- Accueil
- > Ha ! On est bien...
Toots et Stevie : deux anges qui ne jouent pas de la harpe mais de l’harmonica…
En causant de Mazières-en-Gâtines et de La Cluse-et-Mijoux…
Des vacances d’été qui fredonnent « Hulot »…
Le temps passe trop vite, surtout le mois d’août quand on est en vacances…
Depuis 1936, quelle que soient la conjoncture, quelle que soit l’époque, qu’on soit riche ou pauvre, elles sont tout ce qui reste des acquis de nos anciens : cette parcelle de bonheur à laquelle aujourd’hui on s’accroche entre deux galères, entre deux stress !!!
Jacques Tati, alias Mr Hulot les abordait avec son âme de poète…
Dans les années 50, pas de crédit. Pour les familles modestes, « il fallait faire attention quand on avait payé le prix d’une location » (comme dans la chanson de Jonasz).
On ne payait pas les routes, le prix du litre d’essence était insignifiant, les véhicules n’étaient pas cul-à-cul (il n’y en avait pas encore assez), seules les gares étaient engorgées.

Une autre époque…
Bon, ma petite FANETTE, « La Comparsita » à la gratte : suffit de s’y mettre…
C’est pas ben compliqué !
Étape 1 : la leçon
(bon, c’est pas en français, mais je fais avec ce que j’ai…
Tu veux pas que je te tienne la partoche en plus ?!?)

Après, tu n’as juste qu’à broder autour du thème pendant la répete…
Etape n° 2 : la pratique…

Allez : au boulot : on t’attend pour ton concert in « Angers-City » !!!
Et on termine par l’incontournable Julio :

FANETTE, t’es dans l’coin ?!?
Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (7ème épisode)
Jeanne (4/10)

http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr
Évitez de changer le passé et de réveiller un enchanteur qui dort !
Hiver 1425 : dans une forêt au Nord-Est du Royaume de France, une cohorte de Templiers faisait halte. Celui qui en avait pris le commandement s’adressa ainsi à ses hommes :
« Messires, je me suis démené auprès de son Excellence Monseigneur Cauchon afin de rétablir « officieusement » votre ordre, conscient qu’il n’est asservi qu’à Dieu, donc le plus apte à lutter contre l’hérétique et ses complices : alors sachez être digne de la confiance et des espoirs que j’ai mis en vous…
Cette halte est la dernière avant Domrémy, profitez-bien de ce repos, car vous aurez à livrer bataille comme jamais vous n’en connûtes, nobles soldats du Christ !!! »
Les Templiers :
« Montjoie, Saint-Denis
Que trépasse si je faiblis !!!
Dieu garde le Chevalier Jacques de Hasbeen, notre bienfaiteur !!! »
Jack Hasbeen savait pertinemment que ces paroles enthousiastes n’étaient que le fruit de tractations éhontée. En effet, il n’avait eu aucun scrupule à changer les paramètres du passé à son profit…
Ce cyclone inexpliqué, qui l’avait plongé depuis trois ans dans le XVème siècle avec son sous fifre Obsequis, lui avait permis d’obtenir contre toute éthique ce qui lui manquait tant dans son triste XXIème : le pouvoir et la respectabilité…
Mais il savait bien en son fort intérieur que tout cela n’était, à l’image de sa vie, qu’une immense escroquerie guidé par un esprit malade.
Le Prieur Gillequin, le moine donneur d’ordre qui s’était soustrait à la raclé de ses sujets (dont l’ex-invincible « Julius ») grâce à sa vitesse de pointe, lui avait appris que Franck 77 était arrivé depuis moins de vingt-quatre heures à Domrémy, aidé d’une créature diabolique.
Il s’était adjoint les services d’un exorciste aguerri, accrédité par la « Sainte Inquisition » :
Frère Lancelin.
Celui-ci leva soudain ses yeux, atteint de cécité, en direction de la voûte céleste.
Saisi par l’angoisse, il dit, tel un prédicateur :
« En vérité je vous le dis, l’ennemi est beaucoup plus complexe que nous ne le pensons. Il viendra d’où on ne l’attend pas !!! »
Obséquius, agacé :
« Mon bon Maître, pourquoi avez-vous mis cette vieille relique dans nos bagages ?!?
Et puis ces Templiers : je ne vois en eux que des mercenaires mercantiles ayant renié leur fondamentaux ! S’il en était autrement, pourquoi cet ordre fut-il dissout à plus d’un siècle d’ici ? »
Hasbeen :
« Ne discute pas mes choix, ma stratégie te dépasse !!!
Et… »
A son tour, il regarde le ciel, puis effrayé, essaie de reprendre :
« Et… »
Obséquius, concentré sur Lancelin et les Templiers, attendant la suite :
« Et ?!? »
Hasbeen, le visage de plus en plus décomposé :
« Ha non de Dieu !!! »
Obsequius, ironique :
« De tels arguments ne souffrent aucune contradiction… »
Puis, regardant enfin le firmament, il décocha :
« Ho Fan de chichoune !!! »
En effet, une lumière surnaturelle, similaire à celle qui les avait transportés trois ans plus tôt dans ce siècle, transperça les arbres de la forêt au travers de leurs branches, puis on entendit d’énormes bruits composés d’un mélange de fracas et de tonnerre…
Les Templiers posèrent chacun un genou à terre et se mirent à prier, tandis que Frère Lancelin brandit une croix en direction du ciel embrasé en vociférant :
« Satan, quitte ces lieux à l’instant : je te l’ordonne !!! »
« Hé-là, qu’espanouille : plus personne ne respecte donc le sommeil éternel ?!?
Décidément, fout le camp !!!
D’où venez-vous, étranges étrangers si bruyants, et vous les autres si encombrant, arborant un blason qui ne m’est pas inconnu ?!? »
Ainsi parlait un étrange personnage, que l’atterrissage de nos amis Pineau, Jiji, X26 et 57 dans le XVème siècle venait de réveiller en fanfare…
Pineau, couvert de terre, de feuilles et de brindilles parlant à l’homme dont la barbe blanche était assez impressionnante :
« Excusez-nous d’arriver ainsi à brûle-pourpoint !
Ayant moi-même le réveil terriblement maussade et le phrasé fort discourtois quand on n’y met pas les formes, je m’associe avec compassion à votre indignation, Monsieur…
Monsieur ? »
L’homme :
« On me prête plusieurs noms, mais on m’appelle le plus souvent « Merlin l’enchanteur »… et vous ? »
Pineau, aussi septique qu’hilare :
« Ha, je sens on ne va pas s’ennuyer dans cette époque, heu-heu !!!
Moi, je suis « Mig Gégère »,
et mes copains c’est les « Beatles »… »
Jiji était coincé par une branche au sommet d’un chêne. Il essayait de se dégager en exécutant, avec ses jambes dans le vide, un mouvement de pédaler.
Pineau reprend en le désignant :
« D’ailleurs, si « Ringo Star » pouvait arrêter de faire le con cinq minutes, ça nous ferait des vacances ! »
Merlin, fronçant les yeux :
« Quelque chose me dit qu’il nous honorer de sa présence dans un délai relativement bref… »
Un craquement se fait entendre, puis on entends la « douce voix » de Jiji :
« Oui, ben, si vous tenez à vos abatis:restez pas en dessous !!! »
Merlin fit apparaître un lit de mousse qui amortit la chute de Jiji qui, en se relevant dit :
« Hé, les poteaux, je croyais que le facteur allait organiser un rapatriement sanitaire pour Bibi. Je le voyais style « sept colis postaux » livré à mes héritiers, mais là, force est de constater qu’il va falloir faire patienter le notaire, avant que tout ce beau monde ne se fasse de la fraîche sur ma couenne… »
Il s’adresse à Merlin :
« Votre matelas, ce s’rait-y pas de l’Epéda multispire ?
Pour le fessard, je ne sais de plus bel agrément !!!
Faites une promo, je vous en prends un couple de dix tout de suite pour « SDF-Land », mon centre qui accueille ceux qui n’ont jamais eu la chance de connaître cette volupté qui consiste à péter dans la soie dès le plus jeune âge…
Si on fait affaire, s’rez bien urbain d’envoyer la facture à mon Fr’anckounet-chéri à Tripote-Moi-Les-Joyeuses »
Quelques templiers furent touchés par les paroles de Jiji, dont le Chevalier Clotaire, qui s’adressa à ses compagnons en ces termes :
« Bénit soit cet homme, car grande est sa foi !
Il nous rappelle ce nous avons renié avec le temps, qui fut pourtant notre raison d’exister : la main tendu aux plus démunis, comme nous l’avait enseigné le Christ !!! »
Landry, un autre chevalier, lui répondit :
« Tout cela est mort depuis le jour où les derniers représentant légitimes de notre ordre se virent excommuniés, accusés de toutes les avanies !
Les grands qui se servirent de nos prédécesseurs, jamais ne se soucièrent de la Rédemption du Christ. Ils n’avaient qu’un souci : l’argent que nous pouvions leur prêter, sauvant ainsi leurs royaumes de leur choix dispendieux !!! »
Clotaire :
« Nous avions fait vœu de pauvreté, même l’Église de Rome qui sonna notre glas s’en est écartée, en instituant le « commerce des indulgences ». Moult chrétiens pourraient bien créer une scission en « protestant »…
Ma foi n’en n’est que plus renforcée : l’argent qui ne profite pas aux pauvres pervertit inexorablement celui qui le détient ! »
X26 & 57 firent leur apparition.
X26 à 57 :
« C’est curieux chez les humains ce besoin de faire des phrases… »
Jack Hasbeen, contrarié, aux Templiers :
« Embarquez-moi tout ce monde-là et toute personne qui contestera mes ordres !!!
Merlin, le regardant avec pitié :
« Pauvre hère, es-tu Dieu pour avoir la prétention d’enfermer dans tes geôles le légendaire Merlin et ses amis ? »
Tandis que Lancelin dirigeait sont crucifix en direction de Merlin en marmonant des phrases en latin, le Prieur Gillequin s’adressa aux Templiers en ces termes:
« Assez tergiversé, n’écoutez pas cet antéchrist ! Un ordre on ne peut plus explicite vous été donné : qui s’y soustraira sera soumis à la question !!! »
La moitié des Chevaliers, Landry en tête, s’avança, soudain stoppée par l’autre moitié, dirigée par Clotaire.
Les deux camps se faisaient face, épée à la main, prêts à en découdre.
Obséquius, surpris par la tournure que prenait les événements, dit à Clotaire :
« Ne soyez-pas irresponsable, Chevalier, en vous opposant à mon Maître, vous vous opposez à Monseigneur Cauchon, vous signez donc votre arrêt de mort et celle de tous ceux qui vous suivront… Alors qu’il vous est offert « fortune et respectabilité » si vous respectez les termes du contrat !!! »
Le Chevalier Clotaire :
« Respectabilité ? Lorsqu’il s’agit d’occire des suppôts de Satan, on pourrait y croire… Mais quid de cette fille de 13 ans, connue à Domrémy pour sa piété, qui devait faire partie des « victimes collatérales ?!? »
Landry à Jack Hasbeen :
« Est-ce vrai ? »
Jack Hasbeen à Obséquius :
« Traitre ! C’est toi qui a cafté ?!? »
Obséquius :
« Que nenni, votre Grandeur !!!
Demandez plutôt à ces moines que l’on dit aussi muets que des carpes et s’avèrent aussi bavards que des pies dont ils ont adopté la discrétion… »
Le Prieur Gillequin aux Templiers :
« Vous n’êtes pas là pour juger les décisions prise d’en haut !
Obéissez ou soyez maudits ! »
Clotaire le pointant de son épée :
« Alors, maudissez-moi ! »
Puis ayant tracé une ligne du bout de sa lame sur le sol :
« Ce glaive transpercera l’injuste mais, ho grand jamais, jeune vierge : qui m’aime me suive, à la droite de Dieu… »
Le chevalier Landry, déçu de constater que la moitié des soldats demeuraient ralliés à Clotaire :
« Bande de rêveurs : notre ordre ne pourra être réhabilité que si nous avons l’aval des puissants. Les sentiments les plus louables hélas ne sont plus de ce temps car tout s’achète, même l’église, ne nous voilons pas la face.
Le monde se modernise.
Les Rois sans argent n’ont plus aucun pouvoir.
Le pouvoir est celui de l’argent, celui qui jadis fit notre gloire, depuis la Bretagne jusqu’en Judée !
Je choisi en conséquence, l’opportunité que me donne ce dont on nous a trop longtemps frustré : le pouvoir… »
Clotaire :
« C’est grand dommage… »
Landry et Clotaire entamèrent un duel sans merci qui se termina en affrontement général.
Jack Hasbeen, complètement détruit, montant sur un cheval :
« Obsequius, prends une monture et suis-moi !
Pendant que ces abrutis de foutent sur la gueule : on va essayer de sauver la baraque… »
Merlin prit à son tour une monture, tandis que Pineau, essayant de retenir Jiji qui voulait se mêler au conflit, s’adressa à l’enchanteur :
« Il va où le Magicien ?!? »
Merlin :
« Ne vous inquiétez pas, je reviens de suite… »
Gillequin et Lancelin le pointant du doigt comme pour l’exorciser, vociférant leurs formules latines, il rajouta :
« Commencent à me gonfler ces deux-là !!! »
Il fit un geste en leur direction
et les transforma en crapaud, concluant par :
« J’t'en foutrais de l’Antéchrist, moi, non mais… »
Suite au 8ème épisode « il faut sauver Jeanne », où nos amis et ennemis vont tous se retrouver !
Dans la conclusion de l’épisode précédent, Franck et Zorah n’étaient pas vraiment à plaindre…
Le calme qui précède la tempête ?
« Seventy Seven » need you :
Pour patienter avant l’épisode 7 des tribulations de F77…

Flash info Jiji :
Le Maître (après Dieu bien sûr, quelle que soit sa couleur) de ces lieux est en pleine écriture des « Péripéties de Seventy-Seven »… Je suis en mesure de vous dire qu’en ce moment (sous la plume du Jiji et de façon délirante), au XVème siècle,
ça chauffe du côté de Domrémy !!!
Le « comité des tiques »…
Ho pardon :
Le « comité d’éthique »
(quoi qu’au niveau de la com, je ne vois pas la différence profonde avec les parasites précités !)
m’a fait savoir qu’y fallait que je « tâche-voir » à conserver, même dans mes délires les plus fous, la fleur d’oranger de la petite Jeanne.
C’est demandé si gentiment, et vous savez bien que je suis aussi discipliné que l’Franck 77,
Hé-Hé !!!
M’enfin, soit-dit en passant :
vous qui vendez à de sombres connards de xénophobes franchouillards votre daube indigeste, le bras levé, sachez que Jeanne n’est pas votre icone, que c’est lui faire insulte de l’enfermer dans vos idées les plus connes !!!
Et nous, les libres penseurs, nous avons une réelle affection pour elle, non de l’image formatée que vous voulez nous en donner…

Bon, je m’y remets : y’a encore du taf !!!
Le « prime » improbable : la teuf de Jiji…
Pour ma surprise partie, j’ai demandé virtuellement à Pascal Sevran (1945-2008) de l’animer… Son émission, « La chance aux chansons », n’a jamais été égalée en popularité dans le cœur des français. Elle avait l’avantage de redonner vie aux anciens et de « rapatrier » les plus jeunes auprès d’eux ! Intrigués par ce passé qu’ils découvraient, ils tenaient affectueusement la main de la Mamie ou du Papy qu’ils venaient voir le plus souvent dans leur maison de retraite… Et loin d’être enfermé dans le passé, l’ami Pascal était ouvert aux jeunes, dont la carrière de nombre d’entre-eux démarra chez lui,
à l’instar de la divine Linda Lemay !
Je suis en pleine écriture de la suite (franchement délirante !) des péripéties de mon pote Franck 77 , dont le 7ème épisode va sortir ce « Viquande ». Mine de rien, c’est du travail, sachant que j’écris en alternance cette foutue 39ème/E !
Il est donc logique que je veuille me détendre un peu, en vous en faisant profiter.
Allez mon Pascal : envoie la sauce…
Bonjour les amis : content de vous retrouver !!!
Dédé (Verchuren) nous a quitté, mais l’accordéon n’est pas mort : Michel Pruvot « le p’tit jeunot » a pris le relais :

Voici une récréation venue d’Afrique, un pays que je n’ai jamais méprisé, contrairement à ce que prétendent certains polémistes en mal de scoops…

Dire qu’on m’a tant dénigré pour une phrase maladroite que l’on a livrée au public hors de son contexte, alors que d’autres : des politiciens soit-disant « responsables » ont dévoilé des pensées horribles concernant les « gens du voyage » !!!
Nos amis manouches (citoyens français : petit détail technique !), en mal de terrains, posent problème aux élus, mais également à leurs électeurs, dont ils relaient des paroles qui dépassent de loin le domaine de la xénophobie…
Pourtant, ils ne sont pas plus voyous et profiteurs que les sédentaires, et eux, au moins, savent se servir d’une guitare pour traduire des sentiments nobles, sortis de ce cœur que notre rejet injustifié blesse depuis moult générations, motivant leurs désir d’évasion !!!

La chanson (la musique en général), si tu ne l’exprimes pas avec tes tripes, fait autre chose…
Les Soul Men, dont l’un fut la doublure vocale de Johnny pendant 27 ans, aidé d’un des Poetic Lover ainsi qu’un chanteur de rythm and blues issu de la télé réalité, nous donnent une version de « Dis-lui » plus que remarquable !!!
Jugez par vous-même :

(Un peu que je vais le commander le cd !!!)
On me pardonnera, j’espère, de terminer par cette chanson dont je suis l’auteur, et dont je sais qu’elle a une place de choix dans le passé de Jiji…

A plus les amis…
Souvenirs-souvenirs…
En parlant de Sacha Distel,
que de souvenirs d’enfance me sont revenus !!!
1947 : les « trentes glorieuses » avaient débutées depuis deux ans, l’ami Henri (Salvador) donnait ses premiers cours de guitare à Sacha, sous l’œil bienveillant et émerveillé de son oncle Ray Ventura…
http://www.youtube.com/watch?v=X6wjiwowmDk&feature=player_embedded
Le plein d’une voiture ne coûtait même pas 6 Euros (à peu près 40 Francs), et on râlait car on trouvait ça trop cher. Tout cela me dépassait, les seuls prix qui m’intéressaient étaient ceux des « bonbecs » et particulièrement du carembar qui était à 5 centimes (de Francs – soit même pas 1 centime d’Euro) !
Nos parents avaient eu une jeunesse de faim, d’angoisses, de terreur… Ils nous donnaient tout leur amour, essayant d’effacer de leur mémoire toutes ces horreurs, fruit de la folie de certains hommes, dont ils avaient été les témoins biens involontaires.
Quand le porte-monnaie le permettait, ils nous offraient des gadgets, des babioles qui ne servaient pas à grand chose, mais qui (du moins le pensait-on) portait bonheur,
dont le fameux « scoubidou »,
qui fut appelé ainsi grâce à la chanson de Sacha qui cartonnait :

Quand on a failli la perdre au quotidien, la vie prend une nouvelle valeur, son bonus étant la recherche de petits bonheurs simples, comme l’étaient les gens à cette époque.
Le camping était encore « sauvage »…
Aujourd’hui, ce sont les gens qui le sont !!!
Et oui, « souvenirs-souvenirs »…