( 11 novembre, 2013 )

Un peu de respect, quand même !!!

Saur erreur de ma part, il me semble qu’une élection avait eu lieu en 2012, et qu’un certain

Un peu de respect, quand même !!! dans Entre nous...

François Hollande l’avait emporté…

… A mon grand désespoir, certes, mais c’est ce qu’on appelle la démocratie.

Son impopularité, le rejet de sa politique, c’est une chose.

La représentation de l’Etat, c’en est une autre…

Aujourd’hui’ hui avait lieu une commémoration, celle du 11 novembre 1918, mettant fin

 dans Hommages et coups de gueule !

A quatre années d’horreur !

L’homme qui rendait hommage à tous nos soldats n’est pas un citoyen lambda, n’est pas le chef de file des socialistes, non : il est celui qui représente officiellement la Nation France.

En le sifflant ce jour, c’est le soldat, le citoyen, le « frère », celui qui a fait don de sa vie (à défaut, de l’intégrité de son corps) que vous avez insulté !!!

De plus, camarades à bonnets rouges, votre combat est légitime, certes, mais lorsque vous détruisez des bornes et des radars fixes (environs 70.000 euros par tête de pipe), ce sera autant qui viendra s’ajouter à la facture du contribuable pour les remplacer…

N’y a-t-il pas assez d’impôts comme ça, qu’il faille en rajouter ?!?

Ne pas confondre « revendication » et « commémoration ».

 

 dans Hum... C'que ça m'énerve !!!

Comprendre déjà ça, ça ferait tellement de bien à la France !!!

( 8 novembre, 2013 )

Le Pape et l’Enfant…

Je regarde les informations, résigné comme le commun des mortels à voir défiler toutes les horreurs du monde, et soudain :

une bulle d’oxygène venant du Vatican !!!

 

Le Pape et l'Enfant... dans Entre nous...

 

Que serait une église sans enfants ?

De vieux murs qui s’ennuient !

Ils se réveillent bienveillants, trop contents des frasques d’une marmaille pleine de vie, qui redonne à l’âme des lieux cette fraîcheur qu’on appelle la jeunesse.

 

Ce n’est pas un certain « François » qui dira le contraire, pour preuve cette scène très touchante…

 

Image de prévisualisation YouTube

 

Le petit Didier a fait craquer les journalistes au delà de l’Atlantique, et plus loin encore…

 

Image de prévisualisation YouTube

 

Ho, il se trouvera bien quelques pisse-vinaigres, ceux qui donneraient leur chemise à de pauvres gens heureux, pour étaler leur fiel, nous donnant leur définition de l’instrumentalisation.

 

A ceux-là, je n’ai qu’une chose à dire :

 dans Ha ! On est bien...

Faut que je sous-titre ?!?

 

C’est vrai à la fin : 

Laisser un peu parler la tendresse, bordel, quoi !!!

 

( 6 novembre, 2013 )

Et le roi des cons sur son trône, me dîtes pas qu’il est Portugais…

 

T’as bobo mon Fanfan ?!?

 

Et le roi des cons sur son trône, me dîtes pas qu'il est Portugais... dans Les facéties de Mésygues

 

Regarde le côté positif de l’histoire : si tu devais chuter encore, ce serait de moins haut, donc l’impact n’en sera que plus faible.

 

Tout cela n’aurait pas d’importance s’il n’existait un peuple, celui de France, qui a écouté ta tirade « Moi Président ! » et qui a cru que le changement, c’était maintenant.

En fait, tu n’as proposé qu’un « changement dans la continuité », l’augmentation des taxes et impôts qui étranglent particuliers, PME et artisans, tandis que les grands groupes se tirent à l’étranger encore plus vite qu’avant, laissant sur le pavé encore plus de chômeurs, victimes d’encore plus de délocalisations…

 

 dans Les facéties de Mésygues

Maintenant, le Peuple est dans la rue.

Z’ont mis des bonnets rouges,

z’ont pas l’air contents !

 

Bonne chance les gars, car

quand le Breton est sur la place,

faut plus comprendre, faut prier !!!

 

Tout cela était hélas prévisible, car s’il suffisait de remplacer un « people bling-bling » par un « bricolo amateur » pour contrer la crise, ça se saurait : on n’est pas moins con que les autres !

 

Pendant ce temps-là,

y’en au moins une qui se marre…

 

Son parti n’est pas extrême, et encore moins raciste, voudrait-elle faire passer comme message ?!?

 

Pas raciste, non !!!

D’ailleurs, preuve en est…

 

En ce moment, quand je vous vois elle et toi si pitoyables, c’est terrible comme j’ai mal à ma France, cette même que tu vas laisser aux extrêmes à cause de ton amateurisme !!!

Je persiste et signe : le roi des cons sur son trône, me dites pas qu’il est Portugais…

( 4 novembre, 2013 )

Quand Isaac Hayes chanta chez Nagui…

Quand Isaac Hayes chanta chez Nagui... dans Entre nous...

Isaac Hayes  1942-2008.

 

Image de prévisualisation YouTube

 

C’est pourtant vrai qu’elle était géniale cette émission !!!

( 2 novembre, 2013 )

Ce 2 novembre : que de traits passés…

 

Ce 2 novembre : que de traits passés... dans Les facéties de Mésygues

C’était pourtant vrai qu’on était le 2 novembre !

 

J’avais cédé et donc accepté de me rendre dans ce cimetière, où évoluaient tous ceux-là, tous ces hères encore vivants qui se déplaçaient par « obligation » une fois l’an, afin de déposer des fleurs sur le froid manteau en marbre que revêt leurs trépassés.

Ce cirque avait commencé depuis hier, calendrier oblige.

 

 dans Les facéties de Mésygues

Les autres, les authentiques noyés dans leur réel chagrin, se fichant bien de l’éphéméride, avaient pris soin de se mettre à l’abri de la foule…

 

Au fait : hier, n’étions-nous pas censés fêter « tous les Saints », au lieu de se livrer à ce simulacre larmoyant ?

Les larmes conventionnées, ce n’est qu’aujourd’hui qu’on les verse !

Actuellement, les larmes factices se récoltent sur des kleenex.

Jadis, le chagrin se déversait sur des mouchoirs de Cholet (avant que cet objet ne devienne un luxe).

Autres temps, autres mœurs ?

Je ne suis pas sûr qu’on ait gagné au change.

 

Je m’étais laissé entraîner ,  mais je me promis que c’était bien la dernière fois qu’en ces deux jours d’abondance, on y verrait mézigue !!!

 

Image de prévisualisation YouTube

 

 

( 31 octobre, 2013 )

On est heureux, cependant… (jjfc49 tribune libre)

 

On est heureux, cependant... (jjfc49 tribune libre) dans Hommages et coups de gueule !

Oui, les gars, vous n’aviez rien demandé et on vous a volé trois ans de votre vie.

Comme tous nos compatriotes, je suis heureux que vous soyez de retour au pays, au sein de vos familles !

Mais…

Car il y a un « mais » :

vous n’étes que des pions sur un échiquier bien rodé :

 dans Hum... C'que ça m'énerve !!!

celui de ces enfoirés de terroristes !!!

Grâce aux 20 ou 30 millions qu’on (ne) leur a (pas) donné, et la libération de quelques-uns de leurs copains, ils vont pouvoir s’acheter les munitions et alimenter la main d’oeuvre qui leur permettront de s’offrir d’autres occidentaux…

 

Tout cela n’a plus rien à voir avec la religion qui leur sert d’alibi :

 dans jjfc49 :

ce ne sont que de vulgaires truands sans foi ni loi…

Et puisqu’il ont trouvé (comme à chaque fois) des cons pour payer, ils auraient tort de se gratter !!!

( 26 octobre, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (8ème épisode)

Note : celui qui n’a pas lu « l’épisode 7″, il risque de se paumer grave…

Jeanne (5/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

 

Image de prévisualisation YouTube

 

http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr

 

Il faut sauver Jeanne (1ère époque)

 

Dans le foyer de la famille d’Arc, tout n’était pas si simple…

Les tribulations de

 

« Un caractère comme ça, ce n’est plus un inconvénient, c’est un véritable calvaire ! »

Ainsi parlait Jacques d’Arc à Isabelle Romée, son épouse.

 

Isabelle :

« N’a-t-elle pas de qui tenir, notre Jeanne ?

Car c’est bien d’elle que tu parles… »

 

Jacques d’Arc :

« Je ne te conseille pas d’user de ma patience, femme…

Ne m’oblige pas à te rudoyer le fessard ! »

 

Isabelle, après un soupir :

« Voilà bien les « mâles : vouloir tout régler par la violence… En plusieurs siècles de guerres, vous n’avez toujours rien compris, voilà pourquoi elles perdurent, à l’image de celle, interminable, qui nous oppose à l’Anglois… »

 

Jacques d’Arc :

« Tu me fatigues, femelle !

La violence en l’occurrence fut pratiquée par notre enfant à l’égard du fils du forgeron. »

 

Isabelle, ne pouvant dissimuler son sourire :

« Elle a donc fait tourment à ce grand benêt, qui sème la terreur parmi les enfants de la paroisse ?!? »

 

Jacques d’Arc :

« Ça ne me fait pas rire du tout, car notre Jeanne se complaît beaucoup trop à mon goût à se travestir dans des habits de garçon et à en adopter les jeux virils.

Tu verras qu’un jour, l’inquisition lui fera misère rien que pour cela !!! »

 

Isabelle :

« Tu dramatises tout, ce n’est qu’une fillotte de treize ans. »

 

Jacques d’Arc :

« Elle ne le sera pas éternellement.

 dans Les facéties de Mésygues

Si elle continue dans cette voix,

j’ai bien peur qu’elle ne termine pucelle, et que de l’amour elle ne connaisse jamais la flamme !!! »

 

Isabelle :

« Quel rabat-joie !

Et si, dans un élan de mansuétude, tu lui en laissais le temps ?

Où est-elle, au fait ? »

 

Jacques d’Arc :

« Je l’ai envoyée s’occuper des montons, puisqu’elle refuse toujours de s’occuper de « justin ». »

 

Isabelle :

« Comment se fait-il qu’elle redoute tant ce cochon ?!? »

 

 dans Les tribulations de

La petite Jeanne boudait dans son coin, observant les animaux dont elle avait la charge.

Soudain, une sphère lumineuse éclairant tout le ciel se posa non loin d’elle.

Ce phénomène, loin de l’effrayer à l’instar de ses montons, ne fit que renforcer sa foi. Elle se mit à prier.

 

Dans cette sphère, était X57, qui se parla à lui-même :

« Je sens que je vais encore me faire engueuler par le paternel, moi !

Il le savait pourtant bien que je ne suis pas encore au point avec cette téléportation…

Quand il va savoir que j’ai perdu mon kit portable dans la bataille : ça va être la fête à bibi !!! »

 

De quelle bataille parlait-il ?

Bon sang, les Templiers :

on les aurait presque oubliés, ceux-là !!!

Les justes, représentés par Clotaire, avaient eu raison de Landry l’opportuniste et de ses hommes.

 

Clotaire dont la lame se tenait au niveau de la gorge de Landry :

« Je te fais grâce, reprends ton épée : qu’elle soit au service de Dieu, non de ceux qui le parodient ! »

 

Landry s’exécuta, monta sur son cheval et se mit en route, suivi de ses compagnons d’infortune en majorité blessés comme lui.

L’un d’eux, s’adressant à Landry :

« Qu’allons-nous devenir, vaincus par Clotaire et Abandonnés par le Chevalier Jacques de Hasbeen ? »

 

Un autre, se tenant le flanc :

« C’est faire offense à la chevalerie que d’attribuer si noble titre à tel couard !!! Avez-vous vu comme il a fui? »

 

Landry :

« Retournons à Rouen : je plaiderai notre cause auprès de Monseigneur Cauchon ! »

 

Clotaire, les regardant avec pitié :

« De ce jour, nous devenons des fantômes errants… »

 

Thibaut, l’un des compagnons de Clotaire :

« Que racontes-tu mon ami ?!?

Nous sommes, tu le vois, tout ce qu’il y a de bien vivant ! »

 

Clotaire, souriant affectueusement :

« C’était une métaphore, fidèle compagnon… »

 

Thibaut, fronçant les sourcils :

« Que n’es-tu compliqué parfois !

Qu’est-ce donc ? »

 

Clotaire :

« Une façon de dire que nous sommes les derniers à mettre notre épée, au service de la morale et de la justice… »

 

Thibaut, montrant Landry et ses hommes sur leurs montures, dont on ne voyait plus que les ombres :

« …Contrairement à ceux-là, qui se feront les valets de qui possède fortune et pouvoir…

A choisir : mieux vaut être fantôme qu’esclave… »

 

Clotaire :

« Rejoignons céans les envoyés de Dieu ! »

 

 

 

 

Envoyés de Dieu ?

Ils parlaient de Pineau, Jiji, X26, X57 et Merlin, qui, quelques minutes plus tôt s’étaient mis à la poursuite de l’infâme Hasbeen et de son valet…

Mais, que ce passe-t-il plus loin ?!?

 

Dans la forêt habituellement si calme qui menait à Domrémy, deux cavaliers galopant à bride abattue, suivis de très près par un troisième, croisèrent un vieil homme et son fils, alors que les deux chargeaient du bois dans une charrette attelée à un bœuf.

Le vieil homme :

« Vin diou, z’ont le feu au cul ceux là !!! »

 

Le fils :

« Fais-donc gaffe, heu’l’patrenel : v’a du rabiot ! »

 

Effectivement, deux autres passèrent à la vitesse de l’éclair.

Pineau, faisant partie du lot, s’adressa à Jiji en très mauvaise posture :

« Ho : tu t’entraînes pour Médrano ou quoi ?!? »

 

Jiji, après avoir juré comme un charretier,

 dans Les facéties de Mésygues

exécutant une chorégraphie équestre désespérée

dans le but de remonter sur la selle de son cheval :

« Puisque tu veux le savoir, j’en profitais pour faire un recensement sur les plantes vivaces qui poussaient en Lorraine au 15ème…

Une autre question, avant que je ne m’écrase la tronche en terre sainte ?!? »

 

Pineau allait lui donner la main quand deux sphères lumineuses se portèrent au secours de Jiji, le remettant en bonne posture, avant de disparaître vers l’horizon.

Jiji à pineau, après un « ouf »de soulagement :

« Tu me feras penser à faire un gros poutou sur le museau de

 

Brok et Chnok (X26 & 57),

car je suppose que c’étaient eux… »

 

Le fils, ayant observé la scène, se grattant la tête :

« On peut pas dire que ce soit une journée comme les autres ! »

 

Le vieil homme, faisant de même :

« Depuis qu’on a retrouvé ces moines en train de pioncer dans not’ Charrette à matin, dont cet espèce de géant, je ne m’étonne plus de rien, fiston… »

 

Effectivement, quelques heures plus tôt,un psaume assez rustique sortant des cordes vocales du fils du fagotier, avait réveillé une bonne partie de Domrémy sous cette forme mystique assez controversée :

« De Dieu de Dieu !!! »

 

Le Père, embarrassé :

« T’es pas bredin, dit ?!?

Jurer comme ça à deux pas de l’église !!!

Si un des ces fi d’garce heu’d’ l’inquisition nous a entendu, pas besoin d’allumer la cheminée pour se chauffer la couenne c’t’ hiver : vont s’en charger pour nous au frais du comté… »

 

Lui-même poussa un cri lorsque l’immense Julius émergea du tas de bois.

Ce dernier, s’adressant aux deux :

« Où sont les sataniques ?!? »

 

Le vieil homme, aidant les autres moines à s’extraire de la charrette :

« Qu’ek j’en sais, moi ?

Et puis…

Z’êtes vraiment sûrs de vouloir retrouver ceux qui vous ont arrangés comme ça ? »

 

Le fils, narquois :

« Bah, après tout, s’ils veulent connaître le martyr… J’me suis laissé dire qu’y fallait en passer par là pour être canonisé. Tu te rends compte heu’l'Père : si ça s’trouve, on taille la bavette avec des Saints !!!

 

Tandis que le regard de Julius se faisait de plus en plus menaçant, le vieil homme reprit la parole :

« Scusez mon fils, j’ai jamais eu le temps de le terminer… M’enfin, « heureux le fêlé car il laisse passer la lumière », (il cligne de l’œil) comme on dit !

Pour vos « sataniques », j’peux pas vous en dire plus, mais si vous les voyez, faudrait tacher voir à leur rappeler que ma charrette, c’est pas une auberge… »

 

Julius, s’adressant aux autres moines, comme s’il avait eu une révélation :

« Loué soit Seigneur qui guide nos pas ! Nous les retrouverons, c’est une évidence, chez ce mécréant de Duchenot.

Allons pressément !!! »

 

Le vieil homme, observant ces moines douloureux mettant laborieusement un pied devant l’autre :

« Font pitié, quand même !

Avec des religieux comme ça, je ne donne même pas cinq siècles au Royaume de France avant d’être livré définitivement aux païens… »

 

 

Pendant ce temps, chez Duchenot…

 

Isaac, qui fut le premier des ménestrels à émerger de la paille de la grange, s’adressa ainsi à sa troupe :

« Mes amis, réveillez-vous ! Nous devons reprendre la route dès que possible. »

Il regarde alentours

« Où sont donc nos deux tourtereaux ? »

 

Ermeline, une des danseuses de la troupe :

« La mère Duchenot leur a offert une chambre pour la nuitée, en reconnaissance du spectacle féerique que donna « Franck le Magnifique »… »

 

Simon, musicien :

« Jamais, de mémoire d’homme, luth ne fut joué avec telle dextérité, ni textes libertins si brillamment interprétés ! »

 

Isaac :

« Sa chanson « Tirelipimpon sur le chihuahua », j’avoue ne pas en avoir saisi toutes les arcanes… »

 

Ermeline, soupirant :

« Mais son ode  :

« Que je t’aime », j’en frisonne encore !!! »

 

Ida, une autre danseuse, euphorique :

« Quand tu n’te sens plus chatte

Et que tu deviens chienne

Et qu’à l’appel du loup

Tu brises enfin tes chaînes… »

 

Ermeline, reprenant :

« Quand ton premier soupir

Se finit dans un cri

Quand c’est moi qui dit non

Quand c’est toi qui dis oui… »

 

Isaac, s’adressant à son régisseur :

« Mon bon Thomas, peux-tu réveiller ce violeur de cœurs ainsi que sa doulce amie ? »

 

Thomas, le sourire aux lèvres monta l’escalier. La porte était mal fermée, c’est ainsi qu’il entendit la suite…

 

Franck venant de se réveiller

sur de sympathiques coussins :

« J’ai dormi comme un bébé, je me sens aussi reposé que si je m’étais couché à l’heure des poules. Mais quelque chose me dit qu’il n’en n’est rien… »

 

Zorah, essayant de dissimuler son embarras :

« Pourquoi dis-tu cela ? »

 

Franck :

« J’ai quelques souvenirs du spectacle et de la liesse qui s’en suivit.

Puis je me rappelle un baiser

Un baiser pour pour de vrai

Un baiser libertin

Enfin bref un patin

Et autre chose… »

 

Zorah, rougissante :

« Oui, délicieuse chose… »

 

Franck, dubitatif :

« Aurions-nous cédé à la déraison ?!?

(Il se raccroche à son humour)

Si tu devais avoir une brioche au four, faudra qu’on s’organise pour la garde partagée, vu que des années lumières séparent nos deux mondes ! »

 

Zorah, mettant une main sur chaque tempe de Franck :

« Tu dois effacer de ta mémoire notre folle nuit… »

 

Thomas, très déconcerté, s’éloigna de la porte et descendit l’escalier de bois craquant sur la pointe des pieds.

Isaac, se fichant de lui :

« Crache un coup, t’es tout pâle : on dirait que tu fus témoin de sorcellerie, l’ami ! »

 

Ida :

« A propos de sorcellerie, regardez-donc ce qui se passe dehors ! »

 

Jack Hasbeen et Obséquis mordaient la poussière, éjectés de leurs montures par la magie très explosive de Merlin, à la porte de l’auberge.

Merlin à Jack Hasbeen :

« Ici s’arrête ta route, infâme usurpateur !!!

Je ne te laisserai point occire jeune vierge et changer le destin du monde !!! »

 

Jack Hasbeen s’étant relevé l’épée à la main, crachant quelques feuilles qu’il avait dans la bouche :

« Es-tu seul, vieil homme, pour t’opposer à moi ?!? »

 

Obséquius inquiet, s’époussetant en faisant un sourire de faux-cul à Merlin:

« Mon bon Maître, trop d’émotions vous égarent, cet honorable druide peut nous étrier le temps d’un battement de cil : gloire à lui de n’en rien faire ! »

 

Merlin à Obséquius :

« Tes paroles sont celles de la sagesse.

Que fais-tu donc au service de cet inepte (il montre Hasbeen) qui n’a que mépris pour toi ? »

 

Hasbeen dépité, s’accrochant cependant à son épée :

« Bonjour l’angoisse : comme ces psy de supermarché, il va nous la faire

à la Mireille Dumas ! »

 

Merlin, après un soupir :

« Con et Misogyne, en plus ?!? »

 

Obséquius, se lâchant un peu :

« C’est un pléonasme… »

 

Hasbeen, faisant les gros yeux :

« Ne serais-tu pas en train de virer ta cuti ?

Puisque c’est ainsi… »

 

Il lâcha son épée, sortit de sa poche une sorte de télécommande, pressa un doigt dessus et disparu dans le même nuage de poussière qui vit apparaître X26.

Ce dernier, rajustant sa tenue aussi froissée qu’anachronique :

« Ha dites-donc, ça circule aujourd’hui !!!

Je serais bien venu plus tôt, mais j’ai encore du mal avec ce nouveau modèle de téléportation. En plus, j’ai paumé le filston en route…

J’ai croisé un ostrogoth qui m’est passé au raz de la tronche dans le couloir spatio-temporel !

C’était qui ce branque ? »

 

Obséquius, complètement détruit :

« C’était le Chevalier Jacques de Hasbeen…

Mon Maître est parti sans moi !!! »

 

Merlin, mettant sa main sur l’épaule d’Obséquius :

« Cette baudruche ne te méritait pas.

Désormais, tu mettras ta loyauté au service de bonnes causes… »

 

« Quelqu’un peut me dire comment on arrête cet engin ?!? »

Cette voix qui venait d’interrompre la conversation entre Merlin et Obséquius n’était autre que celle de Jiji, qui tirait désespérément sur les reines de son cheval complètement emballé.

 

Les moines venaient juste d’arriver.

Julius, se mit en travers du chemin :

« Halte-là, hérétique !!! »

 

Jiji, tenant miraculeusement sur sa monture et se cachant les yeux :

« Dieu, si t’es dans le coin : ait pitié de ce grand con… »

 

Le choc stoppa net le cheval qui se retrouva à terre. Il se releva, secoua la tête puis repris sa course.

Jiji, lui, avait fait un vol plané qui l’avait envoyé jusque dans l’abreuvoir de l’auberge, lui inspirant ce commentaire spontané :

« Ho pute borgne ça fait froid au cul !!! »

 

Franck 77, sorti de son nid douillet, avait assisté à la scène. Ayant reconnu son copain, il dit :

« Toujours autant la classe Padré… »

 

 

 

 

Suite au prochain épisode…

 

« Seventy Seven » need you :

 

http://franck77.unblog.fr/ 

( 24 octobre, 2013 )

Mamie-Blues…

Image de prévisualisation YouTube

 

Mamie-Blues... dans Entre nous...

 

 dans Ha ! On est bien...

 

 

Même si tu n’es plus là, tu es et seras toujours ma Mamie…

( 21 octobre, 2013 )

Ça ferait effectivement du bien à la France !!!

Image de prévisualisation YouTube

 

Ça ferait effectivement du bien à la France !!!  dans Hommages et coups de gueule !

 

 dans Les facéties de Mésygues

 

 

 

Heu…

 

 

Capito ?!?

( 20 octobre, 2013 )

Georges Descrières, un gentleman qui tire sa révérence à 83 ans…

Image de prévisualisation YouTube

 

Il fut un grand comédien, un grand acteur (je n’ai jamais vu la différence profonde), qui contribua à apporter au théâtre toute sa splendeur !

 

Georges Descrières, un gentleman qui tire sa révérence à 83 ans... dans Chronique du temps qui passe...

La maladie a eu le dessus, mais belle fut sa vie.

 

 dans Hommages et coups de gueule !

De nouveaux rôles l’attendent…

1...7891011...54
« Page Précédente  Page Suivante »
|