( 27 février, 2014 )

La guitare du Grand Paco est en deuil…

La guitare du Grand Paco est en deuil... dans Entre nous...

Paco de Lucia (1947-2014)

 

Le guitariste espagnol de flamenco Paco de Lucia est décédé au Mexique à l’âge de 66 ans, a annoncé mercredi 26 février la mairie d’Algeciras, sa ville natale du sud de l’Espagne.

Paco de Lucia, 66 ans, de son vrai nom Francisco Sánchez Gómez, était l’un des grands maîtres de la guitare flamenco. Selon la presse espagnole, il a été victime d’une crise cardiaque sur une plage de Cancún alors qu’il jouait avec ses enfants.

Le décès du guitariste représente « une perte irréparable pour le monde de la culture, pour l’Andalousie », a déclaré le maire d’Algeciras, José Ignacio Landaluce, cité par des médias. « La mort de Paco de Lucia transforme le génie en légende. Son héritage restera pour toujours, de même que la tendresse qu’il a toujours éprouvée pour sa terre », ajoute le maire dans un communiqué. La ville a décrété un deuil officiel.

Paco de Lucia était né le 21 décembre 1947 dans cette ville d’Andalousie de la région de Cadix, avant de devenir un guitariste mondialement connu, qui a su moderniser le flamenco traditionnel en l’associant avec le jazz et en puisant son inspiration dans divers horizons musicaux.

En 2004, il avait reçu le prix Prince des Asturies des Arts, l’une des plus hautes distinctions espagnoles. « Considéré comme le plus universel des artistes flamenco, son style a fait école parmi les plus jeunes générations et son art est devenu un des meilleurs ambassadeurs de la culture espagnole à travers le monde », avait souligné le jury.

Paco de Lucia, soulignait la Fondation Prince des Asturies, « a dépassé les frontières et les styles pour devenir un musicien de dimension universelle. A partir de la guitare flamenco, il a aussi exploré le répertoire classique espagnol, d’Isaac Albeniz à Manuel de Falla, l’émotion de la bossa nova et du jazz ». « Tout ce qui peut s’exprimer avec les six cordes de la guitare est entre ses mains », ajoutait le jury.

Malgré la célébrité, le guitariste était toujours resté discret, habitué à monter sur scène dans une tenue d’une grande sobriété, en pantalon noir, chemise blanche et veste noire. Il avait notamment contribué au succès de la voix légendaire du flamenco espagnol, Camaron de la Isla, qui a enregistré avec lui ses neuf premiers albums.

Anne Hidalgo, candidate socialiste à la mairie de Paris née en Espagne, a évoqué dans un communiqué « un guitariste remarquable [qui] était l’un des maîtres de la culture espagnole. Au flamenco, qui était pour lui une vocation, il avait dédié sa vie. Inventant perpétuellement de nouvelles façons de lui rendre hommage, ses compositions étaient d’une profondeur et d’une intensité rares. Le talent de ce musicien passionné a inspiré de très nombreux artistes. Son œuvre vibrante nous accompagnera longtemps ».

 (Article Le Monde)

 

La bande sonore ci-dessous n’est pas à la hauteur de la qualité de l’interprétation du deuxième mouvement de ce concerto ho combien célèbre, mais le génie de Paco de Lucia sait nous le faire oublier…

 

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Et le voici dans son environnement musical naturel :

 

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66 ans…

 

 dans Hommages et coups de gueule !

 

Pas eu le temps de flâner en route !!! 

( 20 février, 2014 )

Ho, ma p’tit Tân…

J’vais t’dire une bonne chose…

L’amour, comm’y disent, les autres, on n’en fait jamais le tour !

 

Ho, ma p'tit Tân... dans Entre nous...

 

 

Mais de quel amour on parle ?

 

Le charnel, faut en prendre et en laisser

De lui ne pas te laisser enfermer

Le familial, souvent piège à cons

Nous donne lui aussi bien des leçons

 

« On ne choisit pas ses parents

On ne choisit pas sa famille »

 

Tu connais la suite…

 

Je me faisais une joie de la venue d’un beau-frère né à l’autre bout du monde, homme tranquille s’étant établi il y a trente années dans l’hexagone, qu’on nomme là-bas « métropole ».

Sa bourgeoise (métropolitaine 100 %) est charmante, oui mais…

 

 dans Hommages et coups de gueule !

Faudrait pas qu’elle l’ouvre !!!

 

Puis, pour en placer une avec elle, il faudrait se lever de bonne heure.

Par malchance, je ne suis pas trop du matin, particulièrement ces derniers jours.

 

S’il n’y avait eu qu’elle, c’eût été relativement « gérable », les aminches, mais c’était sans compter sur « le clone », la petite dernière, celle de 15 berges

 

 dans Hum... C'que ça m'énerve !!!

qu’il faut se fader !!!

 

« La tolérance » : qui a dit jadis qu’il y avait des maisons pour ça ?

Claudel, je crois me souvenir…

Les maisons ont fermé depuis fort longtemps et l’éducation s’est barrée en « quenouille ».

Restent que quelques

 

 dans Les facéties de Mésygues

dinosaures dans mon style

 

pour ne pas accepter qu’une pisseuse de 15 ans parle avec mépris et méchanceté à sa tante, encore moins quand celle-ci est mon épouse !!!

Ma brave Gigi ne s’en est pas laisser compter, mais bonjour l’ambiance…

 

Et l’autre grande gueule, c’était justement le moment qu’elle l’ouvre, afin d’effectuer son rôle de parent, qui pour moi consiste à recadrer une ado qui dérive. Là, elle était silencieuse, mais elle a dû croiser mon regard, celui du gus qui bouillait et avait envie

 

de balancer une tarte dans le claque-merde de son petit bébé qui pourtant m’aimait tant…

 

Et oui, on en revient encore à l’amour-désamour, ma chère Tân…

 

Ce matin, quand je me suis levé (assez tard j’en conviens), ma Gigi m’annonça qu’ils avaient fait leurs valises, se barrant comme des voleurs sans me dire au revoir.

 

« C’est aussi bien comme ça, et retrouvons le calme de notre foyer, où chacun respecte l’autre ! », ai-je conclu.

 

Si elle lit ces lignes, nul doute que je serai habillé pour plusieurs hivers, mais comme elle préfère « fesse-de-bouc » et ses cancans, à l’image de sa progéniture qui fréquente assidûment un de ses cousins (celui qui par écrit voulait me mettre un coup de revolver – même pas le courage de soulever une Kalachnikov, c’te fainéant!), qui est interdit de séjour chez bibi…

 

 

Amour, quand tu nous tiens !!!

( 11 février, 2014 )

Adieu Shirley…

(Article du forum Orange)
Adieu Shirley... dans Hommages et coups de gueule ! _52fa13b9679f7

L’actrice américaine Shirley Temple est décédée
11 février 2014

L’enfant star du cinéma hollywoodien est décédé ce lundi à son domicile de Woodside en Californie à l’âge de 85 ans. La BBC, qui a révélé la triste nouvelle, a assuré que Shirley Temple était morte « de cause naturelle, entourée de sa famille et de ses auxiliaires de vie« . « Nous saluons les choses incroyables qu’elle a accomplies dans sa vie en tant qu’actrice, diplomate et en tant que mère, grand-mère et arrière grand-mère« , a commenté sa famille.

C’est à l’âge de 3 ans seulement que Shirley Temple fait ses premiers pas sur grand écran. Dès lors, les rôles s’enchaînent pour la jeune actrice dont la frimousse angélique et les bouclettes font rapidement craquer le monde entier. Icone de la comédie des années 30 et 40 outre-Atlantique, elle devient la première « enfant star » de Hollywood. Elle s’illustre notamment dans des films comme Shirley Aviatrice(1934), C’est pour toujours (1934), La Mascotte du régiment (1937), Petite Princesse (1939) ou encore Le Massacre de Fort Apache (1948).

En 1935, les prouesses de celle que l’on surnomme « la petite fée de Hollywood » sont saluées par l’Oscar de la jeunesse. Elle n’a alors que 6 ans. Mais alors que sa notoriété commence à s’estomper, Shirley Temple met un terme à sa carrière à l’âge de 22 ans. Elle s’engage par la suite en politique et se fait désormais un nom comme diplomate. Elle tente même de rejoindre le Congrès américain en 1967, avant se voir nommée ambassadrice des États-Unis au Ghana (1974) et en Tchécoslovaquie (1989). Shirley Temple s’est également beaucoup investie dans la lutte contre le cancer du sein.

 

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 dans Hommages et coups de gueule !

 

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Ce n’est qu’un au revoir, Madame…

( 11 février, 2014 )

A poil, tout le monde à poil !!!

A poil, tout le monde à poil !!! dans Entre nous...

Oui ben, marre-toi mon Pierrot, en attendant, on n’est pas pas dans la mouise avec toutes ces conneries…

D’ailleurs, c’était parti d’où, cette tentative de récupération de maniabilité intellectuelle ?!?

 

Musique :

 

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« A poil », on y était déjà depuis longtemps, mais est-ce une raison pour essayer de s’attaquer aux mômes, afin d’éradiquer toute logique dans le seul but de formater les générations suivantes, comme vous le fîtes pour les fonctionnaires, votre meilleur fer de lance, mes chers « progressistes » ?

 

 dans Hommages et coups de gueule !

 

Lorsque je vis le jour, j’étais nu comme ma Maman, mais si l’accoucheur l’avait été également, nul doute que je me serais posé de sérieuses questions.

Celles qui gênent vos Seigneuries dès qu’on parle de « pudeur »…

 

 

( 31 janvier, 2014 )

Rambo en tutu rose, la suite…

Rambo en tutu rose, la suite... dans Entre nous...

Mes petites mignonnes,

vous avez souhaité une suite ?

(Tân, te rends-tu bien compte de ce que tu as déclenché ?!?)

C’est vous qui l’aurez voulu,

turlututu chapeau pointu…

 

 dans Hommages et coups de gueule !

 

Moooooooteur !!!

 

Quelquepart en France, dans la deuxième partie du XXIème siècle…

 

 

« Bon écoute, mon petit « Ramby la Pâquerette », je sais que nous sommes dans l’ère du temps, mais si, dans le doux pays de tes fantasmes, tu pouvais au moins épargner le clebs…

Non mais regarde la tronche : pour la race canine, y’a outrage !!! »

Ainsi parlait celle que les voisins appelaient « La Belle au Bois Dormant » par dérision (après avoir respecté une distance minimum de sécurité – on se demande pouquoi – ;) ),

la douce « Aurore »…

Elle s’adressait à son compagnon « Rabaud », que ces mêmes avaient surnommés « Rambo la Pâquerette », mais qu’elle appelait « Ramby ».

 

Ce dernier, lui répondit d’une voix frêle :

« Tu n’aimes pas Ô ma Princesse ?

Avec cette petite touche de « Perle 2 »,

je trouve pourtant que ça affine la silhouette de « Tyson » (le chien). »

 

Aurore, levant les yeux aux ciel :

« Arrête de jouer les folles et écoute-moi. Je reviens du « Collège Christiane Taubira », nous avons un problème avec les enfants… »

 

Ramby, outré :

« Quoi, encore cette histoire ?!?

On le saura que les homos, 40 ans après « le mariage pour tous », n’ont toujours pas le droit d’adopter.

On a pourtant prouvé à l’assistante sociale que Emmanuel et Herculine sont de nous, non le fruit des trafics qui ont cours ces derniers temps : je pensais le dossier classé ! »

 

Aurore, agacée :

« Il ne s’agit pas de ça ! Tu me fatigues avec tes monologues…

Je sors d’un entretien avec la Principale :

Emmanuel refuse de jouer à la poupée avec ses camarades et ne veut plus entendre parler de l’atelier couture.

Monsieur veut qu’on l’appelle « Manu » et souhaite intégrer une équipe de rugby, le football étant, je le cite, un sport de « tafiole » !!! »

 

Ramby :

« Qu’est-ce qui lui prend ?!? »

 

Aurore :

« Je ne sais pas, mais s’il entame une crise d’adolescence, elle risque de nous coûter « bonbon », car le cher petit n’a rien trouvé de mieux que de chanter « Les singes » de Jacques Brel en faisant une quenelle devant la photo de la mère Taubira sur le monument qui lui est dédié ! »

 

Ramby :

« Ha le petit con !!!

On va avoir l’air fines quand la BIRP (Brigade d’Intervention du Respect de la Parité) va frapper à notre porte…

« Adolf », par rapport à leur cheftaine, c’est Gandhi ! »

 

Aurore, ouvrant le bar et se servant un whisky :

« Attends, ce n’est pas tout…

Herculine a rendu sa dernière dissertation, j’en suis tombée sur le cul. Sa seule ambition, dixit son prof de français (à qui elle fait les yeux doux, la salope !), est de vivre avec un homme riche qui l’entretiendra. »

 

Ramby étouffant un sanglot :

« Jésus-Marie-Joseph, mais qu’avons-nous fait pour mériter telle épreuve ?!? »

 

Aurore, se raclant la gorge après avoir bu une lampée de sky :

« Remarque, il fallait s’y attendre un peu. A force d’avoir sanctionné les hétéros, de les avoir menacés en utilisant la violence

de nos troupes les plus radicales,

nous sommes forcément devenus impopulaires !

Lorsque nous nous marions entre gens du même sexe, plus personne n’ose désormais se moquer, mais ce n’est qu’une apparence…

Jadis, nous étions « acceptés », puis vint ce mariage très mal géré par cette équipe apocalyptique, qui nous relégua au statut de « tolérés », avant que nous ne soyons sournoisement haïs par des modérés à qui l’extrême ouvrit ses portes clandestines.

 

Et s’ils s’étaient arrêtés là…

 

Nous sommes le produit de l’idéologie de ces personnages qui étaient de doux poètes mais n’étaient pas fait pour, en politique, être des décisionnaires !!! »

 

Ramby :

« Nous, en tous cas, on n’a rien à se reprocher, puisqu’on a suivi les conseils

de la mère Boutin,

qui disait que si deux homos voulaient se marier et avoir des enfants, c’était légalement possible si une lesbienne s’unissait avec un homo.

C’est-y pas c’qu’on a fait ?!? »

 

Aurore, dubitative :

« Hum-hum…

Si, pour certains, l’homosexuel est un accident de la nature,

nous sommes pour ces mêmes homos une sérieuse anomalie ! »

 

Ramby :
« Une histoire comme la notre, il n’en n’existe pas deux… »

Aurore:
« Tu l’as dit, bouffi !
Avant de croiser ta route, je n’étais qu’un garçon bodybuldé en errance dans un corps de fille, mal dans ma peau malgré la « Réforme scolaire de la parité et de l’identité ».
Ce jour-là, j’avais accepté une sortie entre lesbiennes chez « Maxou ».
Quand je t’ai vu assumant complètement ta féminité dans ton numéro de travelo, c’est là que j’ai compris que, malgré ce que tu portes entre le jambes, j’avais trouvé en toi mon alter ego. »

 

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Une  voix de jeune homme se fait entendre :
« Hum, tu parles d’une romance. Votre passé vous enivre…

En attendant : Quand les parents boivent, les enfants trinquent ! »

C’était Émmanuel qui venait d’entrer dans la pièce.
Alors qu’il s’écroule sur le canapé après s’être emparé de la télécommande, Ramby lui dit :
« Dis-donc toi, ma p’tite cocotte en sucre, personne ne t’as obligé à trinquer…
Et puis qu’est-ce que c’est que ces manières : viens faire un calinou à ta Maman chérie. »

Emmanel, s’éxécute dans un léger soupir.
Herculine apparaissant à son tour en a profité pour lui piquer sa place ainsi que la télécommande, ce qui provoque cette réaction du fils :
« Ha non, t’es chiante !!! »

Aurore :
« Continue à jacter comme ça, mec : ça va te porter bonheur ! »

 

Ramby :
« Il faut dire aussi que si Herculine arrêtait de le chercher… »

 

Alors qu’Herculine tire la langue à Emmanuel (qui lui répond par « un doigt »), Aurore la désigne en mettant en évidence sa main musclée :

« Ça lui éviterait de s’en prendre une à brève échéance ! » 

 

Herculine :
« Encore et encore les menaces du mâle dominant, toujours aussi nulles… »

 

Aurore, étonnée :
« Excuse-moi, « partenaire », mais tu sembles occulter un léger détail. »

 

Herculine, s’étant levée pour se chercher un soda, pendant que son frère, contrariéé de ne pas trouver la télécommande,  reprend sa place sur le fauteuil :
« Ha oui, lequel ? »

 

Aurore, montrant Ramby :
« Celui qui, selon les lois de la nature, est doté du « trois pièces cuisine », ce n’est pas moi, hélas ! »

 

Herculine :
« Tu portes tellement bien la culotte que j’ai tendance à en oublier  ce pourquoi nous, les enfants que vous avez commis, nous t’appelons « Papa », alors que tu es née femme… »

 

Émmanuel :

« …Et que nous appelons « Maman » notre géniteur mâle… »

 

Ramby, peiné :

« Tu en as honte, mon chéri ? »

 

Aurore, comblant le silence embarrassé du filston :

« Ho, il ne le dira pas, car l’adolescence, c’est l’âge le plus le plus lâche, le plus ingrat, le plus con qui soit… »

 

Ramby :

« Je te trouve trop sévère, ce petit se cherche, c’est normal à son âge. »

 

Aurore, après un soupir :

« Je ne sais pas s’il se cherche, mais d’autres l’ont trouvé pour le mettre sous influence : les fils, descendants de ces connards du « FIF » (Front Identitaire Français), ce parti contre lequel il a fallu lutter quand il a pris le pouvoir, remettant en cause tous nos acquis !!!

Parti comme les autres ?

Mon cul, oui… »

 

Herculine :

« T’énerve pas Papounet, les pétainistes de la première heure sont tous morts depuis longtemps, et avec eux la génération d’après…

Alors : cool ! »

 

Aurore sourit à sa fille, puis reprenant son air sévère en regardant son fils :

« Pas si morts que ça…

Regarde cet abruti : il n’a jamais fait autre chose que de pioncer pendant les cours d’histoire.

Son seul devoir de mémoire se limite à celle des contacts de son androïde Samsung !!! »

 

Emmanuel, hébété :

« Ben quoi ?!? »

 

Ramby, perdant patience :

« Fous-lui la paix à ce môme, tu ne vas pas lui faire porter le poids d’un passé qu’il n’a pu connaître, faute d’être né !

Que dirais-tu si je te demandais des comptes sur ce qu’ont fait tes ancêtres au paléolithique ? »

 

Aurore :

« Je n’en demande pas tant, mais s’il avait acquis le minimum vital, et ce, dès les premières heures de l’école maternelle, je n’aurais pas à lui rappeler qu’il est des chansons à ne pas chanter en certaines circonstances, des gestes à ne pas faire, dans « toutes » les circonstances. »

 

Ramby :

« Pour la chanson « les singes »

devant le monument de Taubira,

c’était une bêtise comme tant d’ados en font.

Il n’était pas au courant du contexte… »

 

Aurore :

« Hum, et des « textes cons » de ces glaires, auxquels les maîtres à penser (si on peut utiliser ce terme) se sont cru obligés d’ajouter ce geste, « la quenelle », qui ne dénonce pas un système, loin s’en faut, mais est le signe de ralliement des antisémites négationistes !

Serais-tu devenu raciste et antisémites, mon fils ?!? » 

 

Emmanuel :

« Pas du tout ! C’est quoi cette prise de tête ? »

 

Aurore :

« C’est celle d’une pauvre mère qui aimerait que la tête de sa progéniture produise autre chose qu’un bruit de lavabo quand on la secoue, les neurones en deuil !!! »

 

Emmanuel, l’air complètement abruti :

« Hein ?!? »

 

Ramby, à l’adresse d’Aurore et essuyant une larme :

« Tu me fais beaucoup de peine, ma Princesse, en t’attaquant de façon aussi déloyale à ce petit ! »

 

Herculine à Aurore :

« Je suis d’accord avec « Maman »…»

 

Aurore à Ramby et Herculine :

« Me gonflez pas les gonzesses !

Monsieur se dit « homme » et prétends vouloir jouer dans la cour des grands, il va falloir qu’il assume, autrement qu’en suivant un groupe d’hétéros pas encore pubères, comme le font les moutons.

Pour qu’il en soit ainsi, il lui faudrait faire l’effort minimum d’accepter de définir ce que chaque acte, chaque symbole qui l’accompagnera, a pour signification.

Faire un sport dit « viril » ne fait de personne un mec.

Traiter de tafiole ceux qui en pratique un autre, c’est encore moins en être un ! »

 

Ramby :

« Le mâle, par définition, n’est qu’un coq stupide et prétentieux.

Notre Manu a encore l’excuse de la jeunesse, avec tout ce que cela comporte d’erreur et de manque de maturité.

J’ai confiance en lui, car c’est à partir de ses erreurs d’aujourd’hui qu’il va devenir ce piler, sur lequel tous ceux qui l’auront suffisamment aimé et accompagné pourront s’appuyer… C’est l’amour qui fait toute la différence, pas la crainte ni la force brute, même si parfois, à titre exceptionnel il en faut… »

 

C’était une scène quotidienne de cette époque où quelques idéalistes avaient planté leurs jalons en voulant faire le bien, mais qui, à terme ne réglèrent en rien la détresse identitaire de chacun…

 

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Ne me dites pas que vous voulez encore une suite à cet épisode non prévu :

ce serait de la gourmandise !!!

( 30 janvier, 2014 )

Pierrot, planque ta bible : Cavanna arrive !!!

 

 

Cavanna is dead

François Cavanna

Pierrot, planque ta bible : Cavanna arrive !!! dans Entre nous...

(1923-2014)

Et oui mon bon Saint Pierre, un de plus qui vient alimenter la liste, et celui-là, il va t’en donner du fil à retordre !

Dans son numéro de solo, il n’engendrait déjà pas la mélancolie sur Terre…

 dans Hommages et coups de gueule !

Avec son pote Choron qu’il vient de retrouver,

la plume (qui ne sera pas celle des anges) risque bien de les démanger en tandem.

J’te dis pas comment ils vont te le réécrire ton « Nouveau Testament » !!!

Et pas question de les envoyer en enfer, le Choron y est tricard depuis bien longtemps :

 dans Les facéties de Mésygues

les hallucinations et crises d’angoisses de Satan ne s’étant espacées que récemment, ce qui lui a permis d’arrêter enfin les antidépresseurs…

On comprend qu’il leur ferme sa porte à double tour, après l’avoir solidement barricadée !!!

 

http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2014/01/30/mort-du-dessinateur-francois-cavanna_4356745_3382.html

 

( 28 janvier, 2014 )

Pete Seeger fêtera ses 95 berges au paradis…

Décidément, ceux qui ont enchanté ma jeunesse ont décidé de me retarder dans l’organisation des sujets de mon blog…

L’icone de toute une génération vient de prendre la tangente, mais il ne faut rien regretter, car « le temps lui a laissé le temps ».

Pete Seeger fêtera ses 95 berges au paradis... dans Entre nous...

Pete Seeger (1919-2014),

je ne sais ce que ce nom évoque pour les jeunes générations, mais il sonne à mes oreilles comme une chanson écoutée via le vinyle d’une frangine qui le passait en boucle sur son pick-up des 6ties…

Celle-ci (dans la version originale entendue gamin) :

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Cette chanson fut reprise  par Graeme Allwright, pour mon plus grand bonheur, sous le titre de « Jusqu’à la ceinture » (version également originale) :

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Le Monde rend un hommage digne de ce nom à cet homme dont la disparition, je le devine, doit toucher mon ami Loïc ;)

 

http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2014/01/28/mort-de-pete-seeger-icone-du-folk-song-americain_4355440_3382.html

( 23 janvier, 2014 )

François Deguelt a rejoint l’autre rive…

François Deguelt a rejoint l'autre rive... dans Entre nous...

J’étais en train d’écrire cette suite que vous attendez-tous, et j’apprends, via les médias dont ma radio de chevet RTL, l’information suivante…

 

Connu pour la chanson Le ciel, le soleil et la mer, le chanteur François Deguelt est mort mercredi dans le Var, selon Le Parisien. Il était âgé de 81 ans.

 

Auteur, compositeur et interprète né à Tarbes en 1932, il avait fait ses débuts à l’aube des années 50 dans les cabarets de Montmartre, avant de se faire un nom et d’accompagner Jean Nohain en tournée pour son émission « 36 chandelles ». En 1965, il crée son plus grand succès, Le ciel, le soleil et la mer, mélancolique ballade qui sera le tube de l’été. Parmi ses chansons les plus connues figurent aussi Le bal de la marineMinuit, le vent, la nuit ou Paris, c’est trop loin de la mer.

Également présentateur à la radio et à la télévision, il a participé à deux reprises au concours Eurovision de la chanson pour la Principauté de Monaco, se classant à la troisième place en 1960 et à la deuxième en 1962.

François Deguelt avait participé en 2006 à la tournée « Age tendre et tête de bois », qui a réuni dans un premier Richard Anthony, Franck Alamo, Leni Escudero, Michel Orso et Demis Roussos, avant que Michèle Torr, Marcel Amont, Pierre Groscolas, Annie Cordy, Claude Barzotti et Catherine Lara ne rejoignent l’aventure en 2007 et 2008.

François Deguelt ne se contentait pas de reprendre Le ciel, le soleil et la mer, lors de la tournée. Il était aussi le maître de cérémonie et passait en revue l’histoire des yéyés, invitant le public à des devinettes musicales, entre les prestations de ses collègues. Michel Algay, le producteur de cette tournée à succès a salué auprès de l’AFP un « poète et chanteur populaire qui a laissé une trace indélébile dans la chanson française et coeur du public ».

 

 dans Hommages et coups de gueule !

Ainsi va la vie, l’ami François n’échappant pas à la règle.

Mes souvenirs d’enfant reviennent à la surface quand j’entends cette chanson mythique…

 

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( 18 janvier, 2014 )

Rambo en tutu rose, faisait de la dentelle…

…Et la Belle au Bois Dormant, devenue insomniaque,

Rambo en tutu rose, faisait de la dentelle... dans Entre nous...

jouait de la sulfateuse !

 

Rares étaient les hétéros qui osaient encore se marier.

Rares étaient les hétéros qui osaient l’ouvrir.

Rares étaient les hétéros tout court…

 

Comment en étions-nous arrivés là ?

 

Tout partit de ceux qui se définissaient comme « progressistes ».

Ils avaient des idées plein la tête, fort sympathiques, ma foi, mais ils avaient oublié un détail :

 dans Hommages et coups de gueule !

« la réalité ».

 

Ce mot que beaucoup voulurent ignorer, au sein de la secte du « Y’a qu’à », une des filiales d’un peuple usé par trop de désespoirs et de promesses non tenues.

Ils voulurent l’ignorer, pensant qu’il suffisait de tenir la main d’un handicapé vivant sous le seuil de pauvreté qui pleure devant les caméras, à une heure de grande écoute, pour faire croire qu’on va soulager sa peine…

Qu’il suffisait de serrer dans ses bras un ouvrier (une ouvrière), pour lui faire croire que l’usine dans laquelle il (elle) travaille depuis trente ans ne va pas se délocaliser vers des pays où la main d’œuvre est moins chère, et que d’une vie simple, il (elle) ne passera pas à une vie de misère…

Pour quelques courbes…

 

Qu’il suffisait, pour construire des logements sociaux afin qu’il n’existe plus un SDF, de le vouloir…

Que pour lutter contre la pauvreté, il suffisait de prendre aux riches…

 

Le coq gaulois symbolisait bien ce que nous étions :

des animaux criant très fort lorsqu’ils ont les pieds dans la boue.

On manifestait, on vociférait, on dénonçait la mondialisation, menaçant les vils capitalistes qu’on taxa à 75 %…

Était-il surprenant, objet de tant de haine,

qu’ils prennent leurs jambes à leur cou ?

 

Ne pouvant de la nation guérir les « maux », ils se consacrèrent dès lors aux « mots », abordant des sujets moindres mais qui faisaient grand bruit, aidant à faire oublier le reste…

 

Ils commencèrent à éradiquer de leur dictionnaire perso le terme « différence », comme si cela devait être la définition d’un phénomène inavouable.

Or, la différence, sauf pour quelques connards de fachos, c’est souvent un plus qui vient s’ajouter à la norme, un phénomène qui nous oblige à nous remettre en question au sein d’une société souvent trop formatée.

 

Le « mariage pour tous », pourquoi a-t-il fait tant parler et divisé, alors que l’homosexualité était de plus en plus acceptée parmi nos contemporains (excepté les grenouilles de bénitiers et les nostalgiques des années 40, mais bon…) ?

Que deux personnes qui s’aiment puissent vivre légalement ensemble et qu’on leur foute la paix : tout le monde était d’accord,

 

mais…

 

Il fallait y mettre la manière, et ne pas imposer à plus de 90 % ce simulacre d’humanisme qui n’intéressait que les 10 % d’éventuellement concernés.

Moi qui fait désormais partie des (presque) « vieux qu’ont de l’âge » [cons de l'âge], je reste sur mes bases, celles qui m’ont données naissance :

 

  • le papa
  • la maman
  • l’éventuelle progéniture (à mon époque, y’avait pas de pilule, « ho yeah!!! » Si elle avait existé, j’s'rais point là pour en causer mon colon…)

 

J’ai bien dit « bases », ce qui laisse libre champ pour composer ensuite.

Mes parents ayant divorcé alors que je n’avais pas cinq ans, il est certain que si ma Maman (qui avait toute les raisons du monde pour être dégoûté de l’éternel masculin) avait connu le grand amour avec une femme, cela ne m’aurait pas gêné plus que ça. Il faut dire qu’à cette « époque bénie », quand ton bronzage était permanent

(hé oui, c’était mon cas),

tu étais montré du doigt dans la cour de récré, quand ce n’était pire (!) par les émules d’une société que la « norme accole », ce qui fut pour moi « pire qu’un lavement »

|humour de soignant – on ne se refait pas].

Dès lors qu’on me jette des pierres pour ça ou autre chose, quelle différence ça pouvait faire ?…

 

J’étais donc différent (« hétéro », chacun ayant sa tare) et en avais conscience.

Je me suis très vite assumé, et pour ceux qui cherchaient la cogne, j’ai très vite assommé !

Quelques cinquante ans plus tard, je suis toujours aussi différent, et sur bien d’autres choses encore.

Pourquoi faudrait-il en retirer une quelconque honte ?

Chacun est ce qu’il est, merde, quoi !!!

Tout cela pour dire quoi ?

Et que vient faire Rambo ainsi que la Belle au bois dormant dans mon exposé ?

 

Ha oui : explique-nous le Jiji,

car nous aussi on est un « gros-tinet »

(comme dirait ton poteau Franck 77)

largués…

 

Bon, les mecs, je vous livre ça avec

trois kilos de pomme de terre,

mais barrez-vous : z’allez faire fuir mes lecteurs !!!

Avec vos conneries, j’ai perdu le fil…

 

J’en étais où, moi ?

 

Ha oui :

faut-il ignorer les différences, et légiférer sur le sujet, menaçant qui aurait l’outrecuidance de les mettre en relief, ne serait-ce que par l’observation ?

La nature a créé des éléments (de base, rappelons-le) qui se complètent, voire s’harmonisent.

Ainsi, mâles et femelles virent le jour.

A part quelques exceptions, ils furent les seuls à pouvoir procréer.

Ce n’est pas moi qui l’invente, il suffit d’ouvrir un manuel de science naturelle pour confirmer ce fait qui semble terriblement embarrasser certains progressistes bien-pensants.

 

Ne pouvant nier l’évidence ni brûler les livres (ce qui nous ramènerait à une époque que les moins de 80 berges ne peuvent pas connaître), ils ont trouvé une stratégie qui consiste à instaurer ce que j’apparente à un lavage de cerveau, et ce dès les premières heures de l’école maternelle, s’abritant derrière trois concepts :

 

  • l’égalité
  • la parité
  • le respect de l’autre…

 

C’est un programme qui serait parfait, s’il n’était pas l’arbre qui cache une forêt pas si écologique, pas si pure que cela.

Car il faut savoir lire entre les lignes de ces technocrates, que

notre regretté Coluche définissait

« comme une nouvelle race de fainéants ».

Aveuglés par leur idéologie, ils ont décidé que filles et garçons, c’était « la même chose », et qu’il fallait enfoncer « leur pseudo réalité » dans le crâne des vivants dès le plus jeune âge !

 

Il faudrait peut-être raison garder, l’excès en tout étant un défaut. Faire le distinguo entre une dérive sectaire et une querelle de môme, et ne surtout point créer des hermaphrodites, formatés pour ignorer sur le papier

leur différence physique !!!

 

Le langage des bambins n’est que le reflet de ce qu’ils entendent à la maison, alors avant de les conditionner comme on le fait pour des boîtes de conserves ou pour nos camarades infortunés de la Corée du Nord, commençons déjà à nous intéresser aux géniteurs. S’ils ne sont pas éduqués et que certains d’entre-eux sont (n’ayons pas peur de le dire) complètement cons, comment voulez-vous que la marmaille échappe à la règle ?!?

 

A la base, une femme est une femme, un homme est un homme…

 

A partir de là,

chacun « fait-fait-fait » c’qui lui plait,

mais ce ne sont pas les juges (sauf exactions) qui décident de nos vies, même si sur un autre sujet dramatique d’actualité, ils en sont persuadés…

 

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( 15 janvier, 2014 )

La meilleure réponse à cette putain de quenelle…

C’est Nicolas qui nous en fit cadeau !!!

 

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 Merci mon pote : tu es le digne fils de ton Père…

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