d’artimon, à deux doigts de gerber son petit déj :

« Ne blasphème pas Jiji : n’oublie pas que tu as été [hurps !!!] le curé de Déconnoland !

[consulter à la rubrique "catégories" : "Dans les archives de Jiji 57 et Franck 77"]

Tu t’es jamais gouré, toi ?!? »

 

Jiji (car effectivement c’était lui) :

« A ce point, ce n’est même plus une erreur : c’est une œuvre d’art !

Si ce connard appelle ça une mer d’huile, alors « les vagues » : que sont-ce ?!?

Mon bon Pineau, je la sentais mal depuis le début cette expédition… »

 

Pineau (car c’était bien lui) :

« Dis-donc, on n’allait pas abandonner le Franck, tout de même ! »

 

Jiji :

« Je parle pas du motif, c’est la stratégie qui me défrise « un gros tinet » (comme dit le boss).

Ho, vise : ces drôles de bulles, serait-ce un jacuzzi préparé en notre honneur ?

Je n’ai pourtant pas vu de Club Med dans le coin ! »

 

Pineau, l’œil malin :

« A moins que « 77 », ayant réussi à se carapater, n’ait eu l’idée d’organiser un concours de pets à la fraîche, entre deux barrières de corail dans les profondeurs… »

Jiji, après un soupir :

« Pour dire autant de conneries au mètre carré, t’as dû passer des examens !!!

De plus, si c’était le cas, quel deuil pour l’écosystème : on va leur faire péter le cœur aux écolos… »

 

Pineau, venant de se prendre une vague en pleine poire :

« Ce serait pas une grosse perte !

Mais t’inquiète, on va pas tarder à être fixé :

je crois qu’on a de la visite… »

 

Cette dernière n’était autre que ce qui restait de la navette de nos extraterrestres X26 et 57, qui s’apprêtaient à faire surface.

X26 :

« Évitons d’effrayer les autochtones : prenons apparence humaine. »

 

X57, trifouillant dans ses archives :

« On peut essayer ça… »

 

X26, consterné :

« Tu veux nous faire lapider, fiston ?!?

N’oublie pas que la majorité de ces primaires croient encore en « la genèse !!! »

 

X57, sourire moqueur, après la seconde transformation :

« Parce qu’ils en sont toujours là ?

Vraiment craignos, les cousins des primates !

Enfin…

« Avec ces tronches-là, on va les rassurer ?!? »

 

X26 :

« Ne t’occupe pas de ça et active le sas : je crois que la journée sera longue… »

 

Mais, pendant ce temps-là : que devenait notre Franck 77, que nous avions laissé dans l’épisode 2 avec

Zorah, « le troisième alien » dont les courbes semblent avoir été créées pour damner les Dieux ?

 

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Nous le saurons dans l’épisode n° 4 :

a plus, mes ami(e)s !!!

 

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( 15 mai, 2013 )

Le pluriel de « un petit beurre », ce s’rait pas « des touyous » Mister JC ?!?

J’étais en train d’écrire cette fichue 39ème/E qui n’en termine pas, pour toi :

Le pluriel de

Ô public chéri (!!!)

quand soudain j’entendis :

 

 dans Hommages et coups de gueule !

« Pssssssssssit !!! »

 

Je me contentais, sortant d’une scène où j’étais pourtant bien investi : mon grand-père étant (par ma plume) en train de s’engueuler une fois de plus avec son propre père en une époque où j’étais encore bien loin d’exister, puisque ma Maman venait juste de naître (!),

je me contais donc, disais-je, de répondre :

 

 dans Les facéties de Mésygues

« Hein ?!? »

 

C’était ma petite fée Clochette qui venait d’entrer dans ma sphère « virtuelle ».

Elle savait que chacune de ses visites était un petit brin de paradis, de tendresse…

 

Qu’es-tu venue me dire aujourd’hui, douce fée ?

 

 

N’aurais-tu pas oublié quelque chose ?

Regarde donc le calendrier…

 

 

Ho la boulette : les trois ans du blog de JC :

j’ai failli le zapper, dis !!!

Merci de me l’avoir rappelé…

Bon, je vais voir le Père Coffe, lui aura sûrement une idée pour organiser une surprise pour notre JC international !

 

« Dis-donc Jiji, « ma vieille », on a failli t’attendre :

sacré toi !!!

 

S’cuse-moi, j’étais encore sous le coup de l’émotion.

Deux disparus sur nos blogs en deux mois :

ça facilite pas la concentration ni l’aptitude à la fête !

 

Quand j’ai perdu mon Jeannot,

j’ai connu ce même chagrin…

Mais il faut bien que la vie continue.

 

Arrêtez de chialer les mecs, vos défunts,

ils sont au paradis : Dieu les a accueillis avec amour, et ils veillent sur vous !

Bon : qu’est-ce que tu lui a préparé à becter à notre JC pour les trois ans de sa taule ?!?

 

Comment t’as deviné l’objet de la surprise ?!?

 

Pas besoin d’être devin, ma poule…

 

Pour toi le Jiji : laisse-moi deviner :

tu vas nous sortir une de tes archives sur YouTube !

Pas vrai ?

 

T’es chiant : tu devine tout !!!

 

T’es beau mon Jiji comme ça !!!

Et toi, Jean-Pierre, c’est quoi ta recette ?

 

Petite curieuse, vas !!!

La voici :

 

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Hummmmmm !

Mon petit Jiji : tu peux me dire quelle est ton idée de cadeau ?

 

 

On ne peut rien te refuser quand tu fais ces yeux-là…

Voilà ce que j’ai trouvé :

 

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Ho, Tel que je te connais, tu as sûrement un petit bonus caché quelque part !

 

Hum-hum…

Ben v’oui !!!

 

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Je pense que tout y est : on peut désormais souhaiter à notre JC un bon anniversaire, et souhaiter que son blog perdure pour l’éternité,

080502085629176052019580

d’où ceux que l’on a aimés nous regardent avec bienveillance…

 

Hé-hé : sacré JC, si t’étais pas là !!!

http://jcn54.unblog.fr/

 

A plus mon pote…

 

( 13 mai, 2013 )

Quand Martin avait la grosse tête et que Kersauson était à quai…

Quand Martin avait la grosse tête et que Kersauson était à quai... dans Ha ! On est bien...

Pour Phillipe : pas facile de poser une question,

 dans Les facéties de Mésygues

quand Jacquot était dans les coin…

Et si Olivier était en renfort : autant dire que c’était « Mission impossible » !!!

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Et cet historique revisité de Montluçon : un chef d’oeuvre qui vaut le détour :

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A plus…

( 1 mai, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient (2ème épisode)

la tronche du gazier (franck77)

 

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La belle alien

 

« Ha, on me la recopiera, celle-là…

Non mais regarde-moi ça, ma barque est bonne pour le Père Lachaise !

La prochaine fois, je leur offre un GPS aux martiens, ou alors des cours de pilotage !!! »

Ainsi parlait Franck 77…

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com'y voudraient (2ème épisode) dans Ha ! On est bien...

Il essayait de rejoindre à la nage une île qu’il avait repéré au loin, remorquant le seul passager inanimé de l’embarcation qui lui était tombée sur la calebasse. 

Arrivant enfin sur la plage, Franck ouvrit la combinaison de l’inconnu, qui en fait se révéla être « une » inconnue, ce qui lui fit dire en la ranimant : 

 dans Les facéties de Mésygues

« Vin diou la belle alien !!! »

 

Pendant ce temps, au fond de ce même océan,

 dans Les tribulations de

un vaisseau sous marin en scrutait les abysses. Il était occupé par X26 et X57 (car c’étaient eux) qui, pour ne pas changer s’engueulaient.

 

X26 :

« Est-ce de ma faute, fiston, si Zorah n’a pas eu le temps de sauter dans le vaisseau de secours, et que n’en faisant à sa tête, elle a refusé de mettre son gilet de sauvetage, tout cela parce que la couleur n’allait pas à son teint ?!? »

 

X57 :

« L’autorité dans notre vaisseau, c’est toi !

Il fallait l’obliger !!! »

 

X26 :

« parce que tu crois qu’elle m’aurait écoutée ?!?

Je te signale de c’est à la suite d’une de ces conneries qu’on a perdu la navette !

Quand il va falloir que j’annonce tout ça à son oncle…

En attendant, continuons nos recherches : nous ne pouvons laisser notre matériel en 

n’importe quelle main, particulièrement de ces humains si autodestructeurs !

Bouder ne changera rien au problème… »

 

A la surface, Franck 77 essayait de consoler Zorah (puisque c’était elle),

lui tendant une épaule fraternelle (enfin…).

Franck :

« O.K., c’est pas la joie, mais il faut positiver…

Ils n’auront plus jamais mal aux dents ! »

 

L’océan qui semblait dormir se réveilla soudain très violemment.

Franck 77 :

« C’est quoi ce boxon ?!? »

 

Zorah, retrouvant le sourire :

« Ils ont survécu et vont bientôt réapparaître !!! »

 

Franck 77 :

«Bien ! Mais tes copains ne se reposent jamais, dis ?

Et regarde le ciel : c’est quoi encore ce bins ?!? »

 

Zorah :

« Ho non, méga délire : ils ont déverrouillé le convecteur spatio-temporel !!! »

 

Franck 77 :

« Heu… Tu peux sous-titrer ma belle ?!? »

 

Zorah :

« Tu ne vas pas tarder à comprendre… »

 

A suivre…

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