Les choses étant ce qu’elles sont…

Ce soir, petit break avec Gigi, tranquille à la maison,

et demain : on reprend les choses sérieuses…

Bon réveillon et bonne année à tous !!!

Donc, les affaires reprennent, dans la joie

et la bonne humeur !!!

Le monde est rempli de ces obsessionnels qui n’ont de cesse que de vous pourrir la vie. Ils utilisent des techniques de plus en plus sophistiquées, qui leur permettent, via internet, d’assouvir leurs délires pervers.

D’autres sont tout simplement mercantiles, essayant de nous délester de nos excédents bancaires…

Il paraît qu’il faut soigner les premiers et pardonner aux autres !

T’as raison, oui !!!

Hein, qu’est-ce que c’est ?

Ha : tu es là, ma douce Fée ?!?

Ho je sais, tu me fais les gros yeux !

Désolé, mais j’en ai marre de tendre la joue gauche…

Le pardon, tu sais ce que j’en pense, et pour ceux qui ont le caberlot en friche et viennent me « ièche » dans mes bottes,

J’ai mon ordonnance,

Sommaire mais efficace !!!

Aux quatre coins d’Unblog façon puzzle je vais te les envoyer ces minus, sous l’oeil bienveillant

de mes trois anges gardiens intérimaires…

Ils m’ont aidés à passer par la fenêtre,

avec des techniques un peu spéciales,

puisque la porte était piégée…

Mes deux « titulaires », je les ai envoyées en vacance (un peu par ruse, j’en conviens !), le temps de dire quelques insanités, juste histoire de me défouler.

Faut dire qu’elles ont du taf avec un paroissien comme mézigues…

Pffff… Faites pas cette tête-là : je reconnais !

Ha, dis-donc, si on fait ces tronches-là chez Dieu le Père : ça donne vraiment envie de retarder l’échéance, voire devenir immortel !!!

Bon, c’est pas le tout, mais j’ai encore une palanquée de lignes à écrire pour terminer cette 39ème/E que j’aimerais bien sortir pour le 31 décembre…

Allez « go » : on y retourne !!!

Mais je sais nager…

Pour m’éliminer, faut être plus coriace !

A bon entendeur…

Obligé d’utiliser des ruses de Sioux pour déposer un sujet sur mon espace, tout ça parce que de sombres connards essaient d’entrer dans ma « bécane » : quelle chienlit !!!

Le temps de régler quelques détails techniques et de faire une petite bafouille à unblog pour demander ce que ça veut dire, je mets le blog en « semi » pause.

Veuillez excuser cet arrêt, indépendant de ma volonté !!!

Je ne parle pas d’une de celles qui sont de mon sang mais ne sont plus rien à mon cœur…

Non : je m’adresse à celle qui n’étant pas de mon sang a apprivoisé mon cœur, quand ce dernier n’était que déceptions, haines et désespoirs.

Aujourd’hui, elle a de sérieuses raisons

d’être en colère !

Et pourtant, sa nature aussi belle que son regard, reflet de cette âme plus pure que le diamant, reprend le dessus : celui de l’amour de l’autre et de l’espoir d’un monde où « lâcheté », « cupidité », « méchanceté » (et ne parlons pas de le bêtise !), auraient disparues…

Pour laisser place à ceci :

Paroles et traduction de « What A Wonderful World »

What A Wonderful World (Quel Monde Merveilleux)

I see trees of green
J’aperçois des arbres verts

Red roses too
Des roses rouges également

I see them bloom
Je les vois s’épanouir

For me and you
Pour toi et moi

And I think to myself
Et je me dis tout bas

What a wonderful world
Quel monde merveilleux

I see skies of blue
Je vois des cieux bleus

And clouds of white
Et de blancs nuages

The bright blessed day
L’éclatant jour béni

The dark sacred night
La sombre nuit sacrée

And I think to myself
Et je me dis tout bas

What a wonderful world
Quel monde merveilleux

The colours of the rainbow
Les couleurs de l’arc-en-ciel

So pretty in the sky
Si jolies dans le ciel

Are also on the faces
Sont aussi sur les visages

Of people going by
Des passants

I see friends shaking hands
Je vois des amis se serrer la main

Saying « How do you do ? »
Se dire « comment vas-tu »

They’re really saying « I love you »
En réalité ils se disent « je t’aime »

I hear babies cry
J’entends des bébés pleurer

I watch them grow
Je les vois grandir

They’ll learn much more
Ils apprendront bien plus

Than I’ll ever know
Que je n’en saurai jamais

And I think to myself
Et je me dis tout bas

What a wonderful world
Quel monde merveilleux

A toi qui te reconnaîtra, je t’envoie ceci…

(En tout bien tout honneur, bien sûr!)

Demain sera un autre jour…

Et oui mes amis, la fin du monde, ce n’est pas si simple que ça !

On ne peut en disposer à la guise de deux ou trois fantasmes.

Je vais vous expliquer…

Tout passe par le Soleil, cet astre qui régit nos planètes ainsi que le système qui tourne autour !

Il a une durée de vie qui est effectivement limitée, mais il faudra encore attendre cinq milliards d’années avant la fin du parcours, ce qui nous laisse une marge !

Et voilà comment, le lendemain d’une apocalypse annoncée :

on passe pour un con…

Mais, ne désespérez pas, vous qui avez besoin de sensations fortes, entre deux jeux aussi débiles que violents, quand ils ne sont pas

carrément pervers,

il se trouvera bien un de ces intégristes de mes deux…

Tu veux dire « de mes quatre » ?!?

Heu… Chez nous c’est deux !

Enfin, qu’importe : il se trouvera bien un de ces connards pour faire plaisir à quelques fêlés, qui n’arrivent pas à bouger leur cul du canapé, les yeux rougis par l’écran de leurs portables posés sur leurs genoux…

(Père Gilbert)

Jiji, mon poteau, n’oublie pas ce qu’a dit le Seigneur :

« Heureux le fêlé, car il laisse passer la lumière ! »

Content de te voir « Padré, mais en parlant de lumière, j’aimerais bien qu’on parle d’une autre

que celle-là !!!

Père Gilbert :

Ne perds pas ta foi, mon fils :

La lumière, ça peut être aussi celle-là…

« Myself » :

En attendant, serait-ce un effet de leur bonté de nous lâcher les baskets, et nous laisser continuer notre route,

notre quotidien…

A plus…

On va faire une teuf avec des copains « chébrans »

Alors, bonne dernière soirée, les amis !!!

Il l’a échappée belle notre Jiji !

Enfin surtout sa 39ème /E qui a été effacée sur son brouillon…

Dites, les mecs, vous n’avez pas l’impression de vous taper l’incruste dans mon blog, là ?!?

On peut savoir ce que vous foutez là alors que j’essaie d’expliquer ce qui s’est passé ?

Nous sommes des missionnaires, envoyés par la fée bienfaitrice de ce blog…

Ha, O.K. !

Faites-vous discrets les amis, si c’est pas trop vous demander !

Donc, j’ai failli perdre le fruit de deux mois de travail, qui s’est dilapidé en une fraction de secondes sur le brouillon d’unblog.

Oui mais voilà :  j’avais sauvegardé le tout sur le traitement de texte interne de mon ordi :

Bisque bisque !!!

Jacqueline m’avait bien prévenu, me déconseillant de travailler sur ce fichu brouillon quand les textes sont assez longs.

Zaz, elle, m’avait bien dit de me méfier d’un excès de ponctuation qui ne plait pas toujours à Mme Unblog.

Nous demander de respecter ce paramètre, ce serait comme préparer un plat sans épices, respirer un air sans le parfum des fleurs, boire un vin sans alcool, humer depuis la plage les vagues d’un océan sans l’iode, essence de son âme… Enfin devenir raisonnable et renter dans la file d’une vie où le stérile se conjugue à la raison , cette antichambre de la mort !!!

Je reste persuadé que l’on doit toujours écouter les gens d’expé…

Heu…

Que se passe-il ?

Vous me le dites si je vous dérange !!!

Ha non : « X26″ et « X57″,

vous êtes sympas, mais le sujet d’aujourd’hui ne vous concerne pas !

Alors on fait comme dans l’infanterie : on se tire ailleurs !!!

Bonjour l’accueil, le Jiji…

Bon ben : topet, et n’oublie pas de nous envoyer le scénario pour notre prochaine intervention !

C’est ça, « topet ».

Z’êtes bien gentils, mais avant, j’ai ma 39ème/E à rédiger, moi,

Ensuite, nous tourneront la page…

Enfin une autre page…

A plus les copains !!!

Ils étaient incontournables à partir de 1946.

Ils ont chanté Prévert, Kosma, Gainsbourg (un jeune compositeur qui débutait)

Seulement voilà, le temps passe et doit faire son oeuvre : c’est la loi de la nature !

Ainsi, Georges Bellec (1918-2012), à gauche sur la photo, nous a quitté…

Il ne reste plus que

Paul Tourenne (à droite), né en 1923,

témoin de cette période d’après-guerre.

Toute une époque, et qui ne pense pas à cette chanson au moment du petit déjeuner ou goûter ?

Une bise à tous nos chers disparus que tu ne manqueras pas de croiser !!!

Un blogueur :

« ça improvise, ça s’adapte, ça domine… »

Alors soldat Jiji, au lieu de me casser les burnes avec ton texte disparu :

tu y retournes et tu me leur ponds une de ces proses qui va « te me les scotcher sur place » : 

« exécution !!! »

« Bien chef… »

« On peut savoir ce que tu nous fais, dans cette posture qui consiste à imiter les humains dans ce qu’ils ont de plus ridicule : c’est à dire « le rire », cette pitoyable compensation des êtres faibles ?!? »

Ainsi parlait « X26″, un être interstellaire « pas franchement baisant », à son stagiaire qui se poilait en regardant sur son écran de contrôle des archives humaines, depuis le vaisseau qui les avaient amené vers la Terre depuis Andromède.

X57 :

« Il serait dommage d’effacer ces humains de la carte de l’univers, avant d’avoir eu le temps d’étudier la raison qui les pousse à cette recherche du « bonheur » dans leurs sociétés imparfaites.

Ecoute ce que dit  l’hologramme « #Devos# » concernant le rire et les primitifs… »

X26 :

« Danger que tout cela !!!

Je suis venu réparer le mal que j’ai fait il y a presque cinq milliards d’années, suite à une fausse manoeuvre de ma part, alors que j’étais moi-même pilote débutant. »

X57 :

« Tiens-donc ! Et que c’était-il passé ? »

X26 :

« Lors d’un vol de routine, j’ai heurté par mégarde un astéroïde qui est venu s’écraser en plusieurs morceaux sur une planète en formation.

J’ai réussi à sauver ma vie en me réfugiant dans le vaisseau de secours, mais le reste de l’équipage a été pulvérisé dans le choc, se mêlant aux débris qui terminèrent leur course sur cette planète dont une partie s’est détachée, formant plus tard un satellite que l’on nomma « Lune », qui régla marées et saisons sur ce que l’on devait appeler « Terre » .

Et c’est là que mon enfer commença, car j’avais cloné bien involontairement les nôtres en cet endroit inconnu, d’où une première bactérie pris naissance avant de se scinder en deux, cette même qui se multiplia à l’infini !!!

La vie, dès lors, proliféra dans l’eau, donnant d’étranges créatures qui finirent par en sortir et devinrent immenses.

Nous ne pouvions les garder en l’état, car trop destructeurs… »

X57 :

« Ha ! Je comprends mieux maintenant…

C’est toi qui a envoyé ce gros météorite pour plonger la « Planète Bleue » dans la période glaciaire,

afin d’éliminer en masse tous ces « petits pépères » si encombrants ?!? »

X26 :

« Le comité du Grand Conseil en donnant son aval s’est planté, car nous avons éliminé les animaux de la surface sans prendre en compte les petits rongeurs : des mammifères qui vivaient  sous la terre et n’attendaient qu’une opportunité que nous leur avons servie sur un plateau : celle de sortir de leurs terriers pour pouvoir entamer

le processus irréversible de leur évolution !!!

Depuis, ce ne fut que désolations, brimades, destructions, au nom de leurs coutumes et religions.

Mais ?…

Je ne vois pas bien ce qui te fait sourire, X57 ! »

X57 :

« Ils se sont inventé un « Dieu créateur », donc, si je m’en réfère à ce que tu m’as dit :

tu n’es autre que « Dieu », leur Dieu !!! »

X26 :

« Ne plaisante pas avec ça ! Ces humains ne peuvent imaginer que leur conception n’est qu’un regrettable accident de parcours, car ils ont toujours eu besoin d’un être suprême pour s’abriter derrière … »

X57 :

« Apparemment, ça leur porte bonheur, car nos deux tirs de 2003 n’ont fait que frôler la Grande Bleue et sa Lune  ! »

X26 :

« Que veux-tu, il faut bien qu’il reste au moins quelque chose à cette population primitive : ce qu’ils appellent « la chance »… »

X57 :

« Je ne crois pas que ça s’arrête là, car si imparfaits soient-ils, ils ont un grand attachement à plus primitifs qu’eux,

Des animaux qu’ils prennent en affection, en faisant leurs compagnons, brisant ainsi bien des solitudes… »

X26 :

« Me faudrait-il les plaindre ou les admirer ?!?

Tu oublies ce qu’ils ont fait aux notres

après l’accident de Roswell !!! »

X57 :

« Et toi, tu oublies que cette mission était un repérage pour mieux atomiser la race humaine et qu’ils ne croyaient pas à la vie extraterrestre, comme nous ne croyons pas en Dieu… »

X26 :

« Balivernes que tout cela !!!

Quoi qu’il en soit, ils n’en n’ont plus que pour quelques jours, car la salve de météorites est en route et va éradiquer cette dégénérescence (issue de nos ADN) le 21 décembre 2012 de leur calendrier, et tout sera réglé !!! »

« Ché né suis pas si affirmatif que fous quant à la la date et la certitude de l’impact’(heu)… »

Cette phrase venait d’être prononcée par « Albert », l’hologramme favori d’X57.

X26, outré :

« Ha non, mais ça j’y crois pas : c’est toi qui avait chouravé le dossier Einstein ?!? »

X57 :

« S’il n’y avait que celui-là…

Au fait : l’hologramme de Jésus aurait deux mots à te narrer ! »

X26 :

« On frôle la cours martiale, là !!!

Bon, envoie… »

Jésus :

« Seul mon Père peut décider de la fin des temps. contrairement à vous, pauvres cartésiens si sombres qui n’avez pas compris qu’après l’ombre vient la lumière ! »

X26, dubitatif :

« Ton Père ?!?

J’espère que tu as été adopté pour sortir de telles conneries !

J’y entrave que dalle à ce charivari… »

Jésus :

« Toute l’histoire de ma vie…

Quant à ton calendrier maya, tu te le tailles en pointe, mon poteau !!!

Albert : explique à l’alien de service : il a besoin de sous-titre… »

X26, vexé :

« Dis ho : doucement les basses, hein !!! »

Albert :

« Ch’ai refait mes galculs : l’âge du Christ est trop approximatif pour établir la fin du monde à la date indiquée.

En effet, il existe une marge d’erreur de 5 à 6 ans, ce qui fait que nous ne sommes pas en 2012 mais en 2018, tout au mois 2017, rendant caduque cette théorie du cahot ! »

X26 :

« Commencez à me gonfler, les humains !!!

Sans compter la tronche des membres du Grand Conseil qui vont encore me foutre à la gueule, quand je vais leur annoncer que l’apocalypse est reportée à une date ultérieure, juste pour des raisons arithmétiques… »

Et c’est ainsi que le monde pu continuer sa route, mais pour combien de temps ?

jijimagiccinqsept dit :
12 décembre, 2012 à 13:52 (Modifier)
Je ne sais pas ce qui s’est passé,mon article a disparu !!!
Je le réécris de ce pas…

Il va me falloir une heure ou deux :

La prochaine fois, je le sauvegarde !

Grrrrrrrrrrrrrrrr !!!

Petit interlude sous forme de festivité dansante :

Ha ! petit détail : au lieu de m’énerver, j’ai décidé d’écrire un texte encore plus élaboré, ne serait-ce que pour faire plaisir à ma Muse, fée de ces lieux,

qui se reconnaîtra…

A tout à l’heure…