( 6 février, 2014 )

Ce qu’en pense Poelvoorde…

Ça, quand tu défourailles, on se doute que tu vas amortir  le matos !!!

 

Ce qu'en pense Poelvoorde...

 

Parfois, j’ai envie de causer comme toi, mais il y a un temps pour la déconnade, et un autre pour l’éducation.

Et de la famille,  je préfère, sans aller défiler avec les autres pingouins, en garder les fondements.

Quoi qu’en disant ça, je te tends la perche,

« fondements » ayant dans ta bouche une définition tout autre !

 

La vidéo a été supprimée de Youtube pour des histoires de droit d’auteur…

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http://www.youtube.com/watch?v=Bt2rRz9Snv0

 

Cette vidéo m’a fait rire, elle est de bonne guerre, mais je persiste et signe : les comiques, si sympathiques qu’ils soient, ne sont pas des responsables politiques et encore moins des maîtres à penser.

Enfin, Dieu pour tous,

tous pour un,

et pour l’Elysée : 

(hi-hi !) 17% !!!

( 5 février, 2014 )

Cet obscur objet du désir…

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Depuis la nuit des temps, c’est bien ça qui mène ce fichu monde…

Quand ceux qui se foutent sur la gueule auront compris que l’amour est une récompense, non une contrainte :

 

Cet obscur objet du désir... dans Entre nous...

 

que de chemin aurons-nous parcouru !

 

A plus…

( 31 janvier, 2014 )

Rambo en tutu rose, la suite…

Rambo en tutu rose, la suite... dans Entre nous...

Mes petites mignonnes,

vous avez souhaité une suite ?

(Tân, te rends-tu bien compte de ce que tu as déclenché ?!?)

C’est vous qui l’aurez voulu,

turlututu chapeau pointu…

 

 dans Hommages et coups de gueule !

 

Moooooooteur !!!

 

Quelquepart en France, dans la deuxième partie du XXIème siècle…

 

 

« Bon écoute, mon petit « Ramby la Pâquerette », je sais que nous sommes dans l’ère du temps, mais si, dans le doux pays de tes fantasmes, tu pouvais au moins épargner le clebs…

Non mais regarde la tronche : pour la race canine, y’a outrage !!! »

Ainsi parlait celle que les voisins appelaient « La Belle au Bois Dormant » par dérision (après avoir respecté une distance minimum de sécurité – on se demande pouquoi – ;) ),

la douce « Aurore »…

Elle s’adressait à son compagnon « Rabaud », que ces mêmes avaient surnommés « Rambo la Pâquerette », mais qu’elle appelait « Ramby ».

 

Ce dernier, lui répondit d’une voix frêle :

« Tu n’aimes pas Ô ma Princesse ?

Avec cette petite touche de « Perle 2 »,

je trouve pourtant que ça affine la silhouette de « Tyson » (le chien). »

 

Aurore, levant les yeux aux ciel :

« Arrête de jouer les folles et écoute-moi. Je reviens du « Collège Christiane Taubira », nous avons un problème avec les enfants… »

 

Ramby, outré :

« Quoi, encore cette histoire ?!?

On le saura que les homos, 40 ans après « le mariage pour tous », n’ont toujours pas le droit d’adopter.

On a pourtant prouvé à l’assistante sociale que Emmanuel et Herculine sont de nous, non le fruit des trafics qui ont cours ces derniers temps : je pensais le dossier classé ! »

 

Aurore, agacée :

« Il ne s’agit pas de ça ! Tu me fatigues avec tes monologues…

Je sors d’un entretien avec la Principale :

Emmanuel refuse de jouer à la poupée avec ses camarades et ne veut plus entendre parler de l’atelier couture.

Monsieur veut qu’on l’appelle « Manu » et souhaite intégrer une équipe de rugby, le football étant, je le cite, un sport de « tafiole » !!! »

 

Ramby :

« Qu’est-ce qui lui prend ?!? »

 

Aurore :

« Je ne sais pas, mais s’il entame une crise d’adolescence, elle risque de nous coûter « bonbon », car le cher petit n’a rien trouvé de mieux que de chanter « Les singes » de Jacques Brel en faisant une quenelle devant la photo de la mère Taubira sur le monument qui lui est dédié ! »

 

Ramby :

« Ha le petit con !!!

On va avoir l’air fines quand la BIRP (Brigade d’Intervention du Respect de la Parité) va frapper à notre porte…

« Adolf », par rapport à leur cheftaine, c’est Gandhi ! »

 

Aurore, ouvrant le bar et se servant un whisky :

« Attends, ce n’est pas tout…

Herculine a rendu sa dernière dissertation, j’en suis tombée sur le cul. Sa seule ambition, dixit son prof de français (à qui elle fait les yeux doux, la salope !), est de vivre avec un homme riche qui l’entretiendra. »

 

Ramby étouffant un sanglot :

« Jésus-Marie-Joseph, mais qu’avons-nous fait pour mériter telle épreuve ?!? »

 

Aurore, se raclant la gorge après avoir bu une lampée de sky :

« Remarque, il fallait s’y attendre un peu. A force d’avoir sanctionné les hétéros, de les avoir menacés en utilisant la violence

de nos troupes les plus radicales,

nous sommes forcément devenus impopulaires !

Lorsque nous nous marions entre gens du même sexe, plus personne n’ose désormais se moquer, mais ce n’est qu’une apparence…

Jadis, nous étions « acceptés », puis vint ce mariage très mal géré par cette équipe apocalyptique, qui nous relégua au statut de « tolérés », avant que nous ne soyons sournoisement haïs par des modérés à qui l’extrême ouvrit ses portes clandestines.

 

Et s’ils s’étaient arrêtés là…

 

Nous sommes le produit de l’idéologie de ces personnages qui étaient de doux poètes mais n’étaient pas fait pour, en politique, être des décisionnaires !!! »

 

Ramby :

« Nous, en tous cas, on n’a rien à se reprocher, puisqu’on a suivi les conseils

de la mère Boutin,

qui disait que si deux homos voulaient se marier et avoir des enfants, c’était légalement possible si une lesbienne s’unissait avec un homo.

C’est-y pas c’qu’on a fait ?!? »

 

Aurore, dubitative :

« Hum-hum…

Si, pour certains, l’homosexuel est un accident de la nature,

nous sommes pour ces mêmes homos une sérieuse anomalie ! »

 

Ramby :
« Une histoire comme la notre, il n’en n’existe pas deux… »

Aurore:
« Tu l’as dit, bouffi !
Avant de croiser ta route, je n’étais qu’un garçon bodybuldé en errance dans un corps de fille, mal dans ma peau malgré la « Réforme scolaire de la parité et de l’identité ».
Ce jour-là, j’avais accepté une sortie entre lesbiennes chez « Maxou ».
Quand je t’ai vu assumant complètement ta féminité dans ton numéro de travelo, c’est là que j’ai compris que, malgré ce que tu portes entre le jambes, j’avais trouvé en toi mon alter ego. »

 

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Une  voix de jeune homme se fait entendre :
« Hum, tu parles d’une romance. Votre passé vous enivre…

En attendant : Quand les parents boivent, les enfants trinquent ! »

C’était Émmanuel qui venait d’entrer dans la pièce.
Alors qu’il s’écroule sur le canapé après s’être emparé de la télécommande, Ramby lui dit :
« Dis-donc toi, ma p’tite cocotte en sucre, personne ne t’as obligé à trinquer…
Et puis qu’est-ce que c’est que ces manières : viens faire un calinou à ta Maman chérie. »

Emmanel, s’éxécute dans un léger soupir.
Herculine apparaissant à son tour en a profité pour lui piquer sa place ainsi que la télécommande, ce qui provoque cette réaction du fils :
« Ha non, t’es chiante !!! »

Aurore :
« Continue à jacter comme ça, mec : ça va te porter bonheur ! »

 

Ramby :
« Il faut dire aussi que si Herculine arrêtait de le chercher… »

 

Alors qu’Herculine tire la langue à Emmanuel (qui lui répond par « un doigt »), Aurore la désigne en mettant en évidence sa main musclée :

« Ça lui éviterait de s’en prendre une à brève échéance ! » 

 

Herculine :
« Encore et encore les menaces du mâle dominant, toujours aussi nulles… »

 

Aurore, étonnée :
« Excuse-moi, « partenaire », mais tu sembles occulter un léger détail. »

 

Herculine, s’étant levée pour se chercher un soda, pendant que son frère, contrariéé de ne pas trouver la télécommande,  reprend sa place sur le fauteuil :
« Ha oui, lequel ? »

 

Aurore, montrant Ramby :
« Celui qui, selon les lois de la nature, est doté du « trois pièces cuisine », ce n’est pas moi, hélas ! »

 

Herculine :
« Tu portes tellement bien la culotte que j’ai tendance à en oublier  ce pourquoi nous, les enfants que vous avez commis, nous t’appelons « Papa », alors que tu es née femme… »

 

Émmanuel :

« …Et que nous appelons « Maman » notre géniteur mâle… »

 

Ramby, peiné :

« Tu en as honte, mon chéri ? »

 

Aurore, comblant le silence embarrassé du filston :

« Ho, il ne le dira pas, car l’adolescence, c’est l’âge le plus le plus lâche, le plus ingrat, le plus con qui soit… »

 

Ramby :

« Je te trouve trop sévère, ce petit se cherche, c’est normal à son âge. »

 

Aurore, après un soupir :

« Je ne sais pas s’il se cherche, mais d’autres l’ont trouvé pour le mettre sous influence : les fils, descendants de ces connards du « FIF » (Front Identitaire Français), ce parti contre lequel il a fallu lutter quand il a pris le pouvoir, remettant en cause tous nos acquis !!!

Parti comme les autres ?

Mon cul, oui… »

 

Herculine :

« T’énerve pas Papounet, les pétainistes de la première heure sont tous morts depuis longtemps, et avec eux la génération d’après…

Alors : cool ! »

 

Aurore sourit à sa fille, puis reprenant son air sévère en regardant son fils :

« Pas si morts que ça…

Regarde cet abruti : il n’a jamais fait autre chose que de pioncer pendant les cours d’histoire.

Son seul devoir de mémoire se limite à celle des contacts de son androïde Samsung !!! »

 

Emmanuel, hébété :

« Ben quoi ?!? »

 

Ramby, perdant patience :

« Fous-lui la paix à ce môme, tu ne vas pas lui faire porter le poids d’un passé qu’il n’a pu connaître, faute d’être né !

Que dirais-tu si je te demandais des comptes sur ce qu’ont fait tes ancêtres au paléolithique ? »

 

Aurore :

« Je n’en demande pas tant, mais s’il avait acquis le minimum vital, et ce, dès les premières heures de l’école maternelle, je n’aurais pas à lui rappeler qu’il est des chansons à ne pas chanter en certaines circonstances, des gestes à ne pas faire, dans « toutes » les circonstances. »

 

Ramby :

« Pour la chanson « les singes »

devant le monument de Taubira,

c’était une bêtise comme tant d’ados en font.

Il n’était pas au courant du contexte… »

 

Aurore :

« Hum, et des « textes cons » de ces glaires, auxquels les maîtres à penser (si on peut utiliser ce terme) se sont cru obligés d’ajouter ce geste, « la quenelle », qui ne dénonce pas un système, loin s’en faut, mais est le signe de ralliement des antisémites négationistes !

Serais-tu devenu raciste et antisémites, mon fils ?!? » 

 

Emmanuel :

« Pas du tout ! C’est quoi cette prise de tête ? »

 

Aurore :

« C’est celle d’une pauvre mère qui aimerait que la tête de sa progéniture produise autre chose qu’un bruit de lavabo quand on la secoue, les neurones en deuil !!! »

 

Emmanuel, l’air complètement abruti :

« Hein ?!? »

 

Ramby, à l’adresse d’Aurore et essuyant une larme :

« Tu me fais beaucoup de peine, ma Princesse, en t’attaquant de façon aussi déloyale à ce petit ! »

 

Herculine à Aurore :

« Je suis d’accord avec « Maman »…»

 

Aurore à Ramby et Herculine :

« Me gonflez pas les gonzesses !

Monsieur se dit « homme » et prétends vouloir jouer dans la cour des grands, il va falloir qu’il assume, autrement qu’en suivant un groupe d’hétéros pas encore pubères, comme le font les moutons.

Pour qu’il en soit ainsi, il lui faudrait faire l’effort minimum d’accepter de définir ce que chaque acte, chaque symbole qui l’accompagnera, a pour signification.

Faire un sport dit « viril » ne fait de personne un mec.

Traiter de tafiole ceux qui en pratique un autre, c’est encore moins en être un ! »

 

Ramby :

« Le mâle, par définition, n’est qu’un coq stupide et prétentieux.

Notre Manu a encore l’excuse de la jeunesse, avec tout ce que cela comporte d’erreur et de manque de maturité.

J’ai confiance en lui, car c’est à partir de ses erreurs d’aujourd’hui qu’il va devenir ce piler, sur lequel tous ceux qui l’auront suffisamment aimé et accompagné pourront s’appuyer… C’est l’amour qui fait toute la différence, pas la crainte ni la force brute, même si parfois, à titre exceptionnel il en faut… »

 

C’était une scène quotidienne de cette époque où quelques idéalistes avaient planté leurs jalons en voulant faire le bien, mais qui, à terme ne réglèrent en rien la détresse identitaire de chacun…

 

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Ne me dites pas que vous voulez encore une suite à cet épisode non prévu :

ce serait de la gourmandise !!!

( 30 janvier, 2014 )

Pierrot, planque ta bible : Cavanna arrive !!!

 

 

Cavanna is dead

François Cavanna

Pierrot, planque ta bible : Cavanna arrive !!! dans Entre nous...

(1923-2014)

Et oui mon bon Saint Pierre, un de plus qui vient alimenter la liste, et celui-là, il va t’en donner du fil à retordre !

Dans son numéro de solo, il n’engendrait déjà pas la mélancolie sur Terre…

 dans Hommages et coups de gueule !

Avec son pote Choron qu’il vient de retrouver,

la plume (qui ne sera pas celle des anges) risque bien de les démanger en tandem.

J’te dis pas comment ils vont te le réécrire ton « Nouveau Testament » !!!

Et pas question de les envoyer en enfer, le Choron y est tricard depuis bien longtemps :

 dans Les facéties de Mésygues

les hallucinations et crises d’angoisses de Satan ne s’étant espacées que récemment, ce qui lui a permis d’arrêter enfin les antidépresseurs…

On comprend qu’il leur ferme sa porte à double tour, après l’avoir solidement barricadée !!!

 

http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2014/01/30/mort-du-dessinateur-francois-cavanna_4356745_3382.html

 

( 28 janvier, 2014 )

Pete Seeger fêtera ses 95 berges au paradis…

Décidément, ceux qui ont enchanté ma jeunesse ont décidé de me retarder dans l’organisation des sujets de mon blog…

L’icone de toute une génération vient de prendre la tangente, mais il ne faut rien regretter, car « le temps lui a laissé le temps ».

Pete Seeger fêtera ses 95 berges au paradis... dans Entre nous...

Pete Seeger (1919-2014),

je ne sais ce que ce nom évoque pour les jeunes générations, mais il sonne à mes oreilles comme une chanson écoutée via le vinyle d’une frangine qui le passait en boucle sur son pick-up des 6ties…

Celle-ci (dans la version originale entendue gamin) :

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Cette chanson fut reprise  par Graeme Allwright, pour mon plus grand bonheur, sous le titre de « Jusqu’à la ceinture » (version également originale) :

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Le Monde rend un hommage digne de ce nom à cet homme dont la disparition, je le devine, doit toucher mon ami Loïc ;)

 

http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2014/01/28/mort-de-pete-seeger-icone-du-folk-song-americain_4355440_3382.html

( 23 janvier, 2014 )

François Deguelt a rejoint l’autre rive…

François Deguelt a rejoint l'autre rive... dans Entre nous...

J’étais en train d’écrire cette suite que vous attendez-tous, et j’apprends, via les médias dont ma radio de chevet RTL, l’information suivante…

 

Connu pour la chanson Le ciel, le soleil et la mer, le chanteur François Deguelt est mort mercredi dans le Var, selon Le Parisien. Il était âgé de 81 ans.

 

Auteur, compositeur et interprète né à Tarbes en 1932, il avait fait ses débuts à l’aube des années 50 dans les cabarets de Montmartre, avant de se faire un nom et d’accompagner Jean Nohain en tournée pour son émission « 36 chandelles ». En 1965, il crée son plus grand succès, Le ciel, le soleil et la mer, mélancolique ballade qui sera le tube de l’été. Parmi ses chansons les plus connues figurent aussi Le bal de la marineMinuit, le vent, la nuit ou Paris, c’est trop loin de la mer.

Également présentateur à la radio et à la télévision, il a participé à deux reprises au concours Eurovision de la chanson pour la Principauté de Monaco, se classant à la troisième place en 1960 et à la deuxième en 1962.

François Deguelt avait participé en 2006 à la tournée « Age tendre et tête de bois », qui a réuni dans un premier Richard Anthony, Franck Alamo, Leni Escudero, Michel Orso et Demis Roussos, avant que Michèle Torr, Marcel Amont, Pierre Groscolas, Annie Cordy, Claude Barzotti et Catherine Lara ne rejoignent l’aventure en 2007 et 2008.

François Deguelt ne se contentait pas de reprendre Le ciel, le soleil et la mer, lors de la tournée. Il était aussi le maître de cérémonie et passait en revue l’histoire des yéyés, invitant le public à des devinettes musicales, entre les prestations de ses collègues. Michel Algay, le producteur de cette tournée à succès a salué auprès de l’AFP un « poète et chanteur populaire qui a laissé une trace indélébile dans la chanson française et coeur du public ».

 

 dans Hommages et coups de gueule !

Ainsi va la vie, l’ami François n’échappant pas à la règle.

Mes souvenirs d’enfant reviennent à la surface quand j’entends cette chanson mythique…

 

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( 18 janvier, 2014 )

Rambo en tutu rose, faisait de la dentelle…

…Et la Belle au Bois Dormant, devenue insomniaque,

Rambo en tutu rose, faisait de la dentelle... dans Entre nous...

jouait de la sulfateuse !

 

Rares étaient les hétéros qui osaient encore se marier.

Rares étaient les hétéros qui osaient l’ouvrir.

Rares étaient les hétéros tout court…

 

Comment en étions-nous arrivés là ?

 

Tout partit de ceux qui se définissaient comme « progressistes ».

Ils avaient des idées plein la tête, fort sympathiques, ma foi, mais ils avaient oublié un détail :

 dans Hommages et coups de gueule !

« la réalité ».

 

Ce mot que beaucoup voulurent ignorer, au sein de la secte du « Y’a qu’à », une des filiales d’un peuple usé par trop de désespoirs et de promesses non tenues.

Ils voulurent l’ignorer, pensant qu’il suffisait de tenir la main d’un handicapé vivant sous le seuil de pauvreté qui pleure devant les caméras, à une heure de grande écoute, pour faire croire qu’on va soulager sa peine…

Qu’il suffisait de serrer dans ses bras un ouvrier (une ouvrière), pour lui faire croire que l’usine dans laquelle il (elle) travaille depuis trente ans ne va pas se délocaliser vers des pays où la main d’œuvre est moins chère, et que d’une vie simple, il (elle) ne passera pas à une vie de misère…

Pour quelques courbes…

 

Qu’il suffisait, pour construire des logements sociaux afin qu’il n’existe plus un SDF, de le vouloir…

Que pour lutter contre la pauvreté, il suffisait de prendre aux riches…

 

Le coq gaulois symbolisait bien ce que nous étions :

des animaux criant très fort lorsqu’ils ont les pieds dans la boue.

On manifestait, on vociférait, on dénonçait la mondialisation, menaçant les vils capitalistes qu’on taxa à 75 %…

Était-il surprenant, objet de tant de haine,

qu’ils prennent leurs jambes à leur cou ?

 

Ne pouvant de la nation guérir les « maux », ils se consacrèrent dès lors aux « mots », abordant des sujets moindres mais qui faisaient grand bruit, aidant à faire oublier le reste…

 

Ils commencèrent à éradiquer de leur dictionnaire perso le terme « différence », comme si cela devait être la définition d’un phénomène inavouable.

Or, la différence, sauf pour quelques connards de fachos, c’est souvent un plus qui vient s’ajouter à la norme, un phénomène qui nous oblige à nous remettre en question au sein d’une société souvent trop formatée.

 

Le « mariage pour tous », pourquoi a-t-il fait tant parler et divisé, alors que l’homosexualité était de plus en plus acceptée parmi nos contemporains (excepté les grenouilles de bénitiers et les nostalgiques des années 40, mais bon…) ?

Que deux personnes qui s’aiment puissent vivre légalement ensemble et qu’on leur foute la paix : tout le monde était d’accord,

 

mais…

 

Il fallait y mettre la manière, et ne pas imposer à plus de 90 % ce simulacre d’humanisme qui n’intéressait que les 10 % d’éventuellement concernés.

Moi qui fait désormais partie des (presque) « vieux qu’ont de l’âge » [cons de l'âge], je reste sur mes bases, celles qui m’ont données naissance :

 

  • le papa
  • la maman
  • l’éventuelle progéniture (à mon époque, y’avait pas de pilule, « ho yeah!!! » Si elle avait existé, j’s'rais point là pour en causer mon colon…)

 

J’ai bien dit « bases », ce qui laisse libre champ pour composer ensuite.

Mes parents ayant divorcé alors que je n’avais pas cinq ans, il est certain que si ma Maman (qui avait toute les raisons du monde pour être dégoûté de l’éternel masculin) avait connu le grand amour avec une femme, cela ne m’aurait pas gêné plus que ça. Il faut dire qu’à cette « époque bénie », quand ton bronzage était permanent

(hé oui, c’était mon cas),

tu étais montré du doigt dans la cour de récré, quand ce n’était pire (!) par les émules d’une société que la « norme accole », ce qui fut pour moi « pire qu’un lavement »

|humour de soignant – on ne se refait pas].

Dès lors qu’on me jette des pierres pour ça ou autre chose, quelle différence ça pouvait faire ?…

 

J’étais donc différent (« hétéro », chacun ayant sa tare) et en avais conscience.

Je me suis très vite assumé, et pour ceux qui cherchaient la cogne, j’ai très vite assommé !

Quelques cinquante ans plus tard, je suis toujours aussi différent, et sur bien d’autres choses encore.

Pourquoi faudrait-il en retirer une quelconque honte ?

Chacun est ce qu’il est, merde, quoi !!!

Tout cela pour dire quoi ?

Et que vient faire Rambo ainsi que la Belle au bois dormant dans mon exposé ?

 

Ha oui : explique-nous le Jiji,

car nous aussi on est un « gros-tinet »

(comme dirait ton poteau Franck 77)

largués…

 

Bon, les mecs, je vous livre ça avec

trois kilos de pomme de terre,

mais barrez-vous : z’allez faire fuir mes lecteurs !!!

Avec vos conneries, j’ai perdu le fil…

 

J’en étais où, moi ?

 

Ha oui :

faut-il ignorer les différences, et légiférer sur le sujet, menaçant qui aurait l’outrecuidance de les mettre en relief, ne serait-ce que par l’observation ?

La nature a créé des éléments (de base, rappelons-le) qui se complètent, voire s’harmonisent.

Ainsi, mâles et femelles virent le jour.

A part quelques exceptions, ils furent les seuls à pouvoir procréer.

Ce n’est pas moi qui l’invente, il suffit d’ouvrir un manuel de science naturelle pour confirmer ce fait qui semble terriblement embarrasser certains progressistes bien-pensants.

 

Ne pouvant nier l’évidence ni brûler les livres (ce qui nous ramènerait à une époque que les moins de 80 berges ne peuvent pas connaître), ils ont trouvé une stratégie qui consiste à instaurer ce que j’apparente à un lavage de cerveau, et ce dès les premières heures de l’école maternelle, s’abritant derrière trois concepts :

 

  • l’égalité
  • la parité
  • le respect de l’autre…

 

C’est un programme qui serait parfait, s’il n’était pas l’arbre qui cache une forêt pas si écologique, pas si pure que cela.

Car il faut savoir lire entre les lignes de ces technocrates, que

notre regretté Coluche définissait

« comme une nouvelle race de fainéants ».

Aveuglés par leur idéologie, ils ont décidé que filles et garçons, c’était « la même chose », et qu’il fallait enfoncer « leur pseudo réalité » dans le crâne des vivants dès le plus jeune âge !

 

Il faudrait peut-être raison garder, l’excès en tout étant un défaut. Faire le distinguo entre une dérive sectaire et une querelle de môme, et ne surtout point créer des hermaphrodites, formatés pour ignorer sur le papier

leur différence physique !!!

 

Le langage des bambins n’est que le reflet de ce qu’ils entendent à la maison, alors avant de les conditionner comme on le fait pour des boîtes de conserves ou pour nos camarades infortunés de la Corée du Nord, commençons déjà à nous intéresser aux géniteurs. S’ils ne sont pas éduqués et que certains d’entre-eux sont (n’ayons pas peur de le dire) complètement cons, comment voulez-vous que la marmaille échappe à la règle ?!?

 

A la base, une femme est une femme, un homme est un homme…

 

A partir de là,

chacun « fait-fait-fait » c’qui lui plait,

mais ce ne sont pas les juges (sauf exactions) qui décident de nos vies, même si sur un autre sujet dramatique d’actualité, ils en sont persuadés…

 

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( 15 janvier, 2014 )

La meilleure réponse à cette putain de quenelle…

C’est Nicolas qui nous en fit cadeau !!!

 

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 Merci mon pote : tu es le digne fils de ton Père…

( 13 janvier, 2014 )

Mon petit Fanfan : pour le démon de minuit, y’a Dédé la Saumure !!!

En plus, il est astreint au secret professionnel,

Mon petit Fanfan : pour le démon de minuit, y'a Dédé la Saumure !!! dans Entre nous...

pas comme la marchande de PQ,

celle qui écrit ses articles sur ce support !!!

 

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La presse a fait un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité, et c’est une donzelle (qui est à l’information ce que ce la marrée noire est à la Bretagne) qui nous dévoile sa vérité…

En fait, l’Élysée, c’était juste pour pécho les gonzesses, un plan cul, quoi !

Il est vrai que quand tu vois ça :

 dans Les facéties de Mésygues

ça donne envie…

 

 

( 9 janvier, 2014 )

Ha c’t'ordi d’enfant de Marie !!!

Cré diou y’a pas à dire, ce PC…

Ha c't'ordi d'enfant de Marie !!! dans Hum... C'que ça m'énerve !!!

GRRRRRRRRRRRR !!!

Il a fait d’moi un vrai martyr !!!

Impossible depuis trois jours d’avoir un moteur de recherche et d’accéder à ma messagerie.

 dans Les facéties de Mésygues

Et comme je suis réputé pour ma patience…

Heureusement, pour les affaires courantes, j’avais le « 4G de mon SIII » (code qu’on peut traduire par : mon mobile qui fait tout, sauf le repassage et cuire les œufs).

Mais je ne pouvais pas écrire d’article et encore moins les illustrer.

Dans le même temps, cette nuit, un de mes congélos

est entré au Père Lachaise…

Bénissant cette année naissante, je me remémorais le terme utilisé par « le Grand Jacques », dans sa chanson « La statue », et évidemment, elle m’a poursuivie toute la nuit !

 

 

A plus…

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