Ninties : « Puisqu’il fallait bien continuer… » (34ème partie)
« Les anges maudits, les comptables et le père prodigue…«
Chapitre 32 :
l’amour plus fort que tout ?… (12/12)
« Retour à Paris«
http://www.youtube.com/watch?v=4E6sEetFfg0
Ils étaient descendus du train sous une averse, dont Barnabé se plaisait à dire que seule la métropole pouvait en produire d’aussi froides.
Isabelle, portant sa valise un peu lourde :
« Car aux Antilles, la pluie vous est inconnue, bien-sûr ! »
Barnabé, souriant :
« Ne te fâche pas ma belle ! Nous en avons, évidemment, et de bien plus torrides encore, mais jamais de si glaciales…
Donnes moi donc ton fardeau : tu fais peine à porter cette valise si empreinte de tes souvenirs « ma petite Cosette ». La mienne est beaucoup plus légère et n’a pas eu le temps de s’en alourdir. »
Isabelle, l’oeil malicieux :
« Ô mon Jean Valjean, mon sauveur, tu m’a reconnue alors que je n’ai pas de seau ? »
http://www.youtube.com/watch?v=cd_CoDYxznI&feature=related
Sauveur ? Jean Valjean ?!?
René, son beau-père, si imparfait qu’il soit, n’était tout de même pas un Thénardier !
De même que lui, Barnabé, n’était pas ce bon « Monsieur Madeleine » sauvant une orpheline des griffes d’odieux personnages cupides…
« Sauveur », il l’était sans aucun doute… Mais plus dans la peau de « Marius », ce prétendant si maladroit sauvé par Jean Valjean (son futur beau-père), poursuivi par un homme de loi à l’esprit aussi glacial et inflexible que les règles qui régissaient sa fonction.
Mais tout cela n’était que de la littérature, et le beau-père qui avait sauvé Marius dans les Misérables n’était en aucune mesure comparable au sien, que seul un rêve avait humanisé…
Quelques heures avant, René avait pris une sorte de revanche en entraînant Barnabé dans la communauté que sa soeur Geneviève devait réintégrer. Il avait pris soin de la placer juste à côté de lui, séparant les deux tourtereaux à l’arrière de la traction avant de Gaston, l’ami fidèle trop content d’assurer sa fonction de chauffeur.
Sur la route qui menait le nouveau couple à la gare de Caen et Geneviève à son quotidien, Cette dernière s’était risqué à une question qu’elle adressa à Barnabé :
« Que mon frère soit anticlérical, lorsque l’on connaît son parcours, cela n’a rien pour m’étonner… Mais vous, Barnabé, issu d’une famille catholique dont on m’a dit que beaucoup sont de fervents pratiquants : pouvez-vous m’expliquer votre opposition à Dieu ? »
Barnabé :
« Opposition à Dieu, le terme est un peu vif…
Opposion aux hommes qui s’en réclament serait l’expression la plus appropriée. »
Tante Geneviève :
« Et que leur reprochez-vous au juste ? »
Barnabé :
« D’entretenir la peur chez nos sujets les plus vulnérables pour mieux les asservir…
Pour tout vous dire, je n’ai jamais cru qu’un être suprême à la barbe blanche avait créé l’homme, par contre, il fut aisé à nos congénères les plus anciens d’inventer Dieu ! »
Soeur Geneviève :
« Ha ! Croyez-vous ?!? »
Barnabé :
« C’est l’évidence même ! L’homme a toujours voulu se rassurer en ce cachant derrière une autorité qui lui permet de ne pas avoir à prendre de responsabilités…
C’est tellement plus commode ! »
Isabelle, embarrassée :
« Heu… Tiens : voilà le couvent. »
Soeur Geneviève :
« Vous n’avez pas réellement répondu à ma question… »
Barnabé, un peu nostalgique :
« Les voix de Dieu, qui nous a fait dit-on à son image, sont impénétrables !
Permettez à un pauvre mortel de lui ressembler sur ce sujet, en respectant ce qu’il me reste de part de mystère… »
Gaston, le sourire jusqu’aux oreilles :
« C’est ce qui s’appelle « botter en touche » ou je ne m’y connais pas, gamin !!! »
René à Barnabé, grimaçant légèrtement :
« Vous n’avez jamais songé à faire de la politique ?
Vous avez déjà le vocabulaire adéquat… »
Barnabé, avec le même air « aimable »
« Dois-je considérer cela comme un compliment ?… »
Mon Grand-Père répondit par le silence.
Barnabé, en homme du monde, se mit en devoir de porter la valise de Tante Geneviève, et fut présenté à différences soeurs, qui tombèrent sous le charme de mon incorrigible orateur de Père.
Au sein du couvent où il se sentait en « terres ennemies », il se remémorait une chanson diffusée par la TSF du petit bistrot parisien, où il aimait prendre son petit déjeuner avant de se rendre à la fac de médecine, celle de « Bridaine », le sympathique abbé des « Mousquetaires au couvent »…
http://www.youtube.com/watch?v=aTnJNcauaus
De tels ecclésiastiques existent-ils aujourd’hui ?
Peut-être…
Père Duval (1918-1984),
dont on reparlera plus tard.
Il est des hommes comme ça, que même le plus anticlérical des êtres ne peut qu’avoir en sympathie, tout en leur laissant leur chemin de croix !
René, complètement outré, à Gaston :
« Non mais, regarde-moi ça !
L’église n’est plus ce qu’elle était, moi je te le dit…
Elles sont toutes en train de lui manger dans la main : il va finir par me les débaucher, tu vas voir !!! »
Gaston, se retenant de rire :
« Qu’intièt’ donc point mon René, quand la tôlière va pointer son nez, tu vas voir comment elle va me r’cadrer tout ça ! »
Effectivement, l’arrivée de la Mère Supérieure dispersa le groupe tel un missile qui venait d’exploser.
Soeur Marie Geneviève des Anges donna congé à toute la petite famille avant de réintégrer sa cellule qui, selon les conceptions de mon « concepteur » portait bien son nom…
Barnabé entrant à son tour à l’arrière de la traction de Gaston :
« Alors là, mes bien chers frères et soeurs, je viens d’avoir la définition du mot « remède » ! Et assurément, cette Mère Marie… Machin de je ne sais pas quoi, c’en est un sévère !
Avec de tels engins, je comprends mieux pourquoi les curés font aussi facilement voeux de chasteté !!! »
Isabelle, fronçant les sourcils :
« C’est fini, oui ?!? »
Après avoir déposé les amoureux à la gare de Caen, Gaston ne redémarra pas tout de suite son véhicule, observant son copain René qui restait prostré, le regard dans le vague.
Alors que la pluie martelait le toit et le pare-brise de la traction, René lâcha enfin une parole entre deux soupirs :
« Cette fois-ci, nous l’avons définitivement perdue… »
Gaston, la gorge serrée:
« Qu’ek’tu m’raconte comme connerie !!!
Tu trouves pas qu’y'a assez d’buée sur heu l’pare-brise ?!?
V’la-t’y pas qu’y'en a sur mes mirettes à c’heure… »
René fut aussi touché que surpris de voir couler des larmes sur le visage buriné de son vieil ami. Bon sang, c’est pourtant vrai qu’il était encore plus triste que lui !
Pour le consoler et se persuader lui-même que cette page tournée, ce train qui avait disparu dans la fumée de cette maudite locomotive n’était pas la fin de tout, il lui dit :
« Dis, ho ! C’est pas un enterrement !!!
Un jour, elle va bien nous faire des marmots la petite, et je te fiche mon billet que ces petits chenapans, ils vont nous mettre un sacré bazar à la maison… »
Gaston, retrouvant un peu de joie et d’espoir :
« Pour les garder, j’laisse pas passer mon tour, mon coquin !!!
Tu crois que y’en aurait un pour me casser cet affreux vase de chine que la Tante Marthe nous avait offert à Aphonsine et à moi pour nos dix ans de mariage ?
J’ai jamais pu men débarrasser de c’horreur ! »
René, faisant mine d’oublier sa peine :
« Hi-hi ! C’est pourtant vrai qu’il est fadé ce vase… Je n’ai jamais rien vu de plus moche dans le genre !!!
Dis-moi vieux gars : si on songeait à un repli stratégique avant qu’on ait à sortir les pagaies ? »
Ils retournèrent donc à Tigreville où leur quotidien repris sa place…
http://www.youtube.com/watch?v=pzK9S-HOTNs
Dans cette mansarde qui était leur nid d’amour, Barnabé avait allumé le poêle pour lutter contre le froid hivernal et l’humidité qui avaient glacés jusqu’aux os de la tendre Isabelle.
Dormir enfin dans les bras de son aimée était sa récompense, pour avoir été aussi patient. Isabelle avait posé sa tête sur son épaule qui en était un peu endolorie, mais il n’osait pas bouger de peur de réveiller sa « belle au bois dormant »…
Avant de glisser doucement dans le pays mytérieux des songes, elle lui avait dit d’une voix douce :
« Tu me diras un jour quel est ton secret ? »
Barnabé :
« Quel secret ?!? »
Isabelle :
« Celui qui t’as rendu anticlérical… »
Barnabé, presque suppliant :
« Ha non, tu ne vas pas t’y mettre aussi, ma doudou (Chérie en créole) !!! »
Isabelle, complètement épuisée, marmona une phrase incompréhensible avant de s’abandonner dans les bras de Morphée.
Mais qu’avaient-elles donc, la tante et la nièce, à vouloir déterrer cette histoire de son passé qu’il ne souhaitait pas dévoiler ?!?
Il le dirait sûrement un jour à la femme de sa vie, mais un autre jour… Bien plus tard…
A suivre…
Barnabé est un humaniste,simplement amoureux de ses semblables,soutane ou pas,il sait reconnaître la valeur des âmes qu’il rencontre,là est sa grande valeur,
anticlérical,qui ne l’est aujourd’hui,à renier sans cesse l’essence même de l’amour,le vrai le pur,le fraternel,le clergé a condamné sa propre église,elle renaîtra sans aucun doute en faisant table rase de son passé,se souviendra alors de son origine,
est-ce la pensée de Barnabé ?,
raconte-nous tonton Jean-Jacques !!!
Dernière publication sur Chasseur d'Images Spirituelles : La vie est bien triste à ce jour
h
Dernière publication sur FANETTE : lll
ha que j’aime les péripétie de Barnabé et sa dulcinée en plus les voilà arrivés en gare de Caen et au fait le couvent c’était lequel ????
Bon alors c’est quoi le fameux secret ???? Tu sais toi ?????
belles et douce nuit
bisous
Dernière publication sur FANETTE : lll
Salut Loïc,
J’arrive enfin à te répondre, car unblog a encore foutu son boxon !!!
Barnabé est un personnage assez complexe, on le constatera plus tard, mais même en traversant le temps, il arrivera toujours à captiver les foules, ce qui m’a toujours épaté chez lui…
Parmi ses relations, il y a des cléricaux et des bigottes, des racistes : toute son antithèse !
De plus, c’est un peu lui qui m’a transmis dans ces gènes une grande part de misanthropie, alors que, comme lui, je passe mon temps à m’occuper des malades et à les réconforter, eux et leurs familles…
Nous ne sommes que contradictions !!!
Bon week-end à toi Ô témoin des sages et philosophe du net !!!
Amitiés,
Jean-Jacques.
Bonsoir FANETTE,
Je désespérais te pouvoir te répondre un jour, unblog ayant décidé de me contrarier en ne me permettant pas d’accéder à mon blog.
Leur nouvelle version ne me convient pas du tout, dans la mesure où j’illustre mes textes avec des images et des liens musicaux !
Et bien, grâce à ce que certains appellent « progrès », c’est une véritable récession pour moi, car il me faut faire tout un parcours du combattant pour mettre ne serait-ce qu’une photo, alors que dans la version précédente, il me suffisait de faire un clic droit sur copie sur la banque d’images de Google… Et pour You tube, c’est encore pire, car la seule solution proposée (si ça veut bien fonctionner !) est de recopier les références [http://www] lettre par lettre, et il semble qu’il faille en plus attendre que la demande d’ajout soit traitée (là, je rêve !!!)…
Tu parles d’un progrès !!!
Si c’est ça, je vais finir par les envoyer chier, à moins qu’ils ne me proposent des solutions. Je suis même pret à payer des « droits d’auteurs forfaitaires » s’il le faut, mais s’il n’est plus possible de mettre en lien des musiques « où je veux » dans ma mise en page, ce ne sera plus la peine que je continue, car c’est toute l’âme de mon blog qui serait remise en question !!!
Enfin bref…
Pour le couvent, je serais bien incapable de te dire duquel il s’agit, car je ne l’ai vu qu’une seule fois dans ma vie d’enfant (ceci fera l’objet d’un épisode ultérieur, mais il faudra attendre que je sois né
), lorsque j’ai fait connaissance de cette tante que Maman, ma Grand-Mère, mon éternel neurasthénique de Grand-Père et moi-même étions venus chercher pour une journée.
Pour le secret, il faudra attendre un peu (petite curieuse, va !!!
)…
Bisous,
Jean-Jacques.
FANETTE, c’est encore moi !
En plus, je viens de me rendre compte que les avatars ne s’affichent plus !!!
Grrrrrrrrrr !!!!!!!!!!!!
Bonjour JJ,
enfin je peux accéder à ton blog, ouf, il était temps.
Sinon, que dire ? Que je me sens toujours lésée lorsque je vois la fin de l’épisode et que j’ai envie de continuer de lire la suite. Comme un bouquin que je ne lâcherai pas, avant le mot fin……….
Bon et bien tant pis pour moi, je serais pour une fois, patiente dans ma lecture, tu me diras que je n’ai guère le choix (sourire).
Merci, de nous offrir ta belle plume et ta façon de conter qui est ma foi, bien belle, merci JJ.
Gros bisous, Helene
Dernière publication sur air du temps : Un cri d'amour !
Bonjour Hélène,
Je viens de lire ton mail qui me donne espoir que je puisse continuer la suite de mes épisodes et articles selon mon mode de fonctionnement : textes, images et musiques (vidéo), même si la technique diffère un peu.
C’est vrai qu’après avoir maudit unblog jusqu’à la treizième génération, je me suis dit que je ne pouvais pas abandonner sur un coup colère, et que tout au moins, il ne me faudrait déposer que des textes…
Mais il faut dire que j’ai eu tant de mal à trouver mes repères dans cet « univers bloguesque » que ça m’a fait un choc lorsque j’ai constaté que plus rien ne fonctionnait comme 48 heures auparavant !
Je vais m’y coller : de toute façon, je n’ai pas le choix…
J’ai du pain sur la planche !
Bisous,
Jean-Jacques.
Coucou JJ
voilà maintenant 3 jours que je suis sans blog
et bien ma foi tu vas te repérer dans cette nouvelle version il te suffit juste certainement de bien voir ces nouvelles fonctions hihih
Ne te plains pas
bonne journée à toi
et je pense que quand tout sera migré on pourra remette nos avatars
bisous
Dernière publication sur FANETTE : lll
Quel bonheur de poursuivre les aventures d’Isabelle et Barnabé, malgrè les défaillances nombreuses de Unblog…
Mon blog a basculé depuis quelques jours et je m’y fais petit à petit, mais je dois quand même avouer qu’il y a du mieux pour les photos au niveau de la taille pour pour les éditer.
Je te souhaite une excellente journée Jiji.
Amicalement.
JC
Dernière publication sur Jean Claude's news : Un ange parmi les anges
Bonjour JJ,
Oui bien sûr il y a et aura encore qq petits problèmes sur un blog.fr mais tout va certainement rentré dans l’ordre. J’ai une question………..Est-ce bien Sydney Poitier qui est en photo sur ton blog ? Il me semble ne pas me tromper, j’ai eu un coup de foudre pour cet acteur dès la première minute où je l’ai vu dans un film et je m’empressais d’aller au cinéma chaque fois qu’un film où il jouait était à l’affiche. De jolis souvenirs………….
Gros bisous, Helene
Dernière publication sur air du temps : Un cri d'amour !
Bonsoir FANETTE,
Puisses-tu avoir raison sur toute la ligne !!!
Avoue quand même je n’ai pas de pot : chaque fois que j’arrive à m’adapter à un système, il faut qu’il migre…
Bisous,
jean-Jacques.
Merci pour ton commentaire je suis contente que tu aimes mes vitrines décorées, Auray a beaucoup de belles vitrines cette année c’est agréable.
La nouvelle interface d’unblog a quelques avantages pour les photographes mais est peut être moins souple qu’avant ….
Bonne soirée bises Jacqueline
Dernière publication sur Binicaise : Blog en pause pour une durée indéterminée.
Salut JC,
Le message que j’avais laissé sur ton blog est enfin arrivé après moult essais, pfffff !!!
J’ai mis le temps à reprendre les aventures familiales déjà bien avant qu’unblog ne me retarde à son tour, mais je peux dire que je ne laisserai plus autant d’intervalle entre deux épisodes, dont je suis assez content qu’ils intéressent à ce point !!!
Je n’abandonne pas JSB pour autant, dont l’épisode 5 est presque terminé. Le tout, c’est de savoir si unblog ne va pas trop me faire de misères pour les liens (musicaux surtout !)…
Bonne soirée à toi !
Amitiés,
Jean-Jacques.
Bonjour Hélène,
Ça fait depuis hier après-midi que j’essaie de te répondre !!!
C’est bien Sydney Poitier, auquel mon Père a ressemblé jusqu’à ses 50 ans…
Bisous,
Jean-Jacques.
Coucou JJ
puisque je ne peux le faire sur mon blog.
parce que je vois que les uns et les autres arrivent à naviguer plus ou moins bien, mais moi rien de rien (Edith ou es tu ?)
Alors je viens répondre à ton com chez moi
Voici maintenant 5 jours que je suis « out » et que je ne peux rien faire sur mon blog. Je ne peux pas y accéder. Purée ils devaient avoir pas mal de boulot chez moi
Alors j’ai bien tes commentaires ne t’inquiètes pas je les validerais quand l’accès sera rétabli
bonne journée à toi et bon apprentissage
bisous
Dernière publication sur FANETTE : lll
Merci pour tes commentaires je suis un peu à la peine pour aller sur les blogs beaucoup de travail pendant ces deux jours . Bonne fin de journée bises Jaqueline
Dernière publication sur Binicaise : Blog en pause pour une durée indéterminée.
Youpi JJ
Regardes tous les avatars sont reviendus
bonne fin de journée
bisous
Dernière publication sur FANETTE : lll
Bonjour FANETTE,
Les avatars, c’est déjà un progrès, mais j’espère récuperer mes « clics droit » en matière de photo et de musique (vidéo)…
Bisous,
Jean-Jacques.
Bonjour binicaise,
C’est toujours un grand plaisir que d’aller visiter ton blog !
Pour revenir sur un de tes sujets, j’ai des cousins par alliance qui habitent Landaul et qui sont furieux (à juste titre !) concernant ce bateau qui a pollué des plages et une nature si merveilleuses !!!
Quand aux austréiculteurs, moi qui aime tant les huitres, je suis de tout coeur avec eux, qui vont connaître des moments difficiles à cause d’un con qui n’a pas voulu rester au port de Lorient où il était en sécurité, alors que la tempête était clairement annoncée !!!
J’espère sincèrement qu’il va être sanctionné et que les commerçants seront indemnisés avant qu’ils ne meurent de vieillesse, sachant que les compagnies d’assurances iront d’appels en appels, bien confortablement installés le cul sur leur fauteuil de bureau en cuir…
Ce que je déteste cet aspect d’une société régie par les « ronds de cuirs », celle-là même qui spécule et s’enrichit sur la misère du monde !!!
Bonne soirée et une bise en passant,
Jean-Jacques.