Les choses étant ce qu’elles sont…

L’humour, la dérision, une autre façon de voir, c’est ce qui sauvera les « élus » qui auront choisi cette voie.

J’ai bien parlé des « élus », non des « élus »…

Un commentaire, là bas ?!?

Ben j’voudrais pas dire mais l’Jiji : ça va pas mieux…

Tu peux déculotter ta pensée, l’ami ?!?

Ben… « Elus » et « élus », je ne saisis pas bien la différence profonde…

Y’aurais pas comme un cousinage entre les deux, non ?

Quelle engeance !!! 

Bon, puisqu’il faut que je sous-titre :

Je comparais l’élu de la République et l’élu dans le sens  psychologique, donc plus large…

Z’êtes compliqué, chef !

Mon p’tit…

Chaque époque a son épée : 

Y’a eu Audiard…

Yanne et Martin, élèves de

Dac et Blanche…

On se souviendra de Jiji, pour les deux ou trois conneries qu’il aura sorties,dans ce monde si terne !!!

Les élus dont j’cause, lorsqu’ils prennent leurs armes, ils évitent de se prendre au sérieux. Ils chantent la marseillaise comme ça leur chante, mais ne lui manquent jamais de respect, car ils en ont une interprétation… Indépendante dirons-nous !

Tenons le coup, camarades d’infortune !!!

Y’a une boum avec un super D.J. à Jijiland !!!

Hips ! (le piano à bretelle, ça donne soif !), à plus…

Et oui…

Comme dans cette chanson qui date de 1921…

J’en suis arrivé à l’année 1926, dans la la 39ème/E, que j’écris en ce moment

(pour toi : Ô public en délire !),

et cette période d’entre deux guerres  ressemble comme deux gouttes d’eaux à la nôtre.

Hé oui, les progrès technologiques de l’époque reléguaient le siècle précédent à celui de l’arbalète…

La femme osait enfin répondre à son homme, conduire des voitures, s’habiller et se coiffer autrement qu’une poupée gentillette, lui faisant comprendre qu’elle n’était plus sa chose !

La société et ses valeurs de jadis

étaient en train de muter !

Mais ce que nous n’avions pas vu venir, c’est qu’une quantité (non négligeable) d’hommes bifurquaient aussi dans une direction inattendue, qui allait mettre « certains » au même rang que « certaines »… Une voie de traverse appelé le « troisième sexe ».

En 2012, dans les mois qui suivent, 

ça risque de « muter » sévère en France…

Heu… Très sévère !!! 

Ça change, quoi… On n’était pas habitué !

Qu’il y-t-il mon Benoît : 

t’as bobo la tête ?!? 

Oui ben… Quand ça change, ça change !!!

Hein ?!?

« Licence des moeurs, décadence d’une société ?!?

Pffffffffffffff !!! On disait déjà ça  le siècle dernier, 

avec les années folles !

Fais comme moi, lâche du lest, et essayons de séparer ceux qui veulent se foutre sur la gueule concernant les sujets qui fâchent :

on va tout de même pas refaire la Saint -Barthélémy…

Et puis, la tendresse, l’amour : quel que soit l’emballage, sont toujours préférables à nos sentiments les plus sectaires : non ?!?

J’ai fait mon devoir de citoyen en réglant mes impôts locaux, ainsi que la redevance  par téléchargement…

Chaque fois que je cliquais sur une option de règlement, je ne pouvais m’empêcher de me remémorer cette chanson parodique des inconnus.

Je fais partie de ceux qui ne peuvent et ne veulent pas tricher ou se soustraire à l’impôt. Quand on a la possibilité d’en payer, c’est qu’on possède déjà quelque chose, et c’est déjà beaucoup quand on arrive à manger. Mais je pense que je l’aurais mauvaise si on m’obligeait à donner 75 % de ce que je me suis fais « ièche » à gagner, parti de zéro, quand d’autres n’ont fait aucun effort et brandissent que pour seule arme, entre la naissance de deux bébés allocs, une main tendue, exigeant des autres un impôt « citoyen »,comme si c’était un dû !!!

Je ne parle pas des victimes de délocalisations et des accidentés de la vie : ceux-là, il est normal qu’on en soit solidaires…

Non, je parle des autres, les nostalgiques du stalinisme, qui voudraient entourer la France de barbelés et museler ceux qui ont des idées contraires, au nom de la démocratie dont ils ont oublié la définition !!!

Gégé se tire de ce pays ?

Pourquoi il se gratterait..

Je t’ai écouté aux Grosses Têtes hier, 

et j’ai appris, mon Pascal,

dans quelle galère tu étais…

Et pourtant, tu étais l’animateur vedette de France 3 dans l’émission « Fa si la chanter », qui n’avait pas moins de cinq millions de téléspectateurs !!!

Nous y avons connus quelques instants privilégiés,  entre 1994 et l’an 2000 :

Hélas vint la descente aux enfers avec le XXIème siècle, qui fut loin d’être un bon cru, car celui de tes excès.

Tiens bon mon Pascal, je reste persuadé qu’après avoir glissé dans le fossé, il existe cette rédemption qui te guidera

Vers de nouveaux bonheurs…

Nous avons passé une bonne soirée, mais (car il y a un mais) la conversation a bifurqué sur la politique : 

aïe-aïe-aïe, allô Maman-Bobo !!!

La politique qui est…

La politique qui fut…

Les voix se sont fait fortes, les arguments furent tirés tels des missiles, et résultat ?

Une désolation…

Celle de l’incommunicabilité !!!

Et oui, nous avions oublié un instant que nous n’étions pas à la chambre des députés et que nous n’étions pas des élus de la République…

J’ai donc décidé hors blog

(parcequ’il ne faut pas exagérer non plus, ho !)

de fermer mon claque-merde en la matière et de ne plus parler que du beau-temps et de la dernière collection de soutifs, pour éviter d’en arriver à ce cas de figure :

C’est la seule concession que j’accepte dans la vie réelle, car dans ma vie bloguesque :

Tu crois que je vais me gêner ?!?

« Hum-hum-hum !!! »

A plus…