( 5 août, 2014 )

En ce mois d’août, tagadou-tagadou…

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Juste ce petit sujet intermédiaire pour vous dire que je ne vous oublie pas et souhaiter que ceux qui peuvent partir en vacances passent des jours heureux et reviendront plein de bons souvenirs.

Et surtout : attention sur les routes, car à la rentrée, Je compte bien retrouver des

En ce mois d'août, tagadou-tagadou... dans Entre nous...

effectifs complets et « entiers » !!!

Les circonstances m’ont assignées à résidence, mais je ne me plains pas, je fais avec… Le troisième volet de « Salle d’attente » est bien avancé, le nouvel épisode des péripéties de F77 prend forme ainsi que la 39ème/E (qui sera très-très long

 dans Entre nous...

j’en demande pardon à Jacqueline ! - )

 

Il parait  que la rentrée sera dure, mais on commence à en avoir l’habitude (et non pas la [Biiiip-Autocensure-!!!] rude)… Diantre, mais je m’égare !  C’est de la faute à Flamby aussi, à force de nous faire croire que la vie politique est une « dure lutte » 

(l’a dû inverser des lettres)

Mais cela ne nous regarde pas.

Cependant…

Gaffe à tes miches « Mister President », sinon :

 

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Et encore, on s’en tire pas trop mal en France… Enfin quand certains pays ont la décence de ne pas exporter leurs conflits en se fritant dans nos confins, cassant un mobilier urbain qu’on va encore et toujours facturer à la classe moyenne, c’est à dire noszygues !!!

Les hommes sont frères ?

Hi-hi ! Qui qu’a dit ça ?!?

 

Hum, t’as raisons oui !!! 

 

Tout est désespérant dans la race humaine, tout juste capable de massacrer son semblable, à la différence de l’animal qui lui, lorsqu’il tue, ne le fait que pour manger où se défendre, défendre son territoire et sa gonzesse, mais jamais par perversion, sauf si son comportement a été dénaturé par l’homme… Encore lui !!!

Prenons exemple sur ces créatures que nous décimons, et qui malgré tout 

possèdent en eux tant d’amour…

 

Je me requinque, je me remets au clavier (ordi et synthé), et je vous envois ça avec un kilo de pomme de terre dès que possible.

 

A plus les aminches !!!

( 8 juillet, 2014 )

En attendant le deuxième épisode de « Salle d’attente »…

Mon petit coup de gueule d’il y a trois semaines, mine de rien, a eu un succès auquel je ne m’attendais pas, j’ai donc décidé d’en écrire la suite, mais il faut le temps…

Donc, pour te faire patienter, Ô Public Chéri, l’épisode en question ayant un léger rapport avec le sujet interprété par ce duo de rêve, je t’offre cet instant privilégiés :

 

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A’ peluche (comme dirait Franck 77, mon poteau dont j’écris la suite des péripéties – à paraître dans la foulée ;) – ) !!!

 

Et, bien sûr, je prendrai le temps de vous rendre visite, ces derniers temps c’était un peu compliqué (on ne fait pas toujours ce qu’on veut, hélas !)…

( 29 juin, 2014 )

Quand Quincy Jones faisait de la bossa…

Avant d’être celui qui a fait décoller la carrière du regretté Michael Jackson

Quand Quincy Jones faisait de la bossa... dans Entre nous...

dans les eigthies,

ce musicien hors pair répondant au nom de

 dans Ha ! On est bien...

Quincy Jones (81 ans !) a eu un parcours qui a laissé des traces qui me ravissent,

dont voici un exemple :

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( 27 juin, 2014 )

Ce qu’on ne peut plus dire sur scène…

Sans avoir le MRAP sur le dos :

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Si c’est pas malheureux…

( 21 juin, 2014 )

Malade et con, ça se serait déjà vu…

Prendre place sur le siège d’une salle d’attente n’a jamais été pour bibi la recherche d’une volupté suprême, particulièrement dans un service d’oncologie.

Malade et con, ça se serait déjà vu... dans Entre nous...

Mais quand t’as pas le choix…

 

Le pire, ce n’est ce qu’on va te faire,

que nenni,

mais :

 dans Hum... C'que ça m'énerve !!!

cette « promise bourrée »

(comme l’Auvergnate?)…

 

Heu non, c’est pas ça.

En plus je risque de me fader une procédure avec le syndicat d’initiative de Clermont-Ferrand à cause d’une vanne mal négociée, vu que par les temps qui courent, on ne peut plus rien dire sans avoir une pelletée d’assoces sur la couenne !

 

« Pro-mis-cui-té »,

c’est le terme que je cherchais…

 dans Les facéties de Mésygues

Ho merde, remettez-moi l’autre !!!

 

Donc, j’étais dans cet endroit que l’on qualifie de « salle », terme paradoxal pour qualifier un lieu nettoyé et aseptisé, au sol aussi brillant que finira mon crâne dans quelques semaines, posant mon séant sur un des fauteuils, attendant que le médecin m’appelle.

Déjà installée, une femme au regard rébarbatif ne crut pas se mettre en devoir de répondre à cette civilité qui est mienne, consistant à dire « bonjour »…

Décidant de traiter par l’indifférence

 dans Salle d'attente.

ce bel échantillon de l’humanité,

je sortis les « quatre yeux » de la poche de ma veste en Jean ainsi que l’androïde, afin d’y mémoriser les prochains rendez-vous communiqués par la réceptionniste, charmante créature, elle !

Encore un paradoxe, car si je n’en veux pas au temps de me faire des bobos, m’imposer une vue parfaite à distance pour observer ce qui ne m’intéresse pas, mais si floue pour ce qui m’est proche, n’est-ce pas la définition la plus représentative de la cruauté mentale ?!?

 

La cruauté mentale, parlons-en…

 

Que regarde donc cette acariâtre,

oui, je parle bien de cette femme au visage peinturluré qui ne trompe personne sur son âge, affublée de cette perruque qu’elle n’a même pas su aligner, incapable de dissimuler son âme bien sombre, dont seule la maladie sert d’alibi ?

Elle regardait une autre malade…

Une brave dame plus qu’octogénaire venait de faire son apparition, dont ma belle réceptionniste s’occupa avec beaucoup d’humanité et de patience. Il fallait lui répéter les choses, elle n’entendait pas beaucoup. Elle était dépassée en ce lieu inconnu qui l’avait extirpée par la force des choses, l’espace d’une consultation et probablement d’hospitalisation de jour, de sa maison, dont elle expliqua que n’ayant pas d’enfants, elle l’avait mis en viager.

« Ça me fait une petite rente »

lui avait-elle dit, provoquant nos sourires compassionnels.

Je me serais bien levé pour aller la serrer dans mes bras, rien que pour la remercier, car malgré sa détresse et ses douleurs, elle illuminait la pièce du soleil que dégageait son flot d’humilité et de tendresse !

C’était beau, comme si la tristesse avait décidé de prendre une récréation…

Puis il a fallut qu’elle l’ouvre, l’autre : cette saleté d’acariâtre, qui en une phrase rompit le charme :

« Ça sert à rien de soigner les gens à cet âge là !!! »

 

Sapristi d’fumelle, vin diou !!!

Pas étonnant que c’te pauvr’ Cupidon soit tellement pris l’envers avec une engeance pareille…

Alors que celle de « cet âge-là », ayant parfaitement entendu, se tournait étonnée (et sûrement blessée) vers elle, le bonhomme qui accompagnait « la vilaine », probablement son mari (pauvre Martin pauvre misère !), rétorqua :

 

« Ça ne va de dire des choses pareilles, dis ? »

 

Elle ne répondit que par un soupir, d’autant qu’elle venait de croiser mon regard assassin.

Pour elle, je me serais bien levé aussi, mais seulement pour lui en coller une !

Une chance pour elle :

ce n’est pas comme ça

que Maman m’a élevé.

 

Le médecin m’a appelé juste au moment où je prenais conscience que « malade et con », c’était loin d’être indissociable, d’autant que l’acariâtre avait quoi : dix berges de moins à tout casser ?!?

Cette scène pourrait paraître anodine si elle ne traduisait pas quelque chose de beaucoup plus profond, de beaucoup plus grave…

Crises aidant, les extrêmes grimpent à une telle vitesse que je ne suis pas persuadé que s’ils s’essayaient au Mont Ventoux, même Armstrong soit capable de les rattraper.

« Préférence nationale » sur les aides sociales, accès au logement et emplois, ce n’est qu’une question d’arithmétique. Hélas, elle à l’image de la première pierre d’un édifice qui ne fera que croître :

 

« la ségrégation »

 

Blancs-noirs, hommes-femmes, valides-handicapés, jeunes-vieux, etc…

Heureux « l’homme blanc valide et jeune », mais quid de la femme noire handicapée et vieille, au pays des droits de l’homme donc de « l’égalité » ?!?

 

Le droit, parlons-en…

 

Un médecin passe actuellement en jugement pour avoir mis un terme à la vie de sept de ces patients, alors qu’aucune famille ne lui avait demandé.

Il décide seul qui, selon des critères subjectifs, doit vivre ou mourir !

Le débat sur l’euthanasie est loin d’être terminé, mais si une décision doit être prise un jour pour bibi, j’aimerais qu’elle le soit par

quelqu’un d’autre que lui…

 

Ni acharnement thérapeutique comme pour ce pauvre Vincent, ni homicide (terme adéquat pour définir l’injection d’un poison), et surtout « respect de l’être humain », quel que soit l’âge ou la condition, dans la concertation : telle est ma devise, ma façon d’être !

 

Donc, quand j’entends cette maquerelle encore plus décérébrée qu’une égérie de la télé-réalité sortir son venin à l’égard de notre vénérable octogénaire, je n’ose entrevoir quelle serait sa politique de soins si elle en dirigeait l’équipe…

 

 

« Candidat n°1 :

Immigré – CMU ?

Ça rentre pas dans le budget.

Euthanasie !

 

Candidat n°2 :

Monsieur Duchnu :

On va le prolonger quoi, un ou deux ans ?

La sécu va encore faire la gueule de plus sa famille est en souffrance.

(Ce qu’elle ne dis pas, c’est que la famille attend l’héritage, grignoté chaque jour un peu plus par le coût de l’hébergement, et que les listes d’attente ne désemplissent pas au « Service Admission »)

Allez hop, on va l’euthanasier, ça arrangera tout le monde !

 

Candidate n°3 :

Madame Shpountz :

95 ans ! Elle a fait sa vie, non ?

Euthanasie… »

 

Voilà ce que m’inspire la phrase de cette acariâtre, qui ne se rend pas compte qu’en la vomissant, elle creuse sa propre tombe !!!

 

Heureusement, il existe parmi les patients ceux qui ont l’esprit de répondre avec cette bonhomie qui fait la différence.

Ainsi, une aide soignante (je fus témoin de la scène) exécutant la toilette génitale d’un patient âgé lui dit :

 

« Ça ne te sers plus à rien, ça… »

 

L’homme rétorqua, l’air malin :

« Ben si, pour pisser !!! »

 

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( 18 juin, 2014 )

Sacré Julien !!!

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Il a tout dit…

( 15 juin, 2014 )

J’ai créé la catégorie « Saga familiale »…

J’en profite d’être encore sous les effets des corticoïdes, le lendemain (et le surlendemain vue l’heure) de ma petite séance au « Chimiothérapix-club », tenu par un big-band (le dernier mot étant hélas de plus en plus galvaudé - soupir… -)

J'ai créé la catégorie

pour me mettre au taf,

car c’est pas une sinécure les copains !!!

Je ne parle pas de mes piquouses mais de la restructuration du blog, et de la restauration des mises en pages…

Car je me suis aperçu que des illustrations photographiques et des liens musicaux ont soit disparus, soit sont bloqués pour des questions de droit d’auteur…

D’ailleurs, à ce propos :

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Mais revenons au sujet « dont auquel c’est que j’voulais vous causer » M’sieurs-Dames », et Mesdemoiselles (à tout hasard…).

Ceux qui me connaissent depuis un certain temps (un temps certain et pourtant incertain !) se sont habitués à lire ce qu’ils ont nommé eux-même ma « saga familiale ». Sans vraiment en prendre conscience, je venais de créer quelque chose qui intéressait les « amis virtuels » qui sont venus me voir, et se sont « fidélisés », ce qui m’a beaucoup touché et me touche toujours.

Franck 77 est à l’origine de la création. J’intervenais comme visiteur à Déconnoland sur son blog, qui pour moi est « THE référence », car derrière ce qu’il appelle la déconnade,  se cache une érudition hors paire et une philosophie du troisième, voire quatrième degré, non accessible à tous…

 dans Saga familiale

Vous vexez pas, même moi j’ai du mal parfois

Hum-hum !!!

J’ai dit mal, pas « mâle », ma poule…

Ha dis donc, la théorie du genre,

Merci la Christiane !!!

Oui ho, ça va…

Enfin bref, j’avais créé ce blog pour administrer une rubrique dans celui de mon poteau : « La messe de Jiji Cinqsept », où j’ai pu m’exprimer en toute liberté dans le délire le plus total, ce que nous refusaient les forums où nous nous étions croisés (d’où les archives communes Jiji-F77 qui figurent dans mes catégories).

Lorsqu’un modérateur de Unblog a fait des misères à Franck l’interdisant de forum, j’ai pris fait et cause pour lui, et comme il s’était représenté lui-même comme un prisonnier en cachot victime d’une censure abusive, dans ma tête, ça a fait un déclic.

Non, ça ne faisait pas un bruit de lavabo…

Et cela a démarré la rubrique « Les péripéties de Franck 77″, et m’a permis de reconstituer le trio « F77, Jiji (myself que j’avais transformé en personnage de fiction), et un ami de Franck (que je ne connais pas directement mais dont les coms sont sympas).

Mais cette « récréation » faisait suite à une saga personnelle, partie d’évocations de souvenirs, puis tout s’est enchaîné au fil de l’écriture, appréciée pour mon plus grand bonheur chaque fois de plus en plus.

C’est ce qui figure et est classé dans la catégorie « Saga familiale », le dernier épisode (39ème/D) diffusé datant du 21 octobre 2012 (!!!).

La moitié de la « 39ème/E » est écrite en brouillon, mais elle représente déjà l’équivalent de 35 pages pdf :

désolé Jacqueline…

Les problèmes de santé, ça aide pas à la création, et comme je savais qu’avec cette 39ème/E (dont j’espère qu’elle ne sera pas à l’image de la 9ème de Beethoven), j’avais accepté un chantier phénoménal ! Je me suis donc aéré l’esprit en abordant d’autres sujets depuis le 21 octobre 2012(que le temps passe vite, heulâââ !!!).

Le fait d’avoir mis en jachères cet épisode et surtout d’avoir relu les précédents est très salutaire. Car malgré les éloges, j’ai entrevu mes imperfections. Je ne suis que partiellement satisfait de mes écrits… Loin d’être négatif, je pense qu’un peu de recul par rapport aux textes publiés, les circonstances aidant, est un outil non négligeable pour que je m’améliore. Je ne cherche aucune gloire, j’aimerais seulement qu’on puisse dire de mon humble travail (et que je le ressente aussi en toute modestie tel un brave artisan) que c’est « de la belle ouvrage »…

La catégorie est donc créée, il suffit de cliquer dessus, l’ordre des épisodes allant en décroissant. 

Bon, je vais aller me pieuter, car si « Bobonne se lève et constate que je ne suis pas encore couché, bonjour les deux gars… Heu

Les dégâts !!!

Dès demain, j’entame la restauration, enfin si la méforme veut bien oublier Mézygues quand les corticoïdes se seront épuisés…

 

 

Ha merde, encore un selfie loupé…

A peluche, comme dit mon poteau !!!

( 5 juin, 2014 )

6 juin ? Comme je l’ai déjà dit, Maman y était…

Et oui, mon Papi qui avait le même âge que le siècle (20ème) et vivait à Paris rue de Panama avait décidé dès 1940 d’aller s’installer à l’abri dans le Calvados…

Ce détail, vous le retrouverez, chers fidèles, à la découverte de ma 39ème/E, qui verra le jour dans les semaines qui suivent, dans cette saga familiale qu’on me demande de continuer (à corps et à cris – enfin surtout mes proches-), après trop de mois de jachère créatrice, résultat de quelques aléas médicaux indésirables…

Ha, si on pouvait les classer ceux-là comme sur la boite perso de l’ordi !!!

Je mets la dernière main au soutien de mon poteau Franck 77 dans le 10 épisode (plus disjoncté que jamais) le concernant, et qui va sortir avant ou pendant le week-end, mais en attendant, un petit rappel sur le sujet vécu par Maman et mes Grands-Parents, cette journée qui devait à jamais changer la face du Monde, et changea la structure de la maison, un obus ayant emporté le lit et une partie de la chambre de celle qui un jour me commit...

 

6 juin ? Comme je l'ai déjà dit, Maman y était... dans Chronique du temps qui passe...

 

http://jijicinqsept.unblog.fr/2013/06/03/6-juin-1944-ils-noublie-jamais/

 

 

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Et pour les sombres connards qui diront dans quelques années, lorsque le dernier des vétérans aura rejoint les justes, « que tout cela est dépassé’ (je l’ai entendu sur RTL dans « On refait le monde » pour la Guerre 14) et « que cela ne signifie plus rien, qu’il faut se tourner vers l’avenir », je leur suggère de fermer leur claque-merde et de se servir de leur plume comme suppositoire, et encore pour enfant !!!

Car il est aisé de croiser le fer dans de quelconques studios radiophoniques, de faire le beau et vaincre sans péril (donc sans gloire) dans un journal bobo télévisé, où le seul risque de mourir est celui de l’ennui, le ridicule n’étant hélas en ce domaine guère fatal…

 dans Entre nous...

Si une de ces fiottes veux m’impressionner, qu’elle prenne un fusil et esquive les balles dans des terres hostiles (c’est pas ça qui manque), au lieu d’éjaculer en liasses leur auto satisfaction, entre deux selfies pitoyables,  des vannes qui font « fureur » et alimentent cette pseudo-fortune intellectuelle basée sur leur populisme (la fainéantise de leur âme sclérosée) dans les soirées de Monsieur Durand (Duschoc ou qui vous voulez) !!! 

 

 dans Et mes souvenirs deviennent ce que les anciens en font.

O.K., John,

revenons au sujet, ça vaut mieux… 

 

Merci, merci et encore plus de mille fois merci, à toi qui est venu sacrifier ta jeune vie pleine d’espoirs sur cette plage,

  dans Hommages et coups de gueule !

toi sans qui le mot « Liberté » de pauvres bougres que tu ne connaissais pas ne serait qu’une vague illusion !!!

 

( 26 mai, 2014 )

Ça m’ achevé…

Et non, ce n’était pas une mauvaise blague ou une scène de la « Grande Vadrouille »…

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Ils l’avaient vraiment fait ces cons-là, chose aggravante, l’année des 70 ans du débarquement  !!!

Ça m' achevé... dans Entre nous...

Mais courage : comme nous l’enseigna un grand personnage : « perdre une bataille n’est pas perdre la guerre… »

( 19 mai, 2014 )

Ça peut pas faire « cui-cui », ça peut pas faire « miaou »…

Il était presque trois heures du matin…

Fruit d’une culture nommée « télé-réalité »,

Ça peut pas faire

complètement demeurée  mais tellement esthétique, la douce ingénue, activant deux de ses neurones, posa une question fondamentale :

 

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Le jour où nous aurons la réponse, ce sera un petit pas pour l’homme,

 dans Les facéties de Mésygues

mais un grand pas pour l’humanité…

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