( 20 juin, 2013 )

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode)

Jeanne (2/10)

 

la tronche du gazier (franck77)

 

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http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr/

 

« Et oui, chers amis, l’infâme Jack Hasbeen (ennemi juré de Franck 77), et son valet Obséquis, avait été catapultés depuis le 21ème siècle en 1422, atterrissant

aux pieds de « Cauchon »…

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode)  dans Ha ! On est bien...

Pas le restaurant, bande de buses :

 dans Les facéties de Mésygues

je parlais de l’évêque !!!

Pssssss…

Un peu de sérieux, SVP,

cette histoire n’est déjà pas évidente à raconter…

Je vous signale en passant que :

 dans Les tribulations de

je ramasse les copies à la fin de l’épisode !

 

Voici la suite de l’histoire… »

 

Océan Indien au milieu de la tempête, juste avant que Hasbeen et Obséquius ne soient catapultés en 1422.

 

Jiji se tenait à ce qu’il pouvait dans le voilier de son copain Pineau, devenu aussi insubmersible que le Titanic.

Pineau, désespéré, s’exprimait en ces termes :

Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode) dans Ha ! On est bien...

« Et merde ! Dire que j’ai même pas fini de le payer ce rafiot !!! »

 

Jiji :

« Ecoute, ma poule, je t’aiderai à remplir tous les formulaires du monde pour obtenir le remboursement de  ton assurance, mais avant , il y a une étape cruciale à respecter… »

 

Pineau ayant de l’eau jusqu’au cou, ne perdant (comme on le constatera plus tard) jamais le Nord :

« Négocier avec la société de crédit ? »

 

 dans Les facéties de Mésygues

 

« Elle t’as mis sur la paille

Fini les jours de ripaille

Mais elle te laisse tes ficelles de caleçon :

 dans Les tribulations de

Merci « SOCIÉTÉ SOFRINCON » !!! »

 

Jiji :

« Barre toi de mon histoire, publicitaire de mes deux, avant que je ne te fasse une vasectomie au « spécial »  !!!

Tu veux que je te dise, mon brave Pineau ?

La pub, surtout clandestine, c’est vraiment le fléau des temps modernes :

la négation de toute abnégation !«

 

Pineau :

« C’est beau ce que tu dis : ta poésie me transporte.

Cependant et si tu me le permets, on en discutera plus tard, le temps de remettre mon estomac en place.

Si ce n’est celle du crédit : de quelle étape cruciale parlais-tu ? »

 

Jiji :

« Rester en vie, ce serait déjà un bon début… »

Soudain, son visage s’éclaire, il dit :

« Ho la belle bleue !!! »

 

Pineau, inquiet :

« Il ne manquait plus que ça : l’émotion était trop forte, elle a fait vaciller ta raison… »

 

Jiji, trouvant le temps d’être ironique entre deux vagues :

« Heureux celui qui croira sans avoir vu, mais pour toi, on va sous-titrer (hurps) : homme de peu de foi ! »

 

Alors que le voilier avait définitivement coulé, au grand désespoir de Pineau, les deux naufragés furent happés par « la belle bleue », cette sphère lumineuse repérée par Jiji et qui avait surgi de l’océan.

 

Juste avant que les deux ne perdent connaissance, Pineau eut le temps de dire :

« Tu crois qu’on est passé de l’autre côté de la lumière ?!? »

 

Pendant ce temps, Jack Hasbeen vilipendait  Obséquius, les deux emprisonnés au cœur de ce cyclone non encore répertorié dans les archives terrestres.

 

Jack Hasbeen :

« Sombre crétin !!!

Si je t’avais nommé chef du « Département Sécurité » de Schizoland, ce n’était pas pour laisser échapper ce Franck 77 de malheur, et encore moins me faire don de son petit cadeau qui nous a pété à la gueule…

Ton incompétence dépasse de loin ta bêtise ! »

 

Obséquis :

« J’entends bien mon bon Maître, mais je ne vous ai jamais donné le coussin infernal, vous qui me l’avez pris des mains… »

 

Hasbeen, vexé :

« Tais-toi, tu n’es qu’un rat !!! »

 

Obséquius, fronçant les sourcils et crispant les lèvres:

« Un jour… »

 

Hasbeen, menaçant :

« Quoi ?!? »

 

Obséquius, ravalant son orgueil :

« Ho rien, splendeur hiérarchique… »

Puis regardant  en bas :

« Je pense que nous arrivons bientôt, votre Grandeur! »

 

La rencontre.

 

La chute fut assez spectaculaire, semant le désordre dans la garde du convoi d’une personnalité ecclésiastique, qui avait quitté Paris et s’en revenait à Rouen…

 

Le chef des gardes :

« Diablerie !!!

Ces suppôts de Belzébuth ne doivent atteindre Monseigneur Cauchon : faisons rempart de nos corps, Dieu nous donnera force et foi pour  protéger le juste !!! »

 

Cauchon :

« Emparez-vous de ces créatures sans les occire : nous les soumettrons à la question… »

 

 

Hasbeen et obséquius ne firent jamais pire voyage, chacun enchaîné derrière la monture d’un chevalier et fouetté dès qu’ils diminuaient la cadence.

Ils furent jetés au cachot lorsque l’expédition arriva enfin à Rouen.

Dès le lendemain, plusieurs moines firent irruption, avec à leur tête un homme assez inquiétant, dont les yeux exorbités trahissait son fanatisme religieux.

priester

Celui-ci, désignant Hasbeen dit :

« Celui-là doit être le dirigeant : nous commencerons par lui ! »

Hasbeen fut emmené sans ménagement vers la salle de torture.

 

Obséquius, angoissé, se dit à lui-même :

« Pourvu que le Maître ait bien assimilé ce que je lui ai appris durant cette courte nuit, et surtout qu’il résiste à la douleur, sinon nous sommes bons pour le bûcher… »

 

Celui que « le Maître » surnommait avec mépris « le rat » avait, sans avoir l’air d’y toucher, glané entre deux coups de fouet quelques informations durant son trajet douloureux. Ainsi, il savait que l’époque où les deux avaient été catapultés était le mois d’août 1422, en pleine guerre de cent ans dans le fief de l’évêque Cauchon, alors conseiller du roi anglais Henri V, rival de Charles VI, roi de France complètement fou dont la démence lui ôtait toute crédibilité auprès des princes.

Les deux étaient destinés à mourir cette même année, changeant la donne de l’ascension de Cauchon, qui bientôt se verrait privé de protection…

Cette époque, Obséquis la connaissait pour avoir été obligé, suite à une punition, d’en faire un exposé écrit à son professeur, lorsqu’il était au lycée.

S’il avait pu se douter qu’un jour cette punition serait la clé de sa sauvegarde…

 

Lorsque Hasbeen fut ramené au cachot, les moines le déposèrent au plus vite à terre sans lui remettre ses chaînes et quittèrent l’endroit, effrayés, le laissant presque inanimé à terre.

 

Obséquis, se risquant à une question :

« Comment allez-vous mon bon Maître ? »

 

Lui :

« Sachant que ces tarés m’ont mis les brodequins, je pense que pour le Marathon de New-York, il va me falloir une légère remise à niveau.

Sinon, ça biche…

Quand je pourrai de nouveau arquer, rien que pour m’avoir posé cette question subtile :

rappelle-moi de t’en mettre une !!! »

 

Cauchon, assisté de deux autres responsables ecclésiastiques, attendait le résultat de la question dont le Père Maroilles devait se faire l’écho, dans la salle de réunion.

 

Maroilles :

« Cet hérétique, malgré les supplices divins, n’accepta de parler que dans le cadre de la confession ! »

 

Cauchon :

« Que ne le fîtes-vous en l’occurrence ?!? »

 

Maroilles :

« La chose fut accomplie céans si l’énergumène n’en décida pas autrement. Il exigea, malgré les tortures de notre zélé Frère Julius, de ne se confier qu’à votre excellence. »

 

Cauchon :

« Soit : que l’on fasse mander ce réfractaire au confessionnal de la chapelle ! »

 

Lorsque les moines entèrent de nouveau dans le cachot, Hasbeen s’adressa à Obséquius, arborant un rictus sadique :

« Je crois que nous avons de la visite. En fait, je n’étais qu’un amuse-gueules, tu vas leur servir de plat de résistance, hum-hum : à la tienne, mon cher ! »

 

 

Le Frère Julius, désignant Hasbeen :

« Saisissez celui-là ! »

 

Hasbeen :

« Ha ben non, quoi, J’ai déjà donné !!! »

Désignant Obséquius :

« Et pourquoi pas lui ?!? »

 

Julius :

« Si tu veux vivre, ne pose pas de questions… »

 

Obséquius :

« Dire que toute ma vie j’ai rêvé d’être chef.

Si insignifiante soit mon existence,bien m’en prit de n’être que leur ombre, ne serait-ce que pour la conserver ! »

 

Cauchon ayant accepté la requête de Hasbeen,

les deux se retrouvèrent dans le confessionnal…

 

Nous saurons ce qu’il s’y est dit au prochain épisode,

où nous retrouverons Franck 77, Zorah, ainsi que Jiji et Pineau, qui vont enfin voir le visage de X26 & 57, leurs sauveurs…

 

 

« Seventy Seven » need you :

 

http://franck77.unblog.fr/ 

 

12 Commentaires à “ Les tribulations de « Seventy Seven », un Franck pas com’y voudraient… (5ème épisode) ” »

  1. FANETTE dit :

    Bonjour JJ
    comment ça va bien ???? Je vois que ta source d’inspiration (pas Franck) mais ses bourreaux sont devenus célèbres :lol: je me demande ou tu vas chercher tout ça toi, mdr
    belle journée
    bisous

    • Bonjour FANETTE,
      :lol: Je suis possédé par la 4ème dimension !!! :P

      Je crois que j’avais ça en moi, mais pas le temps ni l’outil pour le relayer. Puis est arrivé cet ordinateur que ma Gigi m’a offert en 2006, et la découverte d’un monde virtuel, via les forums et blog, où j’ai croisé pour mon plus grand bonheur quelqu’un qui avait plus de folie et de de bagage que moi : Franck 77 !!!
      Sans le savoir, il a déverrouillé quelque chose qui m’a complètement libéré, comme le champagne jaillissant d’une bouteille dont on aurait fait sauter le bouchon.
      Et crois-moi, on s’est fait de sacrés délires sur son blog !!!
      « L’épisode 6″ est déjà en cours d’écriture, il n’engendrera pas la mélancolie… ;)
      Je n’abandonne pas pour autant cette « 39ème/E » qui, quand je l’aurai diffusée sera « très-très-très-………(5 minutes plus tard)…………-très longue » !!!

      Hélène, bien sûr, est à l’origine du second déverrouillage : celui qui m’a permis de démarrer ma saga familiale…

      On fait de belles rencontre sur les blogs, quand j’y pense !!!

      Grrrrrrrrrrrrros Bisous,

      Jean-Jacques.

  2. jcn54 dit :

    Un régal ce texte !
    Merci JJ…
    Bonne journée à toi.

    Dernière publication sur Jean Claude's news : Un ange parmi les anges

  3. binicaise dit :

    L’imagination sur des faits réels et voilà le résultat pour moi il y aurait eu 3 lignes …..c’est cela le talent, je pense être meilleure avec un appareil photo…
    Bonne journée bises Jacqueline

    Dernière publication sur Binicaise : Blog en pause pour une durée indéterminée.

    • Bonjour Jacqueline,

      Merci pour le compliment, mais je pense que tu fais preuve de modestie, car j’ai lu parfois des textes de ta part qui méritaient le détour !!! :P

      Ton appareil photo nous enchante encore et toujours, nous livrant quelques œuvres d’art…

      Bisous,

      Jean-Jacques.

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