Pour Phillipe : pas facile de poser une question,
quand Jacquot était dans les coin…
Et si Olivier était en renfort : autant dire que c’était « Mission impossible » !!!
Et cet historique revisité de Montluçon : un chef d’oeuvre qui vaut le détour :
A plus…
Pour arriver à faire rire dans les chaumières après ce qui s’est passé : bon courage mon poteau !!!
Oui ben, on va y aller en douceur : envoie la sauce, Coco !
Parole de J’ Suis Dans La Dèche:
Le ciel est bas, morne, insipide.
Et rien ne brille au firmament.
Sur le boulevard, d’un pas rapide,
Les gens passent indifférents.
Et moi, je vais la tête vide,
Tremblant de froid,
Les membres lourds,
Courbant le dos, le front livide ;
Et mon coeur frappe
A grands coups sourds.
{Refrain}
J’suis dans la dèche.
Je n’en peux plus.
J’voudrais dormir.
J’ai même plus de crèche.
J’ai l’coeur tout vide,
Les mains toutes rêches
J’suis dans la dèche.
Je n’en peux plus.
J’ose pas rester dans les lumières :
Les gens me regardent d’un air curieux.
Et dans le brouillard, les réverbères
Rigolent de tous leurs petits yeux.
Faut l’habitude de la mistoufle.
Ça s’apprend pas comme ça,
D’un coup.
J’ai peur du bruit, du vent qui souffle.
J’ai peur des hommes.
J’ai peur de tout.
{Au refrain}
J’m'arrête un peu, les jambes lourdes.
Un homme approche.
Comme il fait noir,
J’ose tendre la main.
Ah, c’que je suis gourde :
Il m’prend pour une fille de trottoir.
Et dans la nuit, je pars maudite,
Sans savoir où mènent mes pas.
La rage au coeur, je vais plus vite.
Tiens, d’l'eau qui coule là, tout en bas.
Elle clapote,
Tout doux, tout doux.
Ça cogne là dans ma pauvre caboche :
Hop !
Dans la flotte !
Qu’est-ce que ça fout ?
Morandini vient de m’annoncer plusieurs tentatives de suicide à la lecture des premières lignes de ton article. Tu peux essayer de faire un effort pour rétablir la situation ma vieille ?!?
Heu… J’ai retrouvé ça dans mes archives :
Avec ça, on est sauvé !!!
Quand t’as pas de bol ni d’inspiration…
Je peux te causer en privé, le Jiji ?
C’est pas parce que je dis des conneries parfois, surtout après m’être bourré la gueule, qu’il faut m’écouter à la lettre…
Pas dans la merde le Jiji :
trouver le moyen de faire rigoler, vue la conjoncture…
A plus…
Bonsoir,je suis un ami de Alain,il est décédé chez lui il y a quelque jours, les pompiers l’on retrouvé sans vie ce soir.
La nouvelle vient de tomber, et le deuil se fait de nouveau sur nos blogs…
http://www.youtube.com/watch?v=haseluAw20M
Nous étions tous à nous inquiéter, et nous avions hélas raison…
En très peu de temps, la faucheuse est venue nous enlever deux amis « virtuels »,
comme si elle en était jalouse !!!
Nous n’étions pas des proches dans la réalité, mais le virtuel m’avait attaché à cet être qui savait faire des commentaires (souvent brefs) sans concession, ce qui le rendait encore plus attachant. Mon cœur l’avait répertorié dans la case des « copains ».
Comme dans la chanson du Grand Georges, décrivant ce bateau qui n’était pas « le radeau de la méduse », il est à ce jour celui qui manque à bord et dont jamais le trou dans l’eau ne se refermera…
Mais qu’on la déteste cette mort quand elle nous arrache ceux qu’on aime !!!
Ce dernier sujet sur le sommeil,
était-ce une prémonition ? Te doutais-tu dans ton inconscient que ta prochaine nuit serait éternelle ?!?
Dire que tu fus l’un des premiers à répondre à mes questions concernant « Isa-Belle », dont le silence également m’inquiétait !
Elle a dû te tendre cette main plaine d’amour quand ton âme s’est séparée de ton corps, et que tu t’es retrouvé sans rien comprendre de l’autre côté du miroir…
Je te dis à bien plus tard (on fait ce qu’on peut pour retarder l’échéance !), nous sommes quelques-uns à espérer continuer « le chemin » pour avoir un max des choses à de raconter quand on te retrouvera là-haut…
Que la paix soit sur toi, ami !!!
Les temps devenaient modernes.
Mais qu’est-ce que la modernité :
ça ?!?
Ou encore :
ça ?!?
Au nom de la crise, devons-nous accepter de garantir notre « minimum vital » au détriment de plus malheureux que nous en d’autres terres,
celles qui engloutissent nos scrupules sous les gravas de notre indifférence, comme ici au Bangladesh ?…
On aura beau vouloir faire toutes les révolutions du monde, on en reviendra toujours au rapport de force existant entre celui qui a quelque chose à vendre et celui qui a quelque chose à acheter.
Malgré toutes les idéologies, on en revient toujours là… Peut-être est- pour cela qu’ »ils » deviennent de plus en plus fous !!!
A plus…
Il faudrait juste éviter de « Bisser » !
Paris « mai-mai » est devenu Paris « Mémé » !
Méfions-nous cependant, car en terme général, au cas où vous ne seriez pas au courant : l’histoire n’est qu’un éternel recommencement.
Il n’y a que les techniques qui changent…
Et depuis toujours, du moins à l’époque du vinyle avant l’ère du numérique, on répète cet éternel refrain :
Dis-moi Riton, de tu là où tu es,
te tiens-tu les cotes, ou bien essuies-tu une larme
en regardant ce que les Hommes sont devenus ?
Jadis, il fallait aller au cirque
pour voir des clowns.
Qu’il ont pu enchanter mon enfance, ceux-là !
Mais le temps a passé depuis…
Je n’ai rien vu venir : particulièrement
cette angoissante mutation !
Les clowns étaient devenus tristes ou agressifs, hantés par les fantômes de ces cirques qui mettent tous la clef sous la porte, les uns après les autres.
Logique : les enfants les avaient abonnés,
scotchés à leur écran sans âme, les livrant à un monde virtuel, une concurrence déloyale en somme…
Plus besoin d’entreposer la mémoire dans un cerveau humain, puisqu’on pouvait le faire sur clef USB, carte SD et disques durs.
Ainsi, plus l’informatique augmentait sa mémoire, plus elle diminuait celle de l’Homme !
Ce qui faisait la richesse de notre passé, c’est qu’on l’avait étudié avant de l’interpréter.
Notre présent, pour qui a connu le passé sans écran, est devenu dramatique. Car la génération du clic l’interprète sans souvent n’en connaître rien : que du pain bénit pour les révisionnistes de tout poil !!!
Qui me connait sait à quel point je vénère (pas dans le sens « d’énerver » comme disent les Djeun’s) la musique classique,
et lorsqu’on assimile Wolfgang Amadeus à ça :
on l’assassine une deuxième fois !!!
Beaucoup, en parlant d’un des plus grands compositeurs de tous les temps, ne verrons qu’en lui une insignifiante rock-star formatée pour les ménagère de moins de 50 berges…
Or, Mozart, c’était ça :
Si le procédé que je dénonce ne dépassait pas la sphère musicale, ce ne serait pas grave.
Hélas…
Certains façonnent leur vérité par le mensonge !
A défaut, ils « minimisent » des dossiers qui les gênent, tels ces chambres de l’horreur qui ne seraient
« qu’un détail de l’histoire » !!!
Ils vont jusqu’à demander une minute de silence pour les soldat nazis qui, à leur yeux était des victimes !!!
Mais à part cela,
Le FN « light » est présenté tel un parti « comme les autres », même si ses enfants ont
de curieuses fréquentations…
Qu’il est pratique de vendre un futur à une jeunesse qu’on lobotomise afin
qu’elle évite de regarder en arrière !
En ce XXIème siècle qui a déjà treize ans, le cirque est désormais dans la rue.
On y trouve des gens,
tels Mélanchon,
qui sont au demeurant très sympathiques, car rigolos lorsqu’ils passent chez le VRP de la pensée de gauche, à savoir Ruquier.
Ne fais pas l’innocent ma vieille !!!
En plus, ce jour-là, tu n’avais dans le public que des sympathisants de Jean-Luc.
Pas grave, au moins on sait où passe notre redevance, ce qui te permet d’avoir plus de trois heures de direct, et aux journalistes (80% de gauche) de poser leurs questions bien orientées dans leurs chroniques.
Ho, je ne t’en veux pas puisque je regarde tes émissions : mais je constate !
Enfin bref…
Une fois dans la rue, ne grattez pas le maquillage du clown sympa, vous risqueriez de libérer en lui un esprit errant qui fredonne
« Staline »…
20 millions de morts, pour celui qui est le copain de Castro et de (feu) Chavez, c’est une promenade de santé, dans la conception qu’il a d’un dirigeant !!!
Le communisme s’est cassé la gueule avec le mur de la honte, et le Front Populaire n’est plus qu’un doux souvenir, dans la mesure où les seules usines qui ne licencient pas en France sont celles où le salarié accepte la flexibilité…
Ce rêve rouge et rose s’est envolé avec la mondialisation !
Ne pas tout accepter et le faire savoir, certes, mais que de rêve de violence chez certains citoyens, particulièrement quand l’archet d’un syndicalisme dépassé
glisse trop à gauche, souhaitant faire couler un sang « impur » abreuvant leurs sillons…
Les extrêmes attirent ?
les extrêmes s’attirent ?
Les extrêmes satyres ?!?
(T’as eu raison de mettre un casque après avoir chanté cette œuvre majuscule, qui a de quoi rendre pas mal d’hétéros « frigides », pour les homos, c’est déjà fait !)
Les extrêmes satires ?
Ho, plus besoin de faire de caricature,
surtout quand le modèle de loin la dépasse !!!
Ce modèle (n’est-ce pas Christiane ?) qui impose « sa » vision de l’histoire de France aux élèves, en faisant de même concernant les structures familiales en place depuis des millénaires…
Tout ça pourquoi ?
Tout ça pour ça ?
O.K. Mais ils n’étaient pas de la jaquette : argument rejeté…
Comme je disais, avant de parler en bien ou en mal du passé : il est indispensable de savoir de quoi on parle, donc, de l’étudier.
M’enfin, si ça avait été le cas : sûrement que Marie aurait eu beaucoup moins d’emmerdes, et si ma tante en avait, on l’aurait appelée « mon oncle » !
Et puis flûte et reflûte :
aimons-nous les uns les autres, passons à un autre sujet
et qui vivra verra : dans la joie et la bonne humeur,
malgré nos différences…
A plus !!!
http://collectifpourleretourdefranck77.unblog.fr/
La belle alien
« Ha, on me la recopiera, celle-là…
Non mais regarde-moi ça, ma barque est bonne pour le Père Lachaise !
La prochaine fois, je leur offre un GPS aux martiens, ou alors des cours de pilotage !!! »
Ainsi parlait Franck 77…
Il essayait de rejoindre à la nage une île qu’il avait repéré au loin, remorquant le seul passager inanimé de l’embarcation qui lui était tombée sur la calebasse.
Arrivant enfin sur la plage, Franck ouvrit la combinaison de l’inconnu, qui en fait se révéla être « une » inconnue, ce qui lui fit dire en la ranimant :
« Vin diou la belle alien !!! »
Pendant ce temps, au fond de ce même océan,
un vaisseau sous marin en scrutait les abysses. Il était occupé par X26 et X57 (car c’étaient eux) qui, pour ne pas changer s’engueulaient.
X26 :
« Est-ce de ma faute, fiston, si Zorah n’a pas eu le temps de sauter dans le vaisseau de secours, et que n’en faisant à sa tête, elle a refusé de mettre son gilet de sauvetage, tout cela parce que la couleur n’allait pas à son teint ?!? »
X57 :
« L’autorité dans notre vaisseau, c’est toi !
Il fallait l’obliger !!! »
X26 :
« parce que tu crois qu’elle m’aurait écoutée ?!?
Je te signale de c’est à la suite d’une de ces conneries qu’on a perdu la navette !
Quand il va falloir que j’annonce tout ça à son oncle…
En attendant, continuons nos recherches : nous ne pouvons laisser notre matériel en
n’importe quelle main, particulièrement de ces humains si autodestructeurs !
Bouder ne changera rien au problème… »
A la surface, Franck 77 essayait de consoler Zorah (puisque c’était elle),
lui tendant une épaule fraternelle (enfin…).
Franck :
« O.K., c’est pas la joie, mais il faut positiver…
Ils n’auront plus jamais mal aux dents ! »
L’océan qui semblait dormir se réveilla soudain très violemment.
Franck 77 :
« C’est quoi ce boxon ?!? »
Zorah, retrouvant le sourire :
« Ils ont survécu et vont bientôt réapparaître !!! »
Franck 77 :
«Bien ! Mais tes copains ne se reposent jamais, dis ?
Et regarde le ciel : c’est quoi encore ce bins ?!? »
Zorah :
« Ho non, méga délire : ils ont déverrouillé le convecteur spatio-temporel !!! »
Franck 77 :
« Heu… Tu peux sous-titrer ma belle ?!? »
Zorah :
« Tu ne vas pas tarder à comprendre… »
A suivre…