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( 31 octobre, 2013 )

On est heureux, cependant… (jjfc49 tribune libre)

 

On est heureux, cependant... (jjfc49 tribune libre) dans Hommages et coups de gueule !

Oui, les gars, vous n’aviez rien demandé et on vous a volé trois ans de votre vie.

Comme tous nos compatriotes, je suis heureux que vous soyez de retour au pays, au sein de vos familles !

Mais…

Car il y a un « mais » :

vous n’étes que des pions sur un échiquier bien rodé :

 dans Hum... C'que ça m'énerve !!!

celui de ces enfoirés de terroristes !!!

Grâce aux 20 ou 30 millions qu’on (ne) leur a (pas) donné, et la libération de quelques-uns de leurs copains, ils vont pouvoir s’acheter les munitions et alimenter la main d’oeuvre qui leur permettront de s’offrir d’autres occidentaux…

 

Tout cela n’a plus rien à voir avec la religion qui leur sert d’alibi :

 dans jjfc49 :

ce ne sont que de vulgaires truands sans foi ni loi…

Et puisqu’il ont trouvé (comme à chaque fois) des cons pour payer, ils auraient tort de se gratter !!!

( 26 octobre, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (8ème épisode)

Note : celui qui n’a pas lu « l’épisode 7″, il risque de se paumer grave…

Jeanne (5/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

 

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http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr

 

Il faut sauver Jeanne (1ère époque)

 

Dans le foyer de la famille d’Arc, tout n’était pas si simple…

Les tribulations de

 

« Un caractère comme ça, ce n’est plus un inconvénient, c’est un véritable calvaire ! »

Ainsi parlait Jacques d’Arc à Isabelle Romée, son épouse.

 

Isabelle :

« N’a-t-elle pas de qui tenir, notre Jeanne ?

Car c’est bien d’elle que tu parles… »

 

Jacques d’Arc :

« Je ne te conseille pas d’user de ma patience, femme…

Ne m’oblige pas à te rudoyer le fessard ! »

 

Isabelle, après un soupir :

« Voilà bien les « mâles : vouloir tout régler par la violence… En plusieurs siècles de guerres, vous n’avez toujours rien compris, voilà pourquoi elles perdurent, à l’image de celle, interminable, qui nous oppose à l’Anglois… »

 

Jacques d’Arc :

« Tu me fatigues, femelle !

La violence en l’occurrence fut pratiquée par notre enfant à l’égard du fils du forgeron. »

 

Isabelle, ne pouvant dissimuler son sourire :

« Elle a donc fait tourment à ce grand benêt, qui sème la terreur parmi les enfants de la paroisse ?!? »

 

Jacques d’Arc :

« Ça ne me fait pas rire du tout, car notre Jeanne se complaît beaucoup trop à mon goût à se travestir dans des habits de garçon et à en adopter les jeux virils.

Tu verras qu’un jour, l’inquisition lui fera misère rien que pour cela !!! »

 

Isabelle :

« Tu dramatises tout, ce n’est qu’une fillotte de treize ans. »

 

Jacques d’Arc :

« Elle ne le sera pas éternellement.

 dans Les facéties de Mésygues

Si elle continue dans cette voix,

j’ai bien peur qu’elle ne termine pucelle, et que de l’amour elle ne connaisse jamais la flamme !!! »

 

Isabelle :

« Quel rabat-joie !

Et si, dans un élan de mansuétude, tu lui en laissais le temps ?

Où est-elle, au fait ? »

 

Jacques d’Arc :

« Je l’ai envoyée s’occuper des montons, puisqu’elle refuse toujours de s’occuper de « justin ». »

 

Isabelle :

« Comment se fait-il qu’elle redoute tant ce cochon ?!? »

 

 dans Les tribulations de

La petite Jeanne boudait dans son coin, observant les animaux dont elle avait la charge.

Soudain, une sphère lumineuse éclairant tout le ciel se posa non loin d’elle.

Ce phénomène, loin de l’effrayer à l’instar de ses montons, ne fit que renforcer sa foi. Elle se mit à prier.

 

Dans cette sphère, était X57, qui se parla à lui-même :

« Je sens que je vais encore me faire engueuler par le paternel, moi !

Il le savait pourtant bien que je ne suis pas encore au point avec cette téléportation…

Quand il va savoir que j’ai perdu mon kit portable dans la bataille : ça va être la fête à bibi !!! »

 

De quelle bataille parlait-il ?

Bon sang, les Templiers :

on les aurait presque oubliés, ceux-là !!!

Les justes, représentés par Clotaire, avaient eu raison de Landry l’opportuniste et de ses hommes.

 

Clotaire dont la lame se tenait au niveau de la gorge de Landry :

« Je te fais grâce, reprends ton épée : qu’elle soit au service de Dieu, non de ceux qui le parodient ! »

 

Landry s’exécuta, monta sur son cheval et se mit en route, suivi de ses compagnons d’infortune en majorité blessés comme lui.

L’un d’eux, s’adressant à Landry :

« Qu’allons-nous devenir, vaincus par Clotaire et Abandonnés par le Chevalier Jacques de Hasbeen ? »

 

Un autre, se tenant le flanc :

« C’est faire offense à la chevalerie que d’attribuer si noble titre à tel couard !!! Avez-vous vu comme il a fui? »

 

Landry :

« Retournons à Rouen : je plaiderai notre cause auprès de Monseigneur Cauchon ! »

 

Clotaire, les regardant avec pitié :

« De ce jour, nous devenons des fantômes errants… »

 

Thibaut, l’un des compagnons de Clotaire :

« Que racontes-tu mon ami ?!?

Nous sommes, tu le vois, tout ce qu’il y a de bien vivant ! »

 

Clotaire, souriant affectueusement :

« C’était une métaphore, fidèle compagnon… »

 

Thibaut, fronçant les sourcils :

« Que n’es-tu compliqué parfois !

Qu’est-ce donc ? »

 

Clotaire :

« Une façon de dire que nous sommes les derniers à mettre notre épée, au service de la morale et de la justice… »

 

Thibaut, montrant Landry et ses hommes sur leurs montures, dont on ne voyait plus que les ombres :

« …Contrairement à ceux-là, qui se feront les valets de qui possède fortune et pouvoir…

A choisir : mieux vaut être fantôme qu’esclave… »

 

Clotaire :

« Rejoignons céans les envoyés de Dieu ! »

 

 

 

 

Envoyés de Dieu ?

Ils parlaient de Pineau, Jiji, X26, X57 et Merlin, qui, quelques minutes plus tôt s’étaient mis à la poursuite de l’infâme Hasbeen et de son valet…

Mais, que ce passe-t-il plus loin ?!?

 

Dans la forêt habituellement si calme qui menait à Domrémy, deux cavaliers galopant à bride abattue, suivis de très près par un troisième, croisèrent un vieil homme et son fils, alors que les deux chargeaient du bois dans une charrette attelée à un bœuf.

Le vieil homme :

« Vin diou, z’ont le feu au cul ceux là !!! »

 

Le fils :

« Fais-donc gaffe, heu’l’patrenel : v’a du rabiot ! »

 

Effectivement, deux autres passèrent à la vitesse de l’éclair.

Pineau, faisant partie du lot, s’adressa à Jiji en très mauvaise posture :

« Ho : tu t’entraînes pour Médrano ou quoi ?!? »

 

Jiji, après avoir juré comme un charretier,

 dans Les facéties de Mésygues

exécutant une chorégraphie équestre désespérée

dans le but de remonter sur la selle de son cheval :

« Puisque tu veux le savoir, j’en profitais pour faire un recensement sur les plantes vivaces qui poussaient en Lorraine au 15ème…

Une autre question, avant que je ne m’écrase la tronche en terre sainte ?!? »

 

Pineau allait lui donner la main quand deux sphères lumineuses se portèrent au secours de Jiji, le remettant en bonne posture, avant de disparaître vers l’horizon.

Jiji à pineau, après un « ouf »de soulagement :

« Tu me feras penser à faire un gros poutou sur le museau de

 

Brok et Chnok (X26 & 57),

car je suppose que c’étaient eux… »

 

Le fils, ayant observé la scène, se grattant la tête :

« On peut pas dire que ce soit une journée comme les autres ! »

 

Le vieil homme, faisant de même :

« Depuis qu’on a retrouvé ces moines en train de pioncer dans not’ Charrette à matin, dont cet espèce de géant, je ne m’étonne plus de rien, fiston… »

 

Effectivement, quelques heures plus tôt,un psaume assez rustique sortant des cordes vocales du fils du fagotier, avait réveillé une bonne partie de Domrémy sous cette forme mystique assez controversée :

« De Dieu de Dieu !!! »

 

Le Père, embarrassé :

« T’es pas bredin, dit ?!?

Jurer comme ça à deux pas de l’église !!!

Si un des ces fi d’garce heu’d’ l’inquisition nous a entendu, pas besoin d’allumer la cheminée pour se chauffer la couenne c’t’ hiver : vont s’en charger pour nous au frais du comté… »

 

Lui-même poussa un cri lorsque l’immense Julius émergea du tas de bois.

Ce dernier, s’adressant aux deux :

« Où sont les sataniques ?!? »

 

Le vieil homme, aidant les autres moines à s’extraire de la charrette :

« Qu’ek j’en sais, moi ?

Et puis…

Z’êtes vraiment sûrs de vouloir retrouver ceux qui vous ont arrangés comme ça ? »

 

Le fils, narquois :

« Bah, après tout, s’ils veulent connaître le martyr… J’me suis laissé dire qu’y fallait en passer par là pour être canonisé. Tu te rends compte heu’l'Père : si ça s’trouve, on taille la bavette avec des Saints !!!

 

Tandis que le regard de Julius se faisait de plus en plus menaçant, le vieil homme reprit la parole :

« Scusez mon fils, j’ai jamais eu le temps de le terminer… M’enfin, « heureux le fêlé car il laisse passer la lumière », (il cligne de l’œil) comme on dit !

Pour vos « sataniques », j’peux pas vous en dire plus, mais si vous les voyez, faudrait tacher voir à leur rappeler que ma charrette, c’est pas une auberge… »

 

Julius, s’adressant aux autres moines, comme s’il avait eu une révélation :

« Loué soit Seigneur qui guide nos pas ! Nous les retrouverons, c’est une évidence, chez ce mécréant de Duchenot.

Allons pressément !!! »

 

Le vieil homme, observant ces moines douloureux mettant laborieusement un pied devant l’autre :

« Font pitié, quand même !

Avec des religieux comme ça, je ne donne même pas cinq siècles au Royaume de France avant d’être livré définitivement aux païens… »

 

 

Pendant ce temps, chez Duchenot…

 

Isaac, qui fut le premier des ménestrels à émerger de la paille de la grange, s’adressa ainsi à sa troupe :

« Mes amis, réveillez-vous ! Nous devons reprendre la route dès que possible. »

Il regarde alentours

« Où sont donc nos deux tourtereaux ? »

 

Ermeline, une des danseuses de la troupe :

« La mère Duchenot leur a offert une chambre pour la nuitée, en reconnaissance du spectacle féerique que donna « Franck le Magnifique »… »

 

Simon, musicien :

« Jamais, de mémoire d’homme, luth ne fut joué avec telle dextérité, ni textes libertins si brillamment interprétés ! »

 

Isaac :

« Sa chanson « Tirelipimpon sur le chihuahua », j’avoue ne pas en avoir saisi toutes les arcanes… »

 

Ermeline, soupirant :

« Mais son ode  :

« Que je t’aime », j’en frisonne encore !!! »

 

Ida, une autre danseuse, euphorique :

« Quand tu n’te sens plus chatte

Et que tu deviens chienne

Et qu’à l’appel du loup

Tu brises enfin tes chaînes… »

 

Ermeline, reprenant :

« Quand ton premier soupir

Se finit dans un cri

Quand c’est moi qui dit non

Quand c’est toi qui dis oui… »

 

Isaac, s’adressant à son régisseur :

« Mon bon Thomas, peux-tu réveiller ce violeur de cœurs ainsi que sa doulce amie ? »

 

Thomas, le sourire aux lèvres monta l’escalier. La porte était mal fermée, c’est ainsi qu’il entendit la suite…

 

Franck venant de se réveiller

sur de sympathiques coussins :

« J’ai dormi comme un bébé, je me sens aussi reposé que si je m’étais couché à l’heure des poules. Mais quelque chose me dit qu’il n’en n’est rien… »

 

Zorah, essayant de dissimuler son embarras :

« Pourquoi dis-tu cela ? »

 

Franck :

« J’ai quelques souvenirs du spectacle et de la liesse qui s’en suivit.

Puis je me rappelle un baiser

Un baiser pour pour de vrai

Un baiser libertin

Enfin bref un patin

Et autre chose… »

 

Zorah, rougissante :

« Oui, délicieuse chose… »

 

Franck, dubitatif :

« Aurions-nous cédé à la déraison ?!?

(Il se raccroche à son humour)

Si tu devais avoir une brioche au four, faudra qu’on s’organise pour la garde partagée, vu que des années lumières séparent nos deux mondes ! »

 

Zorah, mettant une main sur chaque tempe de Franck :

« Tu dois effacer de ta mémoire notre folle nuit… »

 

Thomas, très déconcerté, s’éloigna de la porte et descendit l’escalier de bois craquant sur la pointe des pieds.

Isaac, se fichant de lui :

« Crache un coup, t’es tout pâle : on dirait que tu fus témoin de sorcellerie, l’ami ! »

 

Ida :

« A propos de sorcellerie, regardez-donc ce qui se passe dehors ! »

 

Jack Hasbeen et Obséquis mordaient la poussière, éjectés de leurs montures par la magie très explosive de Merlin, à la porte de l’auberge.

Merlin à Jack Hasbeen :

« Ici s’arrête ta route, infâme usurpateur !!!

Je ne te laisserai point occire jeune vierge et changer le destin du monde !!! »

 

Jack Hasbeen s’étant relevé l’épée à la main, crachant quelques feuilles qu’il avait dans la bouche :

« Es-tu seul, vieil homme, pour t’opposer à moi ?!? »

 

Obséquius inquiet, s’époussetant en faisant un sourire de faux-cul à Merlin:

« Mon bon Maître, trop d’émotions vous égarent, cet honorable druide peut nous étrier le temps d’un battement de cil : gloire à lui de n’en rien faire ! »

 

Merlin à Obséquius :

« Tes paroles sont celles de la sagesse.

Que fais-tu donc au service de cet inepte (il montre Hasbeen) qui n’a que mépris pour toi ? »

 

Hasbeen dépité, s’accrochant cependant à son épée :

« Bonjour l’angoisse : comme ces psy de supermarché, il va nous la faire

à la Mireille Dumas ! »

 

Merlin, après un soupir :

« Con et Misogyne, en plus ?!? »

 

Obséquius, se lâchant un peu :

« C’est un pléonasme… »

 

Hasbeen, faisant les gros yeux :

« Ne serais-tu pas en train de virer ta cuti ?

Puisque c’est ainsi… »

 

Il lâcha son épée, sortit de sa poche une sorte de télécommande, pressa un doigt dessus et disparu dans le même nuage de poussière qui vit apparaître X26.

Ce dernier, rajustant sa tenue aussi froissée qu’anachronique :

« Ha dites-donc, ça circule aujourd’hui !!!

Je serais bien venu plus tôt, mais j’ai encore du mal avec ce nouveau modèle de téléportation. En plus, j’ai paumé le filston en route…

J’ai croisé un ostrogoth qui m’est passé au raz de la tronche dans le couloir spatio-temporel !

C’était qui ce branque ? »

 

Obséquius, complètement détruit :

« C’était le Chevalier Jacques de Hasbeen…

Mon Maître est parti sans moi !!! »

 

Merlin, mettant sa main sur l’épaule d’Obséquius :

« Cette baudruche ne te méritait pas.

Désormais, tu mettras ta loyauté au service de bonnes causes… »

 

« Quelqu’un peut me dire comment on arrête cet engin ?!? »

Cette voix qui venait d’interrompre la conversation entre Merlin et Obséquius n’était autre que celle de Jiji, qui tirait désespérément sur les reines de son cheval complètement emballé.

 

Les moines venaient juste d’arriver.

Julius, se mit en travers du chemin :

« Halte-là, hérétique !!! »

 

Jiji, tenant miraculeusement sur sa monture et se cachant les yeux :

« Dieu, si t’es dans le coin : ait pitié de ce grand con… »

 

Le choc stoppa net le cheval qui se retrouva à terre. Il se releva, secoua la tête puis repris sa course.

Jiji, lui, avait fait un vol plané qui l’avait envoyé jusque dans l’abreuvoir de l’auberge, lui inspirant ce commentaire spontané :

« Ho pute borgne ça fait froid au cul !!! »

 

Franck 77, sorti de son nid douillet, avait assisté à la scène. Ayant reconnu son copain, il dit :

« Toujours autant la classe Padré… »

 

 

 

 

Suite au prochain épisode…

 

« Seventy Seven » need you :

 

http://franck77.unblog.fr/ 

( 24 octobre, 2013 )

Mamie-Blues…

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Mamie-Blues... dans Entre nous...

 

 dans Ha ! On est bien...

 

 

Même si tu n’es plus là, tu es et seras toujours ma Mamie…

( 21 octobre, 2013 )

Ça ferait effectivement du bien à la France !!!

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Ça ferait effectivement du bien à la France !!!  dans Hommages et coups de gueule !

 

 dans Les facéties de Mésygues

 

 

 

Heu…

 

 

Capito ?!?

( 20 octobre, 2013 )

Georges Descrières, un gentleman qui tire sa révérence à 83 ans…

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Il fut un grand comédien, un grand acteur (je n’ai jamais vu la différence profonde), qui contribua à apporter au théâtre toute sa splendeur !

 

Georges Descrières, un gentleman qui tire sa révérence à 83 ans... dans Chronique du temps qui passe...

La maladie a eu le dessus, mais belle fut sa vie.

 

 dans Hommages et coups de gueule !

De nouveaux rôles l’attendent…

( 17 octobre, 2013 )

Leonarda, ou l’art d’instrumentaliser…

 

Leonarda, ou l'art d'instrumentaliser... dans Entre nous...

« L’affaire Leonarda », en matière de récupération médiatique : c’est un cas d’école.

Comme par hasard, ce dossier arrive juste après le drame de Lampedusa !

Pour reprendre le terme d’un célèbre borgne que je n’ai pas vraiment en affection,

 dans Hommages et coups de gueule !

on diabolise Manuel Valls,

comme si en face il n’y avait que des anges martyrisés, et de l’autre un ministre inhumain, faisant la cour à quelques sombres « bobos fachos »…

Avoir arrêté cette petite alors qu’elle effectuait une sortie scolaire n’était pas très fair-play, mais les associations ne le sont pas non plus. Elles en appellent à la « désobéissance citoyenne » tout en demandant à l’Etat de respecter scrupuleusement la loi…

N’y aurait-il pas comme une légère contradiction ?

Dans le cas précis, sauf éléments nouveaux, la loi n’a pas été transgressée par l’Etat français, même si le procédé est moralement discutable.

En parlant de morale : abordons celle de Reshat Dibrani, le père de Leonarda et réel problème de ce dossier…

 

IMMIGRATION – RTL dresse un portrait peu flatteur du père de la collégienne kosovare expulsée…

RTL a enquêté sur le «profil» du père de Leonarda, Reshat Dibrani, qui vivait à Levier, dans le Doubs. D’après la radio, cet homme âgé de 43 ans a montré «un manque d’implication et de volonté d’intégration» qui, «couplées à la violence», ont pu expliquer les nombreux rejets des demandes de régularisation de cette famille présente sur le sol français depuis 2009.

Il n’aurait pas cherché de travail

Toujours d’après RTL, le père «frappait ses enfants, ce qui lui a valu d’être convoqué par deux fois devant un juge pour enfants en début d’année». Il n’y a pas eu de condamnation car Leonarda et sa sœur Maria «s’étaient alors rétractées».

La radio continue le portrait du père, employant toutefois cette fois le conditionnel: «Il aurait également menacé en avril dernier de faire exploser le centre d’accueil des demandeurs d’asiles où la famille résidait si les policiers venaient à l’expulser». Reshat Dibrani n’aurait par ailleurs jamais réussi «en cinq ans à décrocher la moindre promesse d’embauche», ajoute RTL qui précise en citant le comité de soutien de la famille: «En fait il ne cherchait pas de travail, vivait de petits boulots, d’une aide du conseil général». Un autre proche a lâché à la radio: «Son problème c’est qu’il se croyait encore au Kosovo».

 

C’est dommage pour la petite, mais je ne vois pas pourquoi on ferait un passe-droit pour cette famille qui ne s’est pas désolidarisée de ce triste sire !

( 15 octobre, 2013 )

Heureusement, on a les chiens…

Article découvert ce jour sur le forum de Orange.

Jet sauve un bébé d’une voiture folle

Heureusement, on a les chiens... dans Entre nous... 32315_photo2_0

On ne le dit jamais assez, les sorties de parking sont toujours dangereuses pour les piétons. Jessica l’a appris à ses dépens. Mais elle a eu une chance folle. Celle d’avoir un chien guide pour malvoyants hors du commun.
Alors que Jessica promène son bébé en poussette dans les rues de Manchester en Angleterre, une voiture surgit d’un parking et manque de les écraser tous les deux. Jet, sa chienne d’aveugle, sent le danger et se jette sur la poussette pour l’éloigner de la voiture inconsciente. Jessica, elle, a été touchée et projetée sur le trottoir, mais pas son bébé. Jessica raconte dans le Daily Mirror que « juste avant que je sois percutée, Jet a enlevé son harnais de ma main, et poussé le landau. La poussette a basculé, mais Jacob était hors de danger. Elle a réagi très rapidement. Jet était inquiète pour moi mais, une fois qu’elle a léché mon visage, et a vérifié que j’étais consciente, elle allait mieux ». En face du lieu de l’accident se trouvait un cabinet de vétérinaires. Le docteur Caroline Purnell s’est immédiatement rendue auprès de Jessica, de Jacob et de Jet. Elle raconte que « cela montre à quel point ces chiens sont importants. Jet a prouvé qu’elle faisait passer la sécurité de sa famille avant la sienne ». Très fière de sa chienne, Jessica est néanmoins inquiète pour elle : « Jet est entraînée pour m’aider, mais elle n’est pas préparée à ce genre de choses. Je ne veux pas penser à ce qui aurait pu se passer si elle n’avait pas été là ».

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Les enfants et les chiens ont un secret en commun pour accéder au bonheur : voilà pourquoi ils sont si complices…

 

Le secret ? il passe par une clef.

 

La clef ? un simple mot :

 dans Ha ! On est bien...

« amour »…

( 12 octobre, 2013 )

Lampedusa : lorsque les larmes seront usées…

 

Ils ont donné tout ce qu’ils avaient (et parfois plus encore) à des passeurs sans scrupule, pour fuir l’horreur qu’ils vivent au quotidien dans ce pays qui les a vu naître.

Ils avaient entendu dire que l’Europe était une terre d’accueil. De toute façon, rien ne pouvait être pire que ce qu’ils avaient déjà connu, à part un avenir plus dramatique encore s’ils restaient sur place.

Quelles sont ces nations où les dirigeant inspirent tant de terreur, que leurs sujets leur préfère la mort,

Lampedusa : lorsque les larmes seront usées... dans Entre nous...

dans des tentatives désespérées ?!?

Cette question nous est directement posée depuis des années au large de la Sicile…

http://www.liberation.fr/monde/2013/10/11/nouveau-naufrage-d-immigres-au-large-de-lampedusa-environ-50-morts_938863

 

Le chagrin est sincère aujourd’hui, on organise même des obsèques nationales en Italie, on se sent l’âme généreuse… Mais combien de temps avant de saturer et montrer l’autre face de l’humain, celle qui s’éloigne du politiquement correct ?

Car l’Europe est en crise et les divers gouvernements en déficit.

Voilà pourquoi aucun ne se précipite, dont le nôtre (France) pour venir alléger le fardeau de Lampedusa,

 dans Hommages et coups de gueule !

(Révolte d’immigrés à Lampedusa)

qui est loin d’être un havre de paix !

On ne veut pas se refiler la patate chaude, car on sait ce qui préoccupe les électeurs…

* Nos services de solidarité (en France) sont ultra-déficitaires, les cotisants sont donc mis à contribution en étant de plus en plus mal remboursés. Ils sont agacés par l’assistanat qu’ils trouvent (à tort ou à raison) de plus en plus abusif, d’autant que dans ce domaine, la fraude coûte cher au contribuable.

* Il n’y a déjà pas assez de travail pour les autochtones, dont la mondialisation accélère à « vitesse grand V » la délocalisation de nos entreprises.

En conséquence, point besoin d’être devin pour savoir ce qui va se passer ensuite :

Un parti « comme les autres » mais très « nationaliste » va finir par prendre le pouvoir, porté par un peuple de plus en plus égoïste, à qui on demandera, après avoir lobotomisé sa conscience, de ne pas regarder plus loin que son nombril !

Et la répétition de ces drames, le citoyen lambda la rangera dans un coin de son âme, dans la rubrique « pertes et profits ».

Et pourtant, c’est maintenant qu’il faut intervenir, et directement dans les pays d’où viennent ces pauvres malheureux. En évitant les armes de préférence !

La meilleure façon de traiter le problème de l’immigration à long terme, d’une façon humaniste, passe par un objectif qui devrait être commun à l’Europe et ses alliés : faire en sorte que plus un seul ressortissant n’ait le besoin de quitter son pays natal pour échapper à la mort ou aux brimades.

 

Et que jamais, en tels drames, le temps n’assèche nos yeux…

Ni ne rende nos cœurs trop secs !!!

 

( 10 octobre, 2013 )

10 octobre 1963…

Un corps se sépara d’une âme, mais l’âme ne cessa jamais de chanter.

 

10 octobre 1963... dans Hommages et coups de gueule !

Edith Piaf (19 décembre 1915 – 10 octobre 1963)

 

Chagrin ou coïncidence, le lendemain, on devait déplorer le décès à 74 ans de son grand ami

 dans La musique que j'aime...

Jean Cocteau…

 

Mais tous ceux-là ne meurent jamais vraiment…

( 5 octobre, 2013 )

Un peu de musique pour oublier…

Oublier quelques secondes les guerres, dictatures, la pauvreté et le désespoir qui vient se noyer au large de nos côtes…

 

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Paroles et traduction de « Fragile »

Fragile (Fragile) Sting

If blood will flow when flesh and steel are one
Si le sang s’écoule quand la chair et l’acier ne font qu’un
Drying in the colour of the evening sun
En séchant dans la couleur du crépuscule
Tomorrow’s rain will wash the stains away
La pluie de demain enlèvera toutes les taches
But something in our minds will always stay
Mais une chose restera toujours ancrée en nous
Perhaps this final act was meant
Peut-être cette action finale était faite
To clinch a lifetime’s argument
Pour mettre fin à la dispute de toute une vie
That nothing comes from violence and nothing ever could
Que rien ne nait de la violence et n’en naitra jamais
For all those born beneath an angry star
Pour tout ceux, nés sous une mauvaise étoile
Lest we forget how fragile we are
De peur que nous oublions à quel point nous sommes fragiles

On and on the rain will fall
Tant que la pluie tombera
Like tears from a star like tears from a star
Comme des larmes d’étoiles, comme des larmes d’étoiles
On and on the rain will say
Pour toujours, elle nous rappellera
How fragile we are how fragile we are
A quel point nous sommes fragiles, à quel point nous sommes fragiles

On and on the rain will fall
Encore et encore la pluie
Like tears from a star like tears from a star
Comme des larmes d’étoiles, comme des larmes d’étoiles
On and on the rain will say
Pour toujours, elle nous rappellera
How fragile we are how fragile we are
A quel point nous sommes fragiles, à quel point nous sommes fragiles
How fragile we are how fragile we are
A quel point nous sommes fragiles, à quel point nous sommes fragiles

 

Un peu de musique pour oublier... dans Entre nous...

 

Et oui, tenter d’oublier parfois…

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